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Commentaires de livres faits par Debby

Extraits de livres par Debby

Commentaires de livres appréciés par Debby

Extraits de livres appréciés par Debby

Sommaire:
LES TEXTES INTERATIONAUX DE PROTECTION DES DROITS DE L'HOMME ET LEUR CONTROLE : L'ABSENCE DE REGLE GENERALE ABOLITIONNISTE

Les textes originaires de protection des droits de l'homme : la tolérance de la peine de mort
Les protocoles abolitionnistes : l'abolition fragmentaire de la peine de mort
Le contrôle juridictionnel et quasi juridictionnel : le triomphe de la souveraineté des Etats
Le contrôle non juridictionnel : la promotion de l'abolition


L'ACTION DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES EN DEHORS DES MECANISMES FONDES SUR LES TEXTES INTERNATIONAUX DE PROTECTION DES DROITS DE L'HOMME : L'EMERGENCE D'UNE PRATIQUE D'INSPIRATION ABOLITIONNISTE

L'appropriation de la question de la peine de mort dans les recommandations des organes généraux des Nations Unies
La multiplication des références à la question de la peine de mort dans les recommandations onusiennes et européennes depuis les années 1990
L'exigence de l'abolition de la peine de mort tributaire de contraintes politiques et économiques
L'abolition de la peine de mort exigée : affirmation et mise en oeuvre

source : priceminister
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date : 20-12-2012
Je suis perdu dans Zanzibar, égaré sur le bas-côté de l'Afrique. C'est par où, l'aventure ? Les murs de la vieille ville sont usés par le soleil, les façades coloniales s'effritent en silence. «L'hôtel est juste à côté», m'indique le vendeur de pastèques, seul être vivant croisé dans la torpeur de l'après-midi. Il faut longer un rempart défoncé par la végétation tropicale puis tourner à droite, sous une forêt de fils électriques dénudés. Je pousse la lourde porte cloutée, la matrone fait ses ongles derrière son comptoir, le prix des chambres est affiché en dollars. J'écope de la numéro dix : une cellule blanche, carrée, avec un plafond zébré de poutres en cocotier, un lit large comme un hippopotame et une petite ouverture encombrée de fils de fer, où s'emmêlent les rayons du soleil. Il fait 35 degrés, le ventilateur est cassé.

source : amazon
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date : 11-12-2012
Extrait de l'introduction :

Pourquoi un scénario ?

Presque toutes les opérations de l'esprit impliquent un scénario.
De même, toute entreprise individuelle consciente et toute action collective concertée constituent des projets, des stratégies - donc des «scénarios» - régis par les règles narratives, à l'instar du cinéma.
Prévoir, structurer, vérifier sont les trois étapes pour apprendre à mieux maîtriser les champs de force d'une création en cours.
Le scénario est l'art d'utiliser consciemment ces trois étapes. Et de les appliquer à des objets explicites, issus de notre expérience et de notre imagination, de façon à organiser un univers relatif mais cohérent.
Par où commencer ? Comment mettre en forme ses premières esquisses ? Que faire pour donner une nécessité à un ensemble de situations imaginaires ? D'où naîtra leur cohésion ? Comment trouver une fin plausible et conforme aux enchaînements du récit ?
On se propose d'apporter à ces interrogations des réponses simples et claires, de façon à constituer une sorte de petite grammaire scénaristique. Certains éléments de cette réflexion appartiennent à l'usage courant, mais sont ici reformulés et redéfinis. D'autres sont inédits, et mêmes prospectifs.
Les pistes inédites ne sont pas les moins nécessaires. La pratique du scénario est un champ de découvertes sans fin.

