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La tiédeur de Bran n’allait pas remettre en question l’autosatisfaction de Denton.

— Qu’est-ce que les gens faisaient avant Internet ? s’interrogea-t-il à voix haute.

— Ils allaient à la bibliothèque, parlaient à des gens, posaient des questions ? suggéra Bran.

Il était déjà à la porte et tapait un message sur l’écran de son téléphone.

— Ça devait être chiant.

— C’est sûr.

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Extrait ajouté par Idole 2022-03-20T16:27:45+01:00

Mourir, c’est pourri, sans mauvais jeu de mots. Même quand ce n’est pas vous qui mourez.

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Extrait ajouté par Idole 2022-03-20T16:27:08+01:00

— Tu aurais pu faire un effort.

Bran fronça les sourcils, sortit des cornes de diable en plastique de son sac, les posa sur sa tête et regarda Denton avec mauvaise humeur.

— Satisfait ?

— Non. Pas vraiment. C’est le mieux que tu puisses faire ?

— Oui. Et toi, tu es en quoi au juste ?

Denton lui jeta un regard indigné.

— Le fantôme de Sid Vicious, bien sûr. Tu sais, si tu voulais, tu pourrais être super cool déguisé en méchant. Tu as le physique pour ça. Du maquillage rouge, un pantalon en cuir…

Une image très plaisante s’était formée dans son esprit.

— Encore mieux, des jambières où on verrait tes fesses !

Il blaguait, bien sûr. Quoique. Il aurait bien voulu avoir une occasion d’enfin mater ces fesses qui se dérobaient à lui. Il eut un grand sourire. Bran le regardait avec consternation.

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Murry sauta sur les genoux de Bran et puis grimpa sur le dossier du fauteuil où il s’étala de telle façon qu’on aurait dit qu’il formait un châle autour des épaules de Bran. Ses pattes arrière au-dessus d’une épaule, la tête de l’autre. Avec sa tenue entièrement noire et le chat derrière lui, Bran offrait l’image d’Épinal d’un sorcier.

Cependant, Denton était un peu fatigué de toutes ces activités occultes.

— On peut manger ? Je meurs de faim.

Bran regarda sa montre.

— Bonne idée. Tu auras besoin de forces.

Oh non. Voilà qui ne rassurait pas Denton. Pas du tout.

— Pourquoi ?

— On va aller au cimetière ramasser de la terre. C’est un ingrédient très puissant pour les invocations.

Denton le regarda bouche bée.

— Tu es sérieux.

— Oui.

Denton voyait bien qu’il était complètement sérieux.

— Est-ce que ce n’est pas illégal ?

— Un peu.

Murry tourna la tête pour poser son regard sur Denton. Ses yeux, ronds comme des phares, semblaient dire : Allez. Un peu d’illégalité n’a jamais fait de mal à personne. Les morts s’en foutent.

Denton capitula.

— Je ... D’accord, on n’a qu’à y aller tout de suite comme ça ce sera fait.

— Impossible. Ça doit être fait à minuit.

Denton se frappa le front, exaspéré.

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— Tu es fou.

— Moi ? Pas du tout. J’ai juste un certain sens pratique.

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La tiédeur de Bran n’allait pas remettre en question l’autosatisfaction de Denton.

— Qu’est-ce que les gens faisaient avant Internet ? s’interrogea-t-il à voix haute.

— Ils allaient à la bibliothèque, parlaient à des gens, posaient des questions ? suggéra Bran.

Il était déjà à la porte et tapait un message sur l’écran de son téléphone.

— Ça devait être chiant.

— C’est sûr.

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— Parfois, je suis mort de trouille à l’idée de te faire du mal.

La sincérité de cet aveu donna un coup au coeur à Denton.

— Tu ne me ferais jamais de mal.

— Je n’en suis pas si sûr.

— Moi oui.

Denton ne savait pas pourquoi il en était si certain, mais c’était une conviction profondément ancrée en lui. C’était de l’instinct, pas la peine de discuter. Le visage de Bran prit une expression plus douce.

— C’est parce que tu es zinzin.

— Oui. Et donc ?

— Tu n’as jamais voulu être normal, comme les autres ?

— Si, bien sûr. Mais je ne le suis pas et toi non plus. Et c’est vachement mieux d’être bizarres ensemble que tout seul. Ta mère a raison.

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— J’ai besoin que tu regardes ça en détail et que tu fasses une proposition pour la structure, les fonctions et tout ça, que je puisse présenter demain. Je t’envoie leur liste d’impératifs par mail. J’ai besoin que tu me renvoies ça demain matin.

— C’est pas du tout un truc de dernière minute, grogna Denton.

— Je te paie le petit-déj, proposa Joy, tout sucre tout miel.

— Je veux des croissants au chocolat. Au pluriel.

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— Pourquoi est-ce qu’on irait te voler un de tes draps pour en habiller des poupées ?

Bran se racla la gorge.

— Il y avait, heu, du sperme dessus. Ça peut être un produit utile quand on fait de la magie.

La gêne de Bran amusa énormément Denton.

— Ouah, si j’avais su que la sorcellerie c’était aussi coquin, je m’y serais mis bien avant. Il va falloir que tu m’en dises plus.

Il offrit à Bran un sourire séducteur accompagné d’un clin d’oeil.

— Arrête de faire l’idiot. Je suis sérieux.

Denton soupira.

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Denton avait pris un Macchiato caramel avec un supplément sirop et Bran le regardait avec dégoût.

— C’est comme boire un bonbon.

— Exactement ! C’est pas génial ?

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