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Elle fila dans la cuisine pour faire chauffer le four.
— Mais qu’est-ce que tu fous ? hurla son invité. Viens là ! C’est de toi que j’ai faim !
Elle sursauta. Il n’y allait pas par quatre chemins, ce rustre, mais elle adorait les hommes dominants, capables de mater son caractère de rouquine effrontée. Elle prit une voix sensuelle, un air coquin :
— Vous ne voulez pas d’abord vous nourrir ?
— Ah ! Tu me rends fou ! Viens là, te dis-je !
Il semblait visiblement plus impatient de goûter à Nina qu’à son coq au vin, et la jeune femme en fut agréablement flattée. Depuis le temps qu’un homme ne l’avait plus désirée, elle n’allait pas faire la mijaurée. Elle s’assit donc à ses côtés sans mot dire, le laissa la déshabiller, déboutonner son chemisier en soie, caresser nerveusement sa peau blanche et lisse. Il était maladroit : il la griffa en l’étreignant avec force de peur qu’elle ne s’échappe.
— Calmez-vous, Hector, je ne vais pas m’envoler.
Et tandis qu’il l’effeuillait encore, elle se félicitait d’avoir mis son soutien-gorge rouge à balconnet : celui qui rendait sa poitrine plus affriolante. Hector se lécha les babines, puis il la bouscula sur le canapé. L’odeur délicate de Nina le mettait hors de lui. Ses yeux s’emplirent d’encre noire ; il grogna, lui empoigna les cheveux.
« Un sauvage... j’adore ça ! »
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