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-Ne compte pas là-dessus. Tu pourrais me passer par toutes les couleurs, me jouer tout tes sort de sorcier en herbe je ne partirais pas !

Il a l’air surpris que je sache qu’il joue à Harry Potter. Il a pourtant levé le sort en trois mots incompréhensible. A Moscou j’en ai vu plus d’un utiliser la sorcellerie et ce n’est jamais bon, il y a toujours un retour. Démétrios passe une main dans ses cheveux en regardant autour de lui. Je me demande si ils sont doux, j’imagine les tirer pendant que je le baiserai et qu’il criera mon nom alors que…

-C’est vraiment ton bureau ?

Il me tire de mes pensées et je repousse l’idée de le prendre là sur mon bureau pourtant c’est bien tentant. Mais c’est un mec et malgré toute l’attirance physique que j’éprouve, je suis plus fort que ça.

-Oui pourquoi ?

-Non comme ça, bon écoute (il s’assoit en face de moi) je crois qu’on est partis du mauvais pied toi et moi, on pourrait peut-être trouver un terrain d’entente qui conviendrait a tout le monde.

J’acquiesce et appuie mes avant-bras sur mon bureau très intéressé par ce qu’il va dire, par ce que je sens que son « qui pourrait convenir a tout le monde » veut dire « surtout à Démétrios ».

-Le mieux serait que tu retournes en Russie. Après tout ici il n’y a rien qui te retient et puis j’étais un peu là avant toi.

J’en étais sur !

-Ça t’arrive de faire les choses pour une autre personne que toi ?

Il me regarde l’air de demander si je suis stupide. Effectivement ma question est conne, évidement que non.

-Bon. Au risque de te décevoir Démétrios, il y a un astre qui s’appel soleil et c’est autour de lui que la Terre tourne, pas autour de toi.

La chute va être dur pour lui, je le sens.

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Extrait ajouté par Folize 2014-07-29T21:59:07+02:00

Je tapote machinalement le volant et Sergei sifflote en me regardant avec un sourire qui m’agace, mais ne dit rien.

– Quoi ? Je demande au bout d’un moment.

Sergei arrête de siffler, mais sourit toujours comme un crétin, sans rien dire. Je hausse les sourcils, pour l’inciter à sortir ce qu’il a sur le cœur.

– Toi ou lui ?

– Quoi ?

Il se retourne dans son siège pour me faire face.

– Je n’arrive pas à t’imaginer coucher avec un mec. Je veux dire, je t’ai déjà vu baiser des femmes, mais un mec…je me demande si c’est toi qui as pris.

– Tu… (J’inspire) putain Sergei, mêle-toi de ton cul !

– Dans l‘immédiat, c’est le tien qui m’intéresse !

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- Le mot magique ?

- Bouge ton cul.

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Sven:

Je monte les marches et arrive dans le couloir désert, il n’y a pas sa secrétaire qui essaye en vain de faire barrage et j’entre dans son bureau en souriant. Ah cette odeur je ne m’en lasserai jamais, même si elle met mon corps en charpie, elle est délicieuse.

– Tu n’es pas encore retourné dans ta caverne l’ours?

Toujours aussi agréable. Je m’avance, m’installe sur un siège en face de lui et le déshabille du regard un instant. Il est de dos face à la vitre qui donne sur la boite et bordel, super bandant dans son costume noir. Il se retourne et je ne vois que le vert de ses yeux qui me transperce.

– Content de te voir aussi Démétrios.

– Qu’est-ce que tu veux?

Question judicieuse, je ne sais pas ce que je veux, je sais juste que j’ai besoin de m’assurer qu’il va bien, mais je n’ai pas réfléchi à ce que j’allais lui dire.

Démétrios n’en finit pas de me fixer, je vois même sa respiration s’accélérer et son odeur se fait plus forte, il a envie de moi.

Je souris, peut être que Sergei a raison, on devrait peut-être arrêter de lutter, mais… non ce mec incarne tout ce que je déteste, sans oublier que, justement, c’est un mec.

– Je voulais m’assurer que tu étais toujours en vie.

– Je suis vivant, au revoir, Sven.

Je ris et me lève pour le rejoindre.

