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Extrait ajouté par Ellen-x 2013-06-24T10:16:03+02:00

— Tu ne devrais pas. Tu as cicatrisé quand tu t’es transformée. (Il lui souleva les paupières et fronça les sourcils.) Tes pupilles sont dilatées. (Il s’accroupit à côté du canapé et lui ôta la couverture.) Je vais t’examiner. Il lui déboutonna sa chemise, et bien qu’elle soit à l’agonie, elle sourit.

— Toutes les excuses sont bonnes pour me peloter.

— Pas besoin d’excuse. Tu es une fille facile.

— Tu…

Elle rouvrit les yeux d’un coup, mais quand elle vit le sourire, assez rare pour être remarqué, qui lui retroussait les lèvres, elle comprit qu’il la taquinait. Ce qui était étrange, car Luc ne passait pas pour un type très joueur.

— Tu devrais sourire plus souvent.

— Impossible. (Il grogna lorsqu’il écarta le tissu pour exposer la plaie.) Des fois que mon visage reste figé.

Elle rit, puis poussa un cri lorsque la douleur lui tenailla l’abdomen.

— Merde. (Luc retira aussitôt les mains.) Je t’ai fait mal ?

— Non, croassa-t-elle. Je n’aurais pas dû rigoler.

Il la balaya du regard comme s’il la passait au scanner, et Karlene eut l’impression qu’il lisait en elle.

— Je suis désolé. Pour tout.

Il parlait du bébé.

— Ne le sois pas.

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Extrait ajouté par toutoun 2013-11-21T19:18:08+01:00

Elle s’éloigna de Shade et, d’un geste délibérément sensuel, agrippa la nuque de Conall.

— Écoutez, les gars. Vous semblez me prendre pour une petite poupée, douce et innocente.

Elle effleura la peau de Conall du bout des ongles, et il siffla. Ses crocs étaient d’un sexy…

— Or je ne suis rien de tout ça. Je suis un succube. Réfléchissez un peu à ce que ça signifie.

Shade blêmit, arborant un teint grisâtre singulier. Eidolon grimaça.

— Eh ouais ! Sans sexe, je dépéris. Alors, cessez de jouer les chaperons, car ça m’horripile. Je n’ai vraiment aucune envie que vous soyez dans le coin quand il faudra que j’assouvisse mes besoins, et vous non plus, d’ailleurs. (Elle leur décocha son plus beau sourire.) Et dès que vous serez partis, je chevaucherai Conall jusqu’à ce qu’il implore ma pitié, sachez-le.

Eidolon soupira. Shade jura. Et Conall marmonna quelque chose qui sonnait bizarrement comme « pitié ».

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Extrait ajouté par babou0343 2013-08-15T16:49:23+02:00

"Oh, pour l'amour du ciel! Mets-toi un vibro dans le cul et arrête de jouer les machos! Je sais ce que je fais. Je suis douée pour tuer et baiser, et j'userai de l'une ou l'autre de ces armes...

Aveuglé par la rage, il l'agrippa par les bras, la pressa contre lui, et l'embrassa. Cette étreinte n'avait rien de tendre. Elle servait simplement à gommer toute trace de l'autre mâle. À afficher sa domination comme le gros dur qu'il était. À s'assurer que leurs contacts intimes ne découlaient que de la colère ou de la soif de sexe, parce qu'il ne pouvait pas se permettre de ramollir.

Mais Sin n'étais pas du genre à se laisser faire. Elle poussa un cri indigné et lui écrasa le pied avant de tambouriner contre son torse.

Puis, elle lui mordit la lèvre assez fort pour le faire saigner. Lorsque le sang goutta sur sa langue, elle fit un pas en arrière, mais le mélange incisif de plaisir et de douleur excita Connall. Il s'immiscça dans sa bouche, et la caressa, la lécha, la força à le goûter.

Soudain, elle cessa de se débattre. C'était inutile. Elle lui planta la pointe acérée d'une lame dans l'aine, et il se figea comme une statue de glace.

- Embrasse-moi encore une fois sans ma permission, murmura-t-elle contre ses lèvres, et je t'arracherai les couilles pour les revendre à un boucher ruthanien. C'est leur spécialité. Pigé?

- Tu n'en feras rien, chuchota-t-il en retour. Elles te manqueraient trop.

Sin poussa un grognement agacé et rangea l'arme dans sa poche avant de reculer.

- C'est fou ce que les hommes surestiment la valeur de leur appareil génital."

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Extrait ajouté par Ellen-x 2013-06-24T10:13:47+02:00

— Dis-moi, lui intima-t-il.

Il n’eut guère besoin de développer. Elle savait ce qu’il voulait. Elle trembla, et il se contenta de la serrer dans ses bras.

Acculée par la puissance de sa volonté et de son étreinte, elle finit par murmurer.

— Ils… me quittent.

Il rouvrit les yeux d’un coup.

— Qui ça ?

— Tout le monde, chuchota-t-elle. Si je m’attache, ou si je veux qu’on tienne à moi, c’est impossible. On finit toujours par me délaisser.