source : amazon
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Durkheim cherche une réponse collective matérielle objective au problème de la cohésion sociale. Et dans ce sens précis, il n'y a pas eu d'évoluations dans sa pensée vers un primat presque exclusifs d'éléments subjectifs et normatifs.
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date : 09-10-2012
Depuis que le sol s'est dérobé sous nos pieds, il n'a pas pu s'écouler plus de deux ou trois secondes. Mais elles m'ont paru durer une éternité, un vrai cauchemar au ralenti.
- Attention, ça glisse.
Je l'ai suivi à l'intérieur de la grotte, par une fente étroite dans le rocher.
Passant de l'humidité au sec. De la chaleur au frais. De la lumière au noir.
Et c'est arrivé. J'ai entendu la terre gronder. Un cri. Le bruit d'un corps qui chute. Puis, j'ai eu l'impression qu'on tirait le sol sous mes pieds, et moi aussi je suis tombé.
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date : 09-10-2012
Par-delà le chant des oiseaux dans les arbres des jardins, on entendait le bourdonnement sans fin du trafic sur le périphérique.
Assis sur le lit, Adam suivait des yeux les contours d'une large tache apparue à l'angle du plafond de la chambre après les violents orages de la semaine passée. Elle était jaunâtre en son centre et ressemblait à une fleur dégénérée. Des taches comme celle-là, il en avait poussé dans presque toutes les pièces de l'étage. Il faudrait gratter le plâtre, colmater et repeindre. Il faudrait se pencher sur la question de l'étanchéité du toit. La liste des travaux s'allongeait encore.
La maison était perchée sur un relief, au milieu d'un lotissement de banlieue à l'architecture simple et vieillotte. Les pluies d'orage avaient été si fortes que, plus au sud, en bordure du fleuve, des quartiers récemment sortis de terre avaient subi de dramatiques inondations. Les plus importantes que la région ait connues depuis quarante ans. Des habitations dévastées, des centaines de véhicules emportées. Et des vies perdues. On avait déploré la disparition de deux enfants.
Adam était pieds nus, vêtu seulement d'un pantalon de coton. Un pantalon serré à la taille par une cordelette souple. Les yeux rivés sur la tache, il revoyait les images montrées en boucle sur toutes les chaînes quelques jours auparavant. Le plan fixe sur le fleuve, plus large qu'il ne l'avait jamais été, gonflé et palpitant comme un muscle colossal, charriant avec une égale intransigeance les brins d'herbe et les voitures retournées. Le ciel d'apocalypse en toile de fond. Puis le zoom inattendu et approximatif sur un arbre sans feuilles, aux branches noires et maigres au milieu desquelles on découvrait presque par hasard les enfants, minuscules, assis, les jambes ballantes, au-dessus de la boue torrentielle. Calmes en apparence. Avant que le tronc ne cède. La lumière filtrait à travers les volets croisés. Une odeur de terre chaude remontait des jardins par l'entrebâillement de la porte-fenêtre. Adam tourna la tête vers la bouteille en plastique posée sur la table de nuit. Il la porta à ses lèvres et but maladroitement. Il s'étrangla et toussa. De l'eau s'écoula le long de sa barbe et quelques gouttes mouillèrent son torse, qu'il essuya du plat de la main.
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date : 09-10-2012
L'ombre se fit plus épaisse sur le front de son interlocutrice dont les lèvres se pincèrent nerveusement.