– Ça n’a plus l’air de t’inquiéter que quelqu’un en ait après toi.

– Je suis habitué, ce n’est pas la première fois qu’on me menace.

Je m’arrête en face de lui et pose mes fesses sur son bureau, il me regarde d’un oeil sévère, comme si je venais de piquer la caisse.

– Tu avais pourtant l’air secoué quand je te l’ai dit.

Démétrios détourne le regard et retourne à la contemplation de sa boite. J’admire ses épaules larges, son dos et putain son cul.

– Ça n’a rien à voir.

Je songe à sa réaction dans mon bureau, il avait l’air tout retourné qu’on cherche à le tuer voir même inquiet et…

– Tu t’inquiètes pour moi dis-je en soufflant.

Je suis touché, c’est bien la première fois que quelqu’un s’inquiète pour moi. J’ai un physique qui parait indestructible et jamais on a estimé qu’il pourrait m’arriver quelque chose. Pourtant je suis mort une fois, enfin presque mort, mais c’était la guerre.

Je me redresse et me colle derrière lui, je le sens trembler quand il prend conscience de mon corps derrière le sien, si proche que ses cheveux viennent chatouiller mon visage.

– Je n’en ai rien à faire de ce qui peut t’arriver.

– Tu sais que je ressens la même chose, c’est bien pour ça que je suis là.

J’inspire son odeur à pleins poumons, ma queue fait des bonds de se savoir si près de lui, mais pas en lui. Je me rapproche encore jusqu’à ce que nos corps se touchent et je l’entends grogner. Bordel je joue avec le feu, mais il arrive un moment où même le plus fort des hommes ne peut plus lutter ; et là

je laisse libre cours à mes instincts qui me hurlent de le baiser, de le mordre, de le faire mien et de le protéger au péril de ma vie.

Mes mains viennent se poser sur son torse et c’est à mon tour de grogner, je sens à travers le tissu fin de sa chemise toutes les courbes de ses muscles et des images de moi en train de lécher ce corps, se mettent à danser dans ma tête. Démétrios s’appuie un peu plus sur moi, ses fesses se frottent à présent contre ma queue dure comme du marbre.

– Qu’est-ce que tu fous? me demande-t-il, la voix pleine de désir.

Je crois qu’il ne le sait pas plus que moi et que peut être lui aussi a décidé d’arrêter de lutter contre moi. Je ne réponds pas et enfouis mon nez dans son cou, mes crocs sortent d’instinct, pensant pouvoir se planter dans sa chair tendre et enfin recevoir ce sang qu’ils attendent depuis trop longtemps. Je me contente de le humer, j’aime tellement cette odeur.

Mes hanches se frottent contre lui dans un mouvement lascif et Démétrios se détend dans mes bras que je resserre autour de lui, avant qu’il ne se tourne vers moi.

Il me regarde, haletant, ses yeux remplis de désir et se jette sur ma bouche. Nous grognons à l’unisson tellement c’est bon de sentir le goût de l’autre sur ses lèvres.

Sa bouche s’ouvre, nos langues se mêlent et je perds totalement le contrôle de mon corps. Je le plaque contre la vitre, mes mains parcourent son corps, avides de lui et les siennes s’accrochent à mon dos pour me rapprocher encore plus de lui.

J’ai envie de sa peau de la sentir et je tente de le déshabiller, quand il me repousse violemment pour atterrir contre le bureau.

– Arrête bordel!

Sa voix trahit sa lutte entre le désir de son corps et ce que lui veut. Je tente de me reprendre, mais je m’étais tellement laissé aller, qu’il est difficile de me contrôler.

– Casse-toi Sven et ne reviens pas!

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- Ma douleur vient de toi.

- Mon plaisir vient de toi.

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En Russie, c'est système D, tu veux boire ? Ouvre la porte, penche-toi, ramasse de la neige et fais-la fondre.

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Putain c'est quoi ce délire ? Je rêve ou ce dégénéré me renifle ? Qu'est-ce qui lui prend ? Merde ! Il me relâche au moment même où mon esprit perçoit cette odeur... sur lui.

Ma destinée est ce malade de deux mètre de haut (pas que je sois ridicule à côté, je me défends pas mal), et qui... PUTAIN !