Bon sang, elle n’en revenait pas de s’épancher de la sorte.

La blessure émotionnelle qu’il venait de lui infliger n’était pas près de se refermer, ses paroles ruisselaient sans qu’elle puisse en maîtriser le flot.

Avec délicatesse, il roula sur le flanc, l’entraînant avec lui, et lui caressa le dos pour l’inciter à se livrer davantage.

— Tu as Lore.

— Il m’a abandonnée, lui aussi.

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- On est bien tous les deux.

- Ouais.

Sin pensa à ses frères, à ses belles-sœurs, à ses nouveaux amis, et au compagnon le plus parfait de l'univers debout devant elle.

- Je ne pourrais rêver mieux.

- ça pourrait l'être... un jour.

Elle fronça les sourcils.

- Comme ça?

- Tu sais, ce dont parlais Lore...

- Euh... Je ne peux pas demander à mes frères de me donner leur sperme. Avec mes ovules, ce serait juste dégueu.

Conall éclata de rire, et ses crocs saillirent, lui conférant un air sensuel.

- Pas leur sperme. Le mien.

Elle lui tapota la main comme elle le faisait avec les triplés.

- Chéri, tu es un vampire.

- Ouais, mais je ne suis pas stupide. J'avais prévu ce scénario.

- Tu as fais congeler tes trotteurs

- Eh ouais.

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Extrait ajouté par eola 2014-02-04T19:41:01+01:00

Tandis que Conall et Sin s'approchaient du portail, la Porte des Tourments étincela et un énorme étalon rouge feu en surgit, éparpillant soignants et patients sur son passage. Un mâle imposant en armure de cuir rigide le montait. Il avait les cheveux courts, d'un brun tirant sur le roux, et ses yeux étaient aussi noirs que ceux de Sin.

- Hé, là! Qu'est-ce-que vous foutez ? s'écria Eidolon, mais le colossal cavalier tourna la tête et braqua sur Sin un regard si intense que Conall se raidit.

- Pourquoi te reluque-t-il comme ça ?

- Je...euh...(Elle lui jeta un coup d'oeil penaud.) J'ai plus ou moins couché avec lui une fois.

Conall prit une profonde inspiration et tâcha de contenir l'envie impérieuse d'étriper le mec sur son canasson.

- Tu l'as déniché où ? Sur conquêtesd'enfer.com?

- Hé, ce n'est pas drôle. Je connais des démons qui utilisent ce site de rencontre.

L'assemblée sembla se figer, observant la scène avec patience. Pourquoi tous ces types à cheval en avaient-ils après Sin, d'abord ?

- Eh bien, qui c'est ?

- Guerre

Conall la dévisagea incrédule.

- Guerre. Juste...Guerre. C'est quoi ce prénom pourri ?

Lui, jaloux d'une gravure de mode aux muscles d'acier ? Quelle idée !

- Ouais, tu sais, Guerre, le seul et l'unique. Le deuxième cavalier de l'Apocalypse.

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Extrait ajouté par stella67 2013-07-01T23:50:42+02:00

- Tu te rappelles quand je vous ai dit que Conall avait essayé de me lier à lui ? Eh bien, il semblerait qu'il ait réussi.

Pendant un moment, Eidolon resta immobile, l'air perplexe, puis il écarquilla les yeux d'un coup.

- Alors, tu ne peux plus...

- Non.

- Merde.

- Exactement. Maintenant, où est-il ?

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Extrait ajouté par Ellen-x 2013-06-24T10:08:37+02:00

— Je refuse de t’avilir.

Elle éclata d’un rire rauque.

— M’avilir ? Tu es sérieux ? Après tout ce que j’ai fait, je ne tomberai pas plus bas.

Elle perçut la surprise dans ses yeux et comprit qu’elle lui en avait trop dit. Elle n’en avait jamais raconté autant. À personne. Elle lui caressa le mollet du pied, pour se distraire et parce qu’elle se trouvait à deux doigts de lui sauter dessus.

— Par l’Enfer, tu m’as culbutée dans un placard à balais sur un pari ! En quoi est-ce différent ?

Il se rembrunit, comme si ce souvenir lui faisait honte, ce qui devait être le cas. À l’époque, il avait sous-entendu qu’il avait revu ses critères à la baisse afin de la satisfaire. Il recula d’un pas.

— Tu es aigrie, petite démone. Ton passé doit vraiment te peser.

— Va te faire foutre, répliqua-t-elle, mais l’injure sonna comme une invitation même à ses propres oreilles. Tu ignores tout de moi.

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Extrait ajouté par anonyme 2013-06-23T14:49:27+02:00

- Elle remua sur le lit, et le crissement sensuel de son pantalon en cuir moulant contre les draps l'émoustilla. Conall avait beau ne pas aimer Sin, son pénis, lui, était plus indulgent.

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Extrait ajouté par Milka2B 2015-11-29T23:01:13+01:00

— Je préfère rester vigilant. Sauf cas de force majeure, interdiction de mordre, baiser ou saigner sur qui que ce soit, ajouta-t-il avec ironie.

— Ça t’arrive souvent de saigner exprès sur des gens ?

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