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Commentaire de MaevaCerise

Demain les chiens


Commentaire ajouté par MaevaCerise 2020-04-03T17:16:31+02:00

On ne suit pas spécifiquement les chiens contemporains au livre, mais ce qui amène à leur existence par le déclin de l'humanité jusqu'à ce que ce soit des contes, des mythes. L'humanité a t-elle vraiment existé ? J'apprécie Tige qui est plus prêt de la vérité que les autres.

Le premier conte est intéressant dans ce qu'il explique un changement societal qui change aussi des façons de vivre et de penser pour les humains. Le second conte, conséquence du premier, en montre un effet pervers.... Une émotion, un sentiment... Dû à ce nouveau mode de vie qui enchaîne assurément et laisse une sensation... De regret... De "et si". C'est assez particulier. Le troisième conte parle de mutation, d'évolution, de conséquences mais introduit enfin Nathanael l'ancêtre de la civilisation de chien dont les notes nous parlent. En fait ces contes sont assez philosophiques et psychologiques, parlant du déclin d'une race... L'humanité. Je vous trouve ce livre étonnamment passionnant. Le quatrième conte est bizarrement le conte qui m'a le plus intrigué car l'homme se croit toujours supérieur à tout autre, c'est dans son mode de pensée... Et si l'inconnu, une autre race se révélait bien plus grand, plus ouvert, plus attentif, plus en adéquation au monde que l'humain. Je ne sais comment le formuler mais chaque conte est lié, il y a une progression et un enchaînement logique et qui se surpasse. La science fiction n'est elle pas d'oser voir les possibilités au delà de notre perception basique ? De voir les choses autrement ou comme cela pourrait être ? De réfléchir sur des psychologies, des sociétés, des fondements et des notions de races où l'humanité ne serait pas toujours au sommet. Bien. Le cinquième conte ne m'a pas étonné. L'homme est doué pour détruire et se détruire, pour se débarrasser se tout ce qui met en danger sa façon de penser et son obsession de la race humaine et du pouvoir qu'il en détient.... Que c'est triste. Mais parfois on est surpris et on voit un bon aspect de l'humain. Le sixième conte à présent introduit le début de la civilisation canine. Les robots et les chiens car les hommes les ont abandonnés. Un extrait que j'apprécie sur l'humain : "Il croyait toujours que sa race était la seule qui comptât, son existence, la seule qui importât, il avait toujours l’égoïsme complaisant qui l’avait aidé à se proclamer le roi de la création.." et finalement j'apprécie la conclusion de ce conte là. Passons au septième conte... Celui-ci est impressionnant et terrible. Peut on vraiment changer sa nature profonde ? Peut-on sous des couches et des couches de nouvelles croyances ôter l'instinct de meurtre, de sang ? Je ne sais pas. Ce conte est intéressant également et je n'envie guère Jenkins. Voyons le huitième conte. Oh. Oh. Ce huitième conte est terrible. Finalement est-ce que l'instinct de mort... De sang ne répond pas à un réel besoin de la nature pour s'auto-reguler ? Je ne sais pas si je suis d'accord avec la décision de Jenkins même si au final elle découle d'une logique pleine...d'espoir. Mais je suis humaine et donc biaisée. Et cet instinct de mort pas forcément pour se nourrir ou se défendre n'est-il lié qu'à la nature humaine ? Ou est-ce lié à tout être vivant mais limité par son champ d'action et de possibilités ? Et une civilisation entière peut-elle y échapper ? L'histoire finit ainsi et on comprend que la civilisation des chiens à perduré même si ce n'est pas là où elle a débuté. Mais du coup on a envie de savoir le problème lié aux Webster, aux mutants, aux fourmis, aux chiens... Ce qu'ils sont devenus... Je ne pensais sincèrement pas apprécier autant.

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