Ici, on ne parle pas — sauf à notre professeur de méditation et aux discussions du soir sur le Dhamma — du fait d’une règle à laquelle tout le monde doit se plier : le « noble silence ». Tout comme les nonnes, nous devons l’observer, jusqu’à la fin de notre retraite de méditation. Ce « noble silence » concerne tout autant la parole que le silence de l’esprit. Quant au corps, le « noble silence », ce n’est pas vraiment ça. Faut dire qu’en Birmanie, les gens sont experts en pets, rots et glaviots ! C’est à qui sera le plus… expressif. Et les nonnes n’ont rien à envier à la population locale. Déjà que j’ai un mal de chien à me concentrer et que je suis plus habituée à réciter des mantras / visualiser plutôt que porter mon attention sur ma respiration !
Ici, on ne parle pas — sauf à notre professeur de méditation et aux discussions du soir sur le Dhamma — du fait d’une règle à laquelle tout le monde doit se plier : le « noble silence ». Tout comme les nonnes, nous devons l’observer, jusqu’à la fin de notre retraite de méditation. Ce « noble silence » concerne tout autant la parole que le silence de l’esprit. Quant au corps, le « noble silence », ce n’est pas vraiment ça. Faut dire qu’en Birmanie, les gens sont experts en pets, rots et glaviots ! C’est à qui sera le plus… expressif. Et les nonnes n’ont rien à envier à la population locale. Déjà que j’ai un mal de chien à me concentrer et que je suis plus habituée à réciter des mantras / visualiser plutôt que porter mon attention sur ma respiration !
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