--Malheureusement, je ne l'y ai jamais forcée, dit-elle d'un ton où vibrait une émotion puissante. Si j'avais agi envers elle comme je l'ai fait pour Isabelle, elle vivrait encore, ma jolie Lucienne. Mais j'ai été faible... Pendant plusieurs années après mon mariage, uniquement occupée de mes travaux littéraires, de la renommée que j'ambitionnais, du succès, de la célébrité même qui m'arrivait alors que j'étais si jeune encore, je laissais mes enfants aux soins d'une gouvernante... Et cependant, je les aimais, je le compris le jour où mon second fils mourut d'une chute causée par l'imprudence d'une servante
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Ils marchaient depuis des heures à la lumière des réverbères, sous des averses intermittentes, insouciants, fumant et parlant jusqu’à en avoir mal à la gorge. À la fin, ils eurent l’impression de ne plus rien avoir à se dire et prirent sans un mot le chemin du retour, portant l’idée à eux deux, longeant la lisière tremblante de la réalité qui séparait New York d’Empire City. Il était tard. Les cousins étaient affamés, fatigués, et avaient grillé leur dernière cigarette. — Quoi ? dit Sammy. À quoi penses-tu ?
— J’aimerais qu’il soit réel, répondit Joe, qui eut soudain honte de lui.
Voilà qu’il était libre d’une manière dont sa famille pouvait seulement rêver. Et que faisait-il de sa liberté ? Il rôdait en discutant et inventait un tas d’inepties sur un être qui ne pouvait libérer rien ni personne d’autre que des signes noirs barbouillés sur un bout de papier bon marché. À quoi cela rimait-il ? À quoi bon marcher, discuter, fumer des cigarettes ?
— Je te parie, s’exclama Sammy, qui posa la main sur l’épaule de Joe. Je te parie que tu vas y arriver !
Ils se trouvaient au coin de la Sixième Avenue et de la 34e Rue, au milieu d’une turbulence de lumières et de gens. Sammy demanda à son cousin d’attendre une minute. Joe resta planté là, les mains dans les poches ; avec une félicité honteuse, il classait désespérément ses pensées dans les rangées et les colonnes de petites cases avec lesquelles il projetait de trousser la première aventure de l’Artiste de l’évasion : Tom Mayflower en train de revêtir le costume et le masque bleu nuit de feu son maître, la poitrine décorée à la hâte, grâce à l’aiguille experte de Miss Fleur de Prunier, de l’emblème évocateur de la clé d’or. Tom en train de suivre l’espion nazi jusqu’à son repaire. Une pleine page de coups de poing échevelés, suivis, après esquive de projectiles, corps à corps et poutres qui s’effondrent, d’une explosion. Nettoyé, le nid de vipères de la Chaîne de fer. Et puis la dernière planche : la troupe rassemblée sur la tombe de Misterioso, Tom appuyé à la béquille qui lui sert de couverture. Et le visage spectral du vieil homme en train de leur sourire du haut des cieux.
— J’ai trouvé des cigarettes. (Sammy sortit des paquets de cigarettes par poignées d’un sac de papier brun.) J’ai aussi du chewing-gum. (Il tendit plusieurs paquets de Black Jack.) Tu aimes le chewing-gum ?
Joe sourit.
— Je crois qu’il va falloir que je m’y habitue.
— Ouais, tu es en Amérique maintenant. On mâche pas mal de chewing-gum ici.
— Et ça, qu’est-ce que c’est ?
Joe montrait du doigt le journal qu’il voyait coincé sous le bras de Sammy.
Sammy prit l’air sérieux.
— Je veux juste te dire une chose, commença-t-il. Voilà ! Nous allons faire un malheur avec cette bande dessinée. Je veux dire, c’est bien de faire un malheur. Je ne peux pas t’expliquer comment je le sais. C’est juste… c’est une sorte de pressentiment que j’ai eu toute ma vie, mais je ne sais pas, quand tu es arrivé… je le savais… (Il leva les épaules et détourna le regard.) Peu importe ! Tout ce que je sais, c’est que nous allons vendre un million d’exemplaires de ce truc et gagner un argent fou. Et tu vas pouvoir prendre cet argent et payer ce qu’il faut pour faire venir ta mère, ton père, ton frère et ton grand-père jusqu’ici, où ils seront en sécurité. Je… c’est ma promesse. J’en suis sûr, Joe.
Le désir de croire son cousin dilata le cœur de Joe. Il s’essuya les yeux sur la manche rugueuse du veston de tweed que sa mère lui avait acheté à la Boutique anglaise du Gruben.
— D’accord, souffla-t-il.
— Et en ce sens, tu vois, il sera vraiment réel. L’Artiste de l’évasion. Il fera ce qu’on dit qu’il est capable de faire…
— D’accord, répéta Joe. Ja ja, je te crois. (Cela le rendait impatient d’être consolé, comme si les paroles de réconfort donnait plus de crédit à ses peurs.) Nous ferons un malheur.
— C’est ce que je te dis.
— Qu’est-ce que c’est que ces journaux ?
Avec un clin d’œil, Sammy lui tendit un exemplaire de chacun des numéros du vendredi 27 octobre 1939 du New Yorker Staats-Zeitung und Herold et d’un quotidien tchèque, le New Yorske Listy.
— Je me suis dit que tu y trouverais peut-être des informations, répondit-il.
— Merci, dit Joe, ému, regrettant la manière dont il avait rembarré Sammy. Et, bon, merci pour ce que tu viens de me dire.
— De rien, répondit Sammy. Attends d’entendre mon idée pour la couverture.