Où est l'Oracle que je lui pète la gueule à cette connasse !

C'est un mec ! Il a des couilles ! Il est percé de partout et possède une queue ! Pas un vagin ! Une queue ! L'impensable pour moi !

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Extrait ajouté par Kanon 2017-01-26T22:09:34+01:00

Démétrios

J'étais donc sorti, j'avais eu la joie de voir à deux mètres de moi, un ours, en train de finir son repas gentiment, enfin il avait l'air d'être drôlement à cran, lorsqu'il m'a vu.

Sven dira que le hurlement venait de moi, et moi j'insiste lourdement sur le fait que c'est l'ours qui a gueulé, rien ne me fait peur et certainement pas un ours tout velu et plus grand que Sven. Je n'ai pas peur des ours, j'ai Sven donc bon, je suis habitué à leur présence.

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Dem:

– Tu vas être gentil et te barrer dès demain. Tu prends un vol aller simple en direction de Moscou et tu m'oublies! Sinon je te jure que le pieu ou la vodka ne seront que le commencement de tes problèmes!

Sven se met à rire.

– Il faut arrêter de rêver Démétrios, je ne me barrerai pas parce que tu m'as mis KO ce coup-ci, ni que tu t'amuses à mettre je ne sais quelle connerie dans mes boissons. Je reste.

– Alors tu en payeras les conséquences!

– Ça reste à voir.

Sven se met à remuer sous moi pour tenter de me faire perdre l'équilibre, mais je reste raide comme un piquet, surtout quand je sens quelque chose de dur contre ma cuisse. Si près de ce qui fait de moi un homme et qui hurle l'envie.

Merde!

D'un mouvement fluide, je perds le pouvoir que j'ai sur lui, et me retrouve plaqué à mon tour contre ce maudit bureau, pris au piège, et sous Sven qui m'écrase de son corps. Vengeance.

Danger!

– Ça va? Tu la sens plus? je grogne

– Je dois dire que je suis plutôt satisfait de voir que je te fais de l'effet!

Misère, il a dû LE sentir! Garde ta fierté Dem!

– Tu ne me fais pas d'effet connard! Descends de là sinon...

– Sinon quoi?

Han le con! Me voilà pris à mon propre jeu, et je suis perdant. Je me débats à mon tour. Mais deux puissances face à face, c'est comme bouger un mur de roche : impossible. Me débattre ne fait qu'empirer la situation, nos deux corps à vif, enfin surtout le mien, se frotte au sien et éveille de puissantes pulsions. Très mauvaise idée!

– Bon maintenant qu'on a fait mumuse, et qu'on a chacun la gueule en sang…

Je respire par le nez, et constate qu'il a raison, je saigne, lui c'est pareil et... bordel, cette odeur c'est... Son sang. De son arcade sourcilière coule un fin ruisseau de sang, et je suis hypnotisé. Il est... QUE DALLE!

– Tu m'enlèves ça immédiatement.

– Va crever Sven!

– OK!

Le vampire se penche vers moi, je me raidis, il compte faire quoi là au juste.

– Redresse-toi merde!

Je sens son souffle près de mon cou, brûlant sur ma peau. Je le bute s'il compte faire ce que je pense.

– Enlève-moi cette merde tout de suite, sinon, je te mords et tu es sûr de devoir me supporter jusqu'à la fin de ta vie.

Jamais.

Putain j'en reviens pas que ce soit lui qui gagne.

– Connard.

Je claque des doigts et murmure deux trois conneries en langue morte, et pouf, tout disparait sur son visage.

– Voilà! Te revoilà moche! J'espère que tu es content.

Sven se redresse en me fixant. J'ai le regard qui se perd sur son arcade ensanglantée. Ce sang... Et lui tout entier, qui représente pour mon corps la tentation ultime.

Résiste!

Sauf que tout dérape, et je comprends que je ne contrôle plus rien désormais.

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Extrait ajouté par Kanon 2017-01-26T22:04:10+01:00

-Bon au risque de te décevoir Démétrios, il y a un astre qui s'appelle soleil et c'est autour de lui que la Terre tourne, pas autour de toi.

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