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Extrait ajouté par mymy37 2017-01-23T14:44:33+01:00

Lorsque je le vois, je suis atterrée de constater à quel point il a l'air normal. Il devrait forcément y avoir un signe, des oreilles pointues ou des cornes, censés avertir les autres qu'il est maléfique.

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Extrait ajouté par Hyunhyun 2023-10-31T17:41:00+01:00

La peur, a-t-il chuchoté. Rien ne l'égale. J'adore ses manifestations, j'apprécie les émotions qu'elle déclenche, je raffole de son parfum. Mais par-dessus tout, j'aime les bruits qui l'accompagnent. (Il a léché ma joue.) Je savoure même son goût.

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Extrait ajouté par NicolaK 2022-08-03T12:39:37+02:00

Quand je m’empare d’une grenade, le contact de sa peau dans ma paume me renvoie à une autre époque, à d’autres lieux, où je considérais comme acquis la chaleur du soleil sur mon visage et le brouhaha de voix animées. Je ferme les yeux une seconde et me remémore ma vie d’autrefois.

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Extrait ajouté par Milka2B 2021-07-31T22:58:18+02:00

Je retire mon pyjama. Même si je suis gênée de devoir me déshabiller et me rhabiller devant Jack, je n’y peux rien. J’ai perdu le droit à mon intimité il y a belle lurette.

— Tu commences à être un brin maigrichonne, commente-t-il pendant que j’enfile mes dessous.

— Tu devrais sans doute me donner à manger un peu plus souvent.

— C’est une idée, oui.

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Extrait ajouté par Corinne-116 2020-12-24T15:38:21+01:00

« J’ai avalé ma salive avant de me tourner vers lui. Je pensais ne pas en être capable, mais face à la tendresse qu’affichaient ses traits, j’ai été victime d’une sorte de déni, comme si les événements des dernières quarante-huit heures n’avaient été qu’un rêve. Je n’ai pas réussi à dissimuler mon désir et, lorsqu’il m’a adressé un sourire énamouré, je n’ai pas pu m’empêcher de lui en retourner un. »

Extrait de 

Derrière les portes

Paris,B.A.

Ce contenu est peut-être protégé par des droits d’auteur.

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Extrait ajouté par Rhaenyra 2020-04-25T23:03:37+02:00

- Il était une fois un gamin qui vivait dans un pays très, très loin d'ici, avec ses parents. Tout petit, il craignait son père, qui était fort et redoutable, et adorait sa mère. Mais quand il constata que celle-ci était faible et bonne à rien, qu'elle ne pouvait pas le protéger, il se mit à la mépriser et à savourer son regard terrifié quand le père la trainait à la cave pour l'enfermer avec les rats.

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Extrait ajouté par Rhaenyra 2020-04-25T22:57:16+02:00

- Tu aurais dû choisir Millie. Vraiment.

Un frisson a parcouru mon épine dorsale. Je me suis exhortée au calme.

- As-tu conscience de ce que tu as fait ? As-tu conscience de m'avoir vendu ton âme ? De même que celle de Millie ?

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Extrait ajouté par catherine60150 2019-01-17T20:52:09+01:00

Très belle lecture. Alternance du présent et du passé est un peu déroutante au début mais elle permet de maintenir l intrigue. Nous sommes face à un vrai psychopathe. Je me suis vite attachée à l' héroïne

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Extrait ajouté par Bibounine 2018-08-29T09:15:55+02:00

Je m’éclipse afin d’aller chercher à la cuisine les canapés que j’ai concoctés un peu plus tôt et pour mettre la dernière touche au repas. L’étiquette – Jack est pointilleux à ce sujet – exige que je ne m’absente pas trop longtemps. Aussi, je m’empresse de battre en neige les blancs d’œuf qui attendent dans un saladier avant de les ajouter à la préparation du soufflé déjà prête. Avec un coup d’œil nerveux à la pendule, je place le mélange dans des ramequins individuels, puis les enfourne au bain-marie. Je vérifie soigneusement l’heure. Un instant, une bouffée de panique me submerge à la perspective de commettre un faux pas. Mais, me rappelant que la peur est mon pire ennemi, je m’exhorte au calme et regagne le salon avec mon plateau d’amuse-gueule. Je les présente aux uns et aux autres, reconnaissante pour les compliments unanimes, parce que Jack n’aura pas manqué de les entendre. Ça ne loupe pas : tout en me gratifiant d’un baiser sur le sommet de la tête, il convient avec Diane que je suis une excellente cuisinière. Je pousse un infime soupir de soulagement.

Bien décidée à progresser auprès d’Esther, je m’installe à côté d’elle. Voyant cela, Jack attrape de ses doigts élégants le plateau de canapés.

— Repose-toi, chérie, tu le mérites, après tout ce que tu as fait aujourd’hui.

— N’exagère pas, ce n’était rien, je proteste.

Mensonge. Ce que Jack sait pertinemment, puisque c’est lui qui a arrêté le menu. J’entreprends de poser à Esther les questions de rigueur : s’est-elle habituée à la région ? Inquiétée à l’idée de quitter le Kent ