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— Tu avais envie de mon sang à ce point ? m’enquis-je.
— Il est divin, reconnut-il d’une voix triste. Mais j’ai toujours voulu plus que ça, lâcha-t-il dans un soupir rauque. Mais qu’as-tu de si spécial ? Tu étais plus qu’une simple humaine et, maintenant encore, alors que je ne suis plus lié à toi… (Il n’acheva pas sa phrase, mais je trouvai enfin la force d’affronter son regard.) Pourquoi suis-je incapable de te résister ?
J’inspirai profondément, humant son odeur alors que j’aurais dû m’enfuir en courant. Sa peau contre la mienne, mon corps semblait se dépêcher d’atteindre la même température que la sienne. L’intensité de son regard vert était telle que je ne pouvais plus détacher mes yeux des siens. Le son de ses battements cardiaques se propageait en moi.
L’air était si empli de lui, de son parfum et de sa présence, que j’avais l’impression de pouvoir le goûter, et j’eus envie de passer à l’acte. Je le désirais tout entier, de la manière la plus viscérale.
Tout à coup, ses lèvres rejoignirent les miennes. J’ignore lequel d’entre nous avait fait le premier pas, mais je n’opposai aucuneésistance. Ses baisers étaient à la fois fougueux et tendres. Je glissai les doigts dans ses épais cheveux soyeux et l’attirai le plus possible vers moi. Contre moi, ses muscles me paraissaient aussi durs que du béton. Il me serra dans ses bras jusqu’à m’écraser. Je savourai le goût sucré de ses lèvres, mais j’en voulais davantage.
Une faim incontrôlable s’empara de moi, alliant soif de sang et passion. Tous mes sens semblèrent se fondre en un seul. Je pouvais sentir ce que je touchais, et ne voyais plus rien. Mon cœur cognait contre ma poitrine, à l’unisson avec le sien.
Son odeur, si délicieuse, était presque intolérable. Mon corps se consumait littéralement de désir pour lui, comme si ma peau était en feu et que le mordre était l’unique moyen d’éteindre ce feu.
Il m’embrassa sauvagement presque gentiment, je pressai les dents contre sa bouche. Sans le mordre, je tâtais le terrain.
Il gémit, et le son de sa voix irradia dans tout mon être. Il était tout à fait disposé à me laisser le mordre et boire ce merveilleux élixir qui coulait dans ses veines, et l’envie me dévorait au point d’en être douloureuse.
Afficher en entierAlice/Peter
— Comment je te regardais ? demandai-je, la voix rauque.
— Comme si tu y étais forcée, comme si j’étais un aimant qui t’attirait inexorablement. Et, lorsque tu regardes Jack, c’est parce que quand il est près de toi, tu occultes tout le reste. Tu lui voues un amour que tu ne me porteras jamais.
Je déglutis avec difficulté, consciente qu’il avait raison. Cela aurait dû me réconforter, pourtant c’était douloureux. J’avais l’impression d’avoir fait souffrir Peter sans jamais lui avoir accordé une chance.
— Mais moi, je t’aime comme il ne pourra jamais t’aimer.
Afficher en entierFin du chapitre 29 :
-Mords-moi, haletai-je en enfouissant les doigts dans ses cheveux.
-Pardon?
Jack cessa de m'embrasser afin de me regarder. Il tentait de la dissimuler, mais son excitation était palpable.
-Tu es sérieuse? demanda-t-il.
-Oui.
Je levai les yeux vers lui. La sensation qui m'envahissait quand on me mordait était fabuleuse, et je me maîtrisais suffisamment pour que cela ne soit pas dangereux. Je serais en position de faiblesse, mais comme je venais de m'alimenter, mon appétit ne me submergerais pas.
-Quand as-tu mangé pour la dernière fois ?
-Jack protestai-je. Ne romps pas le charme avec de la logique. Je vais bien, d'accord?
Il se mordit la lèvre et m'observa, pour s'assurer que j'étais pleinement décidée, mais de toute évidence, il en avait très envie. Je percevais sa faim, sensuelle et vorace, qui me parvenait par vagues. Son coeur battait très fort et, comme il était juste au-dessus du mien, je pouvais presque le sentir. Ses yeux devenaient translucides, comme toujours lorsqu'il me désirait. Plus la passion le gagnait, plus la couleur de ses prunelles s’éclaircissait.
Lorsqu'il pressa ses lèvres contre mes veines, un gémissement m'échappa et je me cambrais à sa rencontre.
-Alice! Hurla Mae en ouvrant la porte de la chambre à la volée.
-Nom mais dîtes-moi que je rêve! s'indigna Jack avant de s'asseoir.
Afficher en entierIl leva les yeux au ciel .
-Il a tenter de te tuer,Alice! S'indigna-t-il
-Il n'en avait pas l'intention,insistai-je , meme si je savait que ce n'etais pas tout a fait vrai .
Peter n'avais jamais souhaiter me blesser,mais il ignorait comment réagir. Quand je lui avais demendé de mettre fin à ma vie ,il avait refusé,alors je m'etais mordu la levre jusqu'au sang,consiente qu'il serait incapable de resister.J'avais du le forcer a passer a l'acte et Jack etait entre precipitament pour l'empecher de terminer ce qu'il avais commence .
-Mais il l'a fait,Alice! Il a passé son temps a te rejeter,a te traiter comme une moins que rien,il a failli te tuer! En quoi trouves-tu cela attendrissant?
Afficher en entierJe levai la tête vers lui et il m’embrassa avec douceur. Puis le baiser se fit rapidement plus torride. Dès que ses lèvres cherchèrent les miennes, un désir frénétique s’empara de moi.
Je balançai la jambe par-dessus lui, puis m’assis à califourchon sur lui. Il poussa un gémissement, étouffé par nos baisers. Ses mains déjà brûlantes se baladèrent sur mon corps. Ma peau ne tarderait pas à atteindre la même température que la sienne. Je sentais la chaleur se propager en moi. Je m’écartai de lui juste le temps d’enlever mon tee-shirt. Il me sourit, admiratif. Comme il semblait sur le point de parler, je le fis taire en l’embrassant. J’adorais discuter avec lui mais, pour l’instant, les mots ne suffisaient pas.
source site "dans notre petite bulle"
Afficher en entierChapitre 12:
-Alors si j'ai bien compris, Milo et Bobby sont partis, tandis que Mae et Ezra sont tro préoccupés pour remarquer quoi que ce soit? Et nous sommes complètement seuls? demandai-je en glissant ma jambe sur la sienne.
-On dirait bien répliqua-t-il avec un sourire espiègle.
Je levais la tête vers lui et il m'embrassa avec douceur. Puis le baiser se fit rapidement plus torride. Dès que ses lèvres cherchèrent les miennes, un désir frénétique s'empara de moi.
Je m'écartai de lui laisser juste le temps de retirer d'enlever mon tee-shirt. Il me sourit, admiratif. Comme il semblait sur le point de parler, je le fis taire ne l'embrassant. J'adorais discuter avec lui mais, pour l'instant, les mots ne suffisaient pas.
Depuis le départ, on nous avait interdis d'être ensemble, et même après ma transformation, on nous avait obligés à me maintenir une distance respectable entre nous.
Il ôta son tee-shirt...
Afficher en entier-Jack tu sais combien je t'aime
-Je t'aime plus que tout , et mon choix et le bon Nous n'avons rien fait de mal pas vraiment . Enfin...j'e nen sais riien
Afficher en entierJack me toucha le vissage sa main rechauffant ma joue et je m'abandonnai a cettte caresse.M'eloigner de lui meme pour peu de temps serais tres douloureux mais je n'avais pas le choix .Je n'aurais plus ete capable de me regarder dans un mirroir si je ne tentetai pas tout pour sauver Peter .
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)— Ça va aller, Alice, m’assura-t-il en me caressant le dos.
— Comment peux-tu dire ça ? Après ce qui s’est passé ce soir ?
lançai-je en levant les yeux sur lui.
Son regard bleu débordait d’amour et d’optimisme. Il me sourit.
— Parce que tu es là, avec moi, affirma-t-il. Une nuit qui se termine comme ça ne peut pas être si mauvaise.
— C’est d’une logique imparable, reconnus-je.
Il s’esclaffa, et de merveilleux picotements me parcourent. Je me plaquai tout contre lui, reposai la tête contre son torse, et savourai la sensation de ses bras musclés qui m’enveloppaient, me sentant parfaitement à ma place.
Afficher en entierNotre relation frisait actuellement l’obsession malsaine, mais cela avait un lien avec ma transformation et notre lien affectif récent. Tout le monde nous a assuré que cela se calmerait
éventuellement pour atteindre un niveau acceptable.
Je n’avais aucun effort à faire, pour que mon corps se penche automatiquement vers lui. Il avait commencé à
frôler ma jambe avec son pied sous la table de jeu en verre, tentant ainsi de faire en sorte que je lui accorde mon attention.
Son simple contact produisait en moi des effets insensés, et ce, même à travers sa chaussette, qui touchait mon mollet. Mon coeur palpitait sans retenue, mais je pouvais du moins l’entendre, ce qui était nouveau en soi.
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