Ajouter un extrait
Liste des extraits
Lorsque ses lèvres effleurent mon mont de Vénus, je ne peux empêcher mon cri de retentir autour de nous. Mes mains agrippent les rebords de la table, ma tête s’effondre sur cette dernière. Je me cambre, outrageusement, indiquant à mon amant mon envie qu’il poursuive la douce torture à laquelle il me soumet. Il souffle sur ma vulve et la chaleur explose en moi. Les arcs électriques du plaisir prennent possession de mon bas-ventre qui palpite et laisse s’écouler sur ma peau les gouttes de mon désir pour Bardem. C’est tellement impudique que je resserre instinctivement mes cuisses. Mon amant m’en empêche en apposant ses mains à l’intérieur de celles-ci. Je m’offre à sa vue, totalement nue, totalement à lui. Il sait mon envie de lui, il la sent et je perçois dans son sourire que cela ne fait qu’amplifier son excitation. Il embrasse tendrement mon pubis avant que ses lèvres n’errent sur les replis de mon intimité. Quand la langue de mon amant me pénètre, je me tords et gémis de plaisir.
Puis, l’une des mains de Bardem passe sous mes fesses. L’autre se pose sur mon ventre. Sa bouche quitte mes lèvres et rallie mon clitoris. Je fonds sous les baisers dont mon amant le recouvre. Mon souffle se hache, ma poitrine se comprime sous l’effet du plaisir qui me submerge. C’est trop. Fort. Violent. Dévastateur. J’ai le sentiment que je ne pourrais pas en supporter plus à moins de rendre l’âme. Pourtant, mes halètements en redemandent. Toujours plus. Si bon... Je pose l’une de mes mains sur mon sein et en caresse l’aréole. Mon téton durcit immédiatement. Les affres de la jouissance dévalent dans mon corps. Bardem mord le bouton de chair au cœur de mon plaisir. C’est une tornade qui me percute de plein fouet. Et je jouis dans la bouche de mon amant.
Je ris. Et les lèvres de Bardem qui couvre mon corps de baisers n’aident pas à calmer mon hilarité. Le front de mon amant rejoint le mien.
Afficher en entier