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Quand John a crié : « Magnez-vous, un archer nous tire dessus ! », j’ai cru à une de ses plaisanteries, jusqu’à ce qu’une flèche se plante dans l’arbre à côté de moi. Élodie se tenait pétrifiée à quelques centimètres à peine. Blême, la bouche ouverte, elle était comme statufiée. À la vue du type tout vêtu de kaki, tel un chasseur qui cherche à se confondre avec la forêt, je paniquai. L’individu prit son temps pour saisir une nouvelle flèche et tendre son arc, j’attrapai Élodie par le bras et l’entraînai sans demander mon reste vers la rivière. Son coupe-vent rouge, faisait d’elle une cible parfaite dans ce décor vert entrecoupé de marron. J’aurais voulu prendre mes jambes à mon cou, courir toujours plus vite pour échapper à cet enfer, mais Élodie me freinait. Préférant la saisir par la main, je la traînai derrière moi. Quand un nouveau projectile siffla à quelques centimètres de mon oreille, je sentis les doigts d’Élodie glisser entre les miens. Regardant par-dessus mon épaule, je la vis étendue à même le sol, tout près d’une sagaie plantée dans la terre.
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