Selon moi,la poésie est la seule vérité qui ne blesse pas l'esprit
Le loup a toujours fait partie de ma vie .Il est ma principale source d'inspiration.Je l'admire pour sa force et son courage, mais surtout pour sa fidélité et sa loyauté envers sa meute. Si le lion est le roi des animaux alors le loup, lui, en est le Chevalier. Il est un Symbole de liberté à l'état pur. Il est un animal sociable et doué d’une grande empathie et bien qu’il vive en meute, le Loup préfère mieux souffrir en résistant à ses ennemis plutôt que perdre sa liberté
Covide19
Dans l'exile d'un monde naissant
Accablé par la perte de nos vivants
Ainsi tous se plaignent de l'isolement
Alors que la peur devient seule pensée
D'autres se fichent de la société
Et, sans adhésion, s'accordent le droit de quitter
Alors les victimes tombent comme les larmes d'un enfant
et, pour la dernière fois,la vie,ils perçoivent
Tandis que les autres cherchent sans cesse la force de contrer l'abattement
Et où fatigue devient conflit
Affaibli par la pandémie
Faiblit l'espoir de revoir l'ami
Et lorsque la balade absorbe les flots acides
Que la mort pend au bout de la corde
Ainsi sont les gens dans l'attente de recevoir de l'aide
Et quand plus personne n'assure les mouroirs
L'espoir mort comme aux portes de l'abattoir
Quand on voit le foutoir que devien l'espoir
Dans l'agonie des pensées humaines
Quand s'éclipsent les affables hors de la scène
On ne reconnaît plus le courroux de nos peines
Pourtant, les mots nobles ne peuvent exprimer la tristesse
Et les moqueries memes ne peuvent plus cacher la souffrance
Mais le temps passe et,chaque fois, quelqu'un s'efface
Alors ce dont on parle le moin devient ce qui nous affecte le plus
Ça sort parfois de petites plaisanteries tristes
Mais derrière les sourires artificieux
Ce virus pend au fenêtres mortes de mes yeux
Elle pleure
Dans la pénombre de sa chambre ,
Elle pleure en silence toute la nuit
De ceux qui croient au coeur de cendre
Qui la laissent toute seule sous la pluie
Mais depuis l'aube du temps passé
Puisqu' amour devient traîtrise
Pour ne jamais plus être brisées
De ne plus aimer, elle s'est promise
Et lorsque son passé revient
Lorsqu'elle revoit ses rêves brisés
Les mêmes visages mine de rien
Qui restent enfouis dans ses pensées
Depuis, elle a peur de la nuit
Elle crit en silence sa douleur
Elle a perdu goût à la vie
Seule,accompagnée de ses malheurs
Quand sourires devient douleur
Qu'il lui déchire les entailles
De trop en dire, elle en a peur
De leurs parler de ses batailles
Lorsqu'elle ne veut plus rien entendre
De ses propres cris du cœur
Lorsqu'elle en a marre de se défende
De la nuit qui abrite ses peurs
Lorsqu'elle voit son avenir brisé
Dans les poignards des mots gravés
Lorsque paroles sont écoutées
S'éloigne son cœur émietté
Cachée dans le fond de sa grotte
Elle pleure en silence dans son lit
De ce qui lui a empêché
De pouvoir sortir par la porte
Et elle se demande souvent la nuit
Ce monde là-haut, il lui semble
Qu'elle pourrait enfin le comprendre
Qu'elle n'a plus besoin d'attendre
Et elle pleure seule toute la nuit
Dans la pénombre de son cœur
Dans les abysses de l'oublie
Elle crit tout bas ses efforts tombés
L'AMOUR INFINI
Sous les branches de la vie
Créant les fruits d'un nouvel amour
Accrochés tout là-haut,sans bruit
Spectateur du tout premiers jours
Et quand la mer quitte l'horizon
Enfin prête pour le grand jour
Où l'homme trouva la raison
Quand il dévoila son amour
Perché sur les branches infinis
Où promesses ont été gravées
Les regards tournés dans la nuit
Où la passion est retrouvée
Et quand les fleurs s'ouvriront
Les yeux dans les yeux,ils s'aimeront
Et rentreront à la maison
Avec le fruit de leur chanson
Sous les branches de la vie
Tout deux unis, ils vivront
Et lorsque, cadeau dans la nuit
Descendit leur nouveau garçon
TÉMOIN INVISIBLE
Sous un soleil de fin d'été
Brillant dans le ciel étoilé
Tel un dôme de lumière
entourant notre planète mère
Sur toutes ces terre conquises
J'ai sentis la fraîcheur de la brise
Comme la chaleur de la flamme
éclairant la pureté de l'âme
Par les temps sans pluie
Où l'on contemple la mer infini
S'étendant sur l'horizon
Comme un tapis de tison
J'ai vue le début et la fin
De ceux qui donnent de leurs mains
Le croisement du jour et de la nuit
De ceux qui ne sont jamais partit
J'ai écouté les histoires
celles qui gardent la mémoire
Celles qui changent le monde
Apportant le bonheur des secondes
Celles qui servent de leçon
Nous faisant sortir de la maison
Celles qui échouent sur le bord des mers
Emportées dans le courant de l'instant prospère
J'ai regardé l'Homme défiler
Tel les vagues frappant les rochers
J'ai vu les amitiés naître
et s'effacer par le temps traître
J'ai vu les fleurs grandir
et les mauvais coeurs dépérir
J'ai vu la douleur, la fierté
Dans le souvenir des efforts passés
Sous la lourdeur du deuil
j'ai vu s'enfuir les chevreuils
Et dans les âmes pures de l'être
J'ai vu l'amour renaître
En cette nuit d'Antan
Où l'on voit briller le firmament
Éclairé par des milliers d'étoiles
Tel le cycle sans fin de la toile
Je sais que le soleil de l'ancêtre
Reviendra réchauffer la mémoire éternelle de l'être
Et dans le néant de l'univers
Qui redonne vie à la beauté des lumières
C'est Lorsqu'on comprend que s'enfuit le temps
Où souvenirs laissent place au moment présent
C'est lorsque la pendule nous trahit
Qu'on comprend que prend fin la vie
Pour qu'une autre puisse prendre vie
À travers les vagues infinis
L'ENFANCE PERDU
Caché tout au fond du couloir
À trois bouteilles de la fin
Je n'ai jamais pu savoir
ce qu'était d'oublier la faim
Ce soir là, devant le miroir
J'ai vu l'enfant courir en vain
Cherchant le dernier espoir
De cacher la bouteille de vin
Perdant les sourires de l'enfant
L’étoile du matin, le premier fils
Parti déjà depuis longtemps
Enfouis dans le creux de l'abysse
Se taire pour éviter les coups
Il s'est perdu dans le froid
Qui ne put vivre sur le coup
Les cris réprimés tant de fois
Je hurle la souffrance qui le condamne
Dans le fracas du verre qui éclate
Des bouteilles vides tuant son âme
Des larmes mêlées aux bleus écarlates
Ses espoirs pleurent son cœur serré
Plus mal que tous les coups reçus
Par le secret qu'il a gardé
Du regard vide qui l'a perdu
Si l'enfer est pavé de peur
Le bref résumé de ma vie
Qui me déchirent et encore,je pleure
Comme ses sourires hantant mes nuits
Comme l’enfant du miroir
Comme celui qui m'a perdu
Dans le froid du désespoir
Où espoir,il a perdu
Comme les chaînes entravant le fer
Esseulé dans la nuit de mon âme blessé
Ma vie en lambeaux, je sors de mon enfer
Car au fond des bouteilles brisées,je l'ai trouvé
Depuis l'enfant grandis sans père
Il comprit qu'il avait existé
Qu'il a enfin pardonné son père
Qui n'a jamais su comment aimer
Depuis que ses peurs sont parties
Que l'amour est devenu réel
depuis qu'il a quitté l'abri
Qu'il a découvert ses ailes
L'enfant à retrouvé le chemin
Qu'il avait tant cherché
Guidée par ses gardiens
Il a retrouvé la joie passé
Elle se construira et gagnera en précision au fur et à mesure des ajouts de livres dans votre bibliothèque.