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Redingotte est maussade à son lever. Sa chatte Chataigne est hermétique aux embrassades. Redingotte n’a pas eu son câlin du matin. Elle va passer sa colère en croquant un gros morceau de pain. Plus de petits pots de myrtilles, plus de biscuits dans la boîte en fer décorée, plus un grain de café sur les étagères du placard. Il est vide. Redingotte n’a pas encore perçu son indemnité chômage. Les fins de mois sont difficiles.
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date : 16-08-2012
" J'attrapai mes béquilles. Je retrouvai Billy et Redso se faisant face dans le salon, entre mes colossales géodes d'améthyste. Billy était sur la pointe des pieds. Elle avait une main plaquée sur la bouche de Redso ; l'autre, sur sa nuque. Redso se balançait d'un pied sur l'autre avec la régularité d'un métronome - et de toutes ses bizarreries, ce balancement d'automate était de loin la plus énervante. Il avait vraiment l'air d'un catatonique.
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[...] La première, c'est que plusieurs anthropologues travaillent successivement ou simultanément sur des terrains identiques ou proches.
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L'enquête de terrain procède par itération, c'est-à-dire par allers et retours, va-et-vient. [...] L'enquête de terrain s'adapte donc aux divers circuits sociaux locaux, à leur complexité, à leurs imbrications, à leurs distorsions.
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Quant à la "descendance" de l'esclavage, rappelons que le mariage et la vie familiale, même officiellement évoqués (et avant qu'ils ne soient fortement encouragés en vue de prévenir les désordres lorsqu'il fallut préparer l'émancipation), étaient quasi prohibés.
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Le moins que l'on puisse en dire, c'est que le choc de ces noms saugrenus ou dégradants contresigne l'affront.
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date : 06-08-2012
Un jour que j'allais attendre la comtesse dans sa loge, je m'entends appeler de la loge voisine. N'était-ce pas encore la décente Madame de T... ?
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date : 06-08-2012
Comme elle est fine, disait-elle ! quelles a de grâces ! une perfidie dans sa bouche prend l'air d'une saillie; une infidélité parait un effort de raison, un sacrifice à la décence.
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date : 06-08-2012
La fraicheur et l'air pur de ce moment calmèrent par degrés mon imagination et en chassèrent le merveilleux. Au lieu d'une nature enchantée, je ne vis qu'une nature naïve.
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Dans un pays fort éloigné de celui-ci, vivait un marchand fortuné. Mais s'il avait des richesses immenses, il avait aussi beaucoup d'enfants. Sa famille était composée de trois garçons et trois filles. Aucun n'était établi.
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Tantôt il lui donnait une fête galante, tantôt il lui faisait les serments les plus tendres. Que son sommeil fut agréable.
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La douceur de ce monstre inspirait quelquefois à la Belle le dessein de lui demander quelques éclaircissement au sujet de celui qu'elle voyait en songe. Mais suffisament informée qu'il était amoureux d'elle, et craignant par cette demande de lui causer la jalousie, elle se tut par prudence, et n'osa satisfaire sa curiosité.
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A ces mots, la Belle crut voir l'inconnu tirer un poignard, et se mettre en état d'égorger le monstre qui ne faisait aucun effort pour se défendre, qui même s'offrait à ces coups avec soumission et docilité.
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- Cette jeune personne veut faire d théâtre, expliquait mon père.
Je revins à la réalité. En une minute, j'eus la gorge aussi serrée qu'au cinquième étage d'un immeuble en flammes quand on va se décider à sauter.
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- Comment va, belle beauté ? disait une voix mâle et colossale, sortant d'un corps également mâle et colossal, et s'adressant à une belle cariatide impassible.
Nous étions chez Yonnel, dans la classe de tragédie.
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- On va vous convoquer pour l'audition, apprenez la scène quatre de l'acte un.
Mais j'étais tranquille ! Le fluide était là.
Je parcourus gloutonnement la pièce dans le métro. Je compris tout de suite qu'il valait mieux ne pas faire une lecture publique à mes parents...
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La situation était divertissante ! Rien de bourgeois ni de banal dans cette demande en mariage. Un jeune, encore tiède des feux de la rampe, viendrait demander la main d'une ingénue dans une maison envahie de comédiens.
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On était à table. Par la fenêtre de la salle à manger, ouverte sur le jardin, pénétraient tous les parfums de juin.
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