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Mortimer revenait tremblant d'un long voyage ; il adorait Jenny ; elle n'avait pas répondu à ses lettres. En arrivant à Londres, il monte à cheval et va la chercher à sa maison de campagne. Il arrive, elle se promenait dans le parc ; il y court, le cœur palpitant ; il la rencontre, elle lui tend la main, le reçoit avec trouble : il voit qu'il est aimé. En parcourant avec elle les allées du parc, la robe de Jenny s'embarrassa dans un buisson d'acacia épineux. Dans la suite, Mortimer fut heureux, mais Jenny fut infidèle. Je lui soutiens que Jenny ne l'a jamais aimé ; il me cite comme preuve de son amour la manière dont elle le reçut à son retour du continent, mais jamais il n'a pu me donner le moindre détail. Seulement il tressaille visiblement dès qu'il voit un buisson d'acacia ; c'est réellement le seul souvenir distinct qu'il ait conservé du moment le plus heureux de sa vie.
Sous couvert d’analyse psychologique et sociologique de l’amour, il y exprime sa passion malheureuse pour Matilde Viscontini Dembowski. C’est dans cet ouvrage qu'il invente et décrit le célèbre phénomène de la cristallisation.
Un essai sur le sentiment amoureux dans lequel il tente une catégorisation et analyse des différents types d’émotions. L’idée la plus célèbre est celle de la "cristallisation" : l’amant voit l’être aimé sous le prisme de la perfection et en fait une image idéalisée.
Je n'ai pas beaucoup apprécié ce livre, d'un style très particulier d'ailleurs... Malheureusement je ne pense pas avoir compris toutes les subtilités de ce livre (j'espère ne pas être la seule), ce qui pourrait expliquer qu'il ait eu du mal à se faire publier... Cependant, par son "récit", l'auteur nous en apprend beaucoup sur la société dans laquelle il vit et son rapport à l'amour.
Un magnifique ouvrage sur un sentiment encore difficilement définissable et qui arrive pourtant à nous toucher. Une description de l'Amour du XIXè siècle qui nous donne l'impression d'être toujours d'actualité. De bons exemples tirés de la littérature permettent d'illustrer efficacement les propos de Stendhal qui nous offre un livre passionnant. Même si l'on peut lui reprocher (à lui ou à l'éditeur) de ne pas avoir traduit la totalité des citations en italien c'est un livre vraiment excellent, facile à lire grâce à ses chapitre courts et ciblés et infiniment distrayant. Une lecture géniale sur le sentiment humain le plus important au monde.
J'en avais lu des extraits au lycée ..Je me souvenais de l’idée de la "cristallisation" : l’amant idéalise l’être aimé et le voit à travers le prisme de la perfection. Belle écriture de Stendhal et description délicieuse des sentiments amoureux dans lesquels le lecteur finit toujours par se retrouver. C'est très bon , un peu ennuyeux à la longue.
Un essai sur l'amour, où Stendhal développe sa théorie de la cristallisation. C'est très beau, intéressant, et éveille forcément des échos en chacun de nous.
Résumé
Mortimer revenait tremblant d'un long voyage ; il adorait Jenny ; elle n'avait pas répondu à ses lettres. En arrivant à Londres, il monte à cheval et va la chercher à sa maison de campagne. Il arrive, elle se promenait dans le parc ; il y court, le cœur palpitant ; il la rencontre, elle lui tend la main, le reçoit avec trouble : il voit qu'il est aimé. En parcourant avec elle les allées du parc, la robe de Jenny s'embarrassa dans un buisson d'acacia épineux. Dans la suite, Mortimer fut heureux, mais Jenny fut infidèle. Je lui soutiens que Jenny ne l'a jamais aimé ; il me cite comme preuve de son amour la manière dont elle le reçut à son retour du continent, mais jamais il n'a pu me donner le moindre détail. Seulement il tressaille visiblement dès qu'il voit un buisson d'acacia ; c'est réellement le seul souvenir distinct qu'il ait conservé du moment le plus heureux de sa vie.
Sous couvert d’analyse psychologique et sociologique de l’amour, il y exprime sa passion malheureuse pour Matilde Viscontini Dembowski. C’est dans cet ouvrage qu'il invente et décrit le célèbre phénomène de la cristallisation.
Un essai sur le sentiment amoureux dans lequel il tente une catégorisation et analyse des différents types d’émotions. L’idée la plus célèbre est celle de la "cristallisation" : l’amant voit l’être aimé sous le prisme de la perfection et en fait une image idéalisée.
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