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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-03-15T22:01:48+01:00

Je rouvris un œil, découvrant Kathleen dans sa position initiale, son visage calé dans le creux de sa main. Elle me souriait, satisfaite de son petit effet. J’imitai sa position, mêlant mes jambes aux siennes.

– Qui êtes-vous et qu’avez-vous fait de ma fiancée, douce et docile qui dormait il y a encore quinze minutes ?

– Andrew, tu as déjà utilisé de nombreuses fois cette technique, mais je me suis juré que tu ne gagnerais pas cette fois.

– Serment tout à fait louable, mais inutile, Kathleen, assurai-je en me redressant. Cette coutume est absolument superflue.

Je dégageai de nouveau les cheveux qui barraient son visage, cherchant l’argument imparable qui la ferait flancher.

– Andrew, juste une fois dans ta vie, peux-tu faire les choses… comme il faut ?

– Kathleen, je t’ai courtisée, je t’ai charmée, j’ai demandé ta main à ton père, je t’ai écrit des lettres. Je suis à peu près certain d’avoir fait les choses comme il faut !

– C’est la tradition ! J’y tiens beaucoup. Je ne veux pas… Je ne veux pas que notre mariage…

– Tu as peur que cela nous porte malheur ? m’étonnai-je.

Ses joues se colorèrent instantanément, comme si elle était honteuse d’avoir été percée à jour. Je m’approchai d’elle, lui effleurant la joue du bout des doigts. Elle poussa un soupir avant de relever les yeux vers moi.

– Tu trouves ça idiot ? m’interrogea-t-elle, incertaine.

– Non, non. Pas du tout. Mais de ta part, je trouve ça… surprenant.

– Parce que je t’ai dit que le mariage ne changerait rien ?

– Notamment. Je sais que tu n’y vois qu’une formalité administrative. En fait, en y réfléchissant, je devrais être celui qui s’attache à cette tradition.

– Tu n’es pas superstitieux ?

– Absolument pas. Mais je suis ravi que tu aies changé d’avis sur la symbolique du mariage ! As-tu aussi changé d’avis sur le vœu d’obéissance ?

– Tu sais que je suis incapable de tenir cet engagement! rit-elle.

– Laisse-moi rêver encore un peu. Kathleen, passer la nuit ensemble la veille de notre mariage ne changera absolument rien. Je t’aime, je veux t’épouser. Et je ne connais encore rien ni personne qui m’empêcherait de finir ma vie avec toi. S’il te plaît, plaidai-je.

– « S’il te plaît » ? Qui êtes-vous et qu’avez-vous fait de mon fiancé présomptueux et pénible?

– Je crois que c’est le type qui cherche à te faire changer d’avis.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-03-15T21:52:39+01:00

Installée sur mes hanches, son intimité chaude ondula contre mon sexe érigé. Je me redressai légèrement, retirant l’élastique qui maintenait ses cheveux. J’y passai mes doigts pour les démêler, elle bascula volontiers la tête pour accentuer le contact. Je croisai son regard pétillant pendant que mes mains retrouvaient la courbe de ses seins, puis le plat de son estomac et enfin l’élastique de sa culotte. Tirant dessus, je récoltai une tape sur la main.

– Monsieur Blake, je sais ce que vous êtes en train de faire.

– Je sais que tu sais, souris-je. Je n’ai jamais prétendu être discret.

Elle s’allongea sur moi, frottant son nez contre le mien. Ses lèvres caressèrent les miennes sans jamais s’y poser, pendant qu’elle capturait mes poignets pour les maintenir loin de son corps.

– Tu as avancé ton vol, fit-elle remarquer.

– J’avais dans l’idée de te faire l’amour au moins une fois avant midi, me justifiai-je.

Elle haussa un sourcil perplexe, reprenant le mouvement léger de ses lèvres contre les miennes. Elle me provoquait, son regard fixant le mien.

– Je sais ce que tu es en train de faire, souris-je.

– Je sais que tu sais. Je tente de dépasser le maître.

Elle resserra sa prise sur mes poignets, son bassin ondulant contre le mien. J’étouffai un gémissement, les lèvres de Kathleen suçotant la peau de mon cou. Elle prit le lobe de mon oreille entre les dents, tira légèrement dessus, avant de le libérer pour longer ma mâchoire jusqu’à ma bouche.

– Laisse-toi faire, m’intima-t-elle.

Elle déposa un baiser furtif sur mes lèvres avant de glisser le long de mon corps. Sa bouche traîna sur mon torse, se perdit sur mes flancs, avant de s’arrêter sur mon nombril. Elle releva les yeux vers moi et eut un sourire satisfait en constatant que je la dévorais du regard. Elle libéra mes poignets et, l’instant suivant, agrippa mon boxer pour me le retirer.

Son index courut sur mon sexe, qui se gonfla encore plus. Je grognai, insatisfait, espérant qu’elle comprenne ma frustration.

– Andrew ? murmura-t-elle sur ma peau.

– Mmh…

Elle déposa un baiser sur mon sexe, puis son corps remonta contre le mien. Je plaquai mes mains sur ses fesses, mon désir, presque douloureux maintenant, se frottant contre sa chaleur.

– Je t’aime, souffla-t-elle sur mes lèvres.

– Je t’aime aussi.

– Et je ne vais pas changer d’avis.

L’instant suivant, elle n’était plus sur moi et mon corps frissonna à la sensation de fraîcheur.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-03-15T21:50:25+01:00

Allongée sur le flanc, elle cala son visage sur sa main et m’observa avec ce sourire qui n’appartenait qu’à moi. Mes doigts caressèrent le creux de sa hanche, effleurant de nouveau le bord de son sous-vêtement.

– Monsieur Blake, que me vaut donc l’honneur de votre présence ce matin ?

– Je dois me marier, grimaçai-je.

– Ça n’a pas l’air d’être une très bonne nouvelle, souligna-t-elle en passant son index sur ma ride du lion.

– Ça le sera quand je t’aurai convaincue de passer la nuit prochaine avec moi.

– Pour un homme si attaché aux valeurs éculées, je vous trouve un peu transgressif, monsieur Blake. Il est de coutume de…

Je posai mon index sur sa bouche pour la faire taire. Elle m’embrassa doucement, son regard plongeant avec provocation dans le mien.

– Tu m’as manqué, avouai-je.

– Toi aussi, murmura-t-elle.

Elle réduisit l’espace entre nous et, tout en soudant son front contre le mien, glissa sa main dans mes cheveux. La mienne remonta dans son dos, puis longea la courbe de son sein. Elle ferma les yeux, sa respiration s’accélérant pendant que mes doigts pianotaient sur ses côtes.

– Monsieur Blake, murmura-t-elle d’une voix étranglée.

– Je me fiche de cette coutume. Je veux être avec toi ce soir.

Mon pouce s’égara sur la pointe de son sein que je taquinais doucement. Sa main se resserra dans mes cheveux, et au soupir qui lui échappa, je devinai qu’elle était en train de rendre les armes. Après presque un an de vie commune, je savais reconnaître les signes de reddition chez Kathleen.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-03-15T21:31:22+01:00

– Vous ne faites jamais ça, n’est-ce pas ? m’inquiétai-je en la voyant baisser les yeux vers le sol.

– Je vous demande pardon ?

– Parler aux clients. Exister à leurs yeux, je veux dire. Votre embarras est palpable.

– Je vous prie de m’excuser, dit-elle en faisant quelques pas vers la sortie.

Pour la première fois depuis des mois, je m’entendis rire. Pas à cause d’elle, mais grâce à elle. Elle était si hésitante, touchante… vraie. C’était la seule chose qui revenait depuis que je l’avais vue dans cette grande salle.

Elle était vraie.

– Quel est votre nom ? demandai-je avec curiosité.

– Dillon… Kathleen Dillon, répondit-elle, tremblante.

– Enchanté, Kathleen.

– Je vous souhaite une bonne soirée, monsieur Blake.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-03-15T21:30:07+01:00

Une mèche de cheveux glissa sur sa joue et rougissant à nouveau, elle la plaça derrière son oreille.

Pourquoi culpabilisai-je maintenant ?

Et pourquoi mon regard était-il happé par elle ? Par ses joues, par la peau de son cou… Comment était-ce simplement possible ?

– Vous travaillez toujours de nuit ? demandai-je pour briser le silence.

– Euh… oui.

– Depuis longtemps ?

– Trois… ans.

Elle rougit violemment. Elle chercha à réprimer cette marque d’émotion en se pinçant les lèvres, mais échoua et provoqua l’effet inverse. Un sourire apparut sur mes lèvres. Il y avait tellement d’embarras en elle. Et ça la rendait adorable et vraie.

– Ça faisait longtemps…, raillai-je. Ne soyez pas si nerveuse, lui intimai-je en posant ma main sur la sienne.

Stupéfait, je fixai ma main. Observer sa peau était fascinant, la toucher était… Je n’avais même pas de mot. Douce, chaude, lisse. Parfaite. Je sentis ses muscles se tendre. Mais cette tension n’était plus de la gêne. C’était e la retenue et, moi-même, en franchissant cette limite, je m’impressionnai. Son regard n’était plus fuyant, elle me regardait.

Je finis par la libérer et très vite, elle cacha sa main.

– Je vous souhaite une bonne nuit, murmurai-je.

– Merci, vous aussi.

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Extrait ajouté par miss-breizhindia 2021-12-26T13:45:39+01:00

- Vous ne faites jamais ça, n'est-ce-pas ? m'inquiétais-je en la voyant baisser les yeux vers le sol.

- Je vous demande pardon ?

- Parler aux clients. Exister à leurs yeux, je veux dire. Votre embarras est palpable.

- Je vous prie de m'excuser, dit-elle en faisant quelques pas vers la sortie.

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Extrait ajouté par miss-breizhindia 2021-12-26T13:42:56+01:00

Il y avait tellement d'embarras en elle. Et ça la rendait adorable et vraie.

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Extrait ajouté par miss-breizhindia 2021-12-26T13:42:30+01:00

C'est à cet instant que je le sentis. Elle exercait sur moi une forme d'attraction étrange. Je la fixai, et même si elle semblait embarrassée, je devinai que c'était mon comportement qui la troublait.

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Extrait ajouté par miss-breizhindia 2021-12-26T13:41:02+01:00

Les mains derrière le dos, les cheveux tirés, les pieds serrés l'un contre l'autre, elle aurait pu être ... invisible. Parce que immobile. Et pourtant ...

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Extrait ajouté par miss-breizhindia 2021-12-26T11:35:19+01:00

J'admettais facilement qu'ils ne comprennent pas mon comportement. Quel genre d'homme regrette sa femme volage ? Quel genre d'homme accepte qu'on piétine sa fierté, aux yeux de tous, sans rien dire ?

Même moi, je ne comprenais pas.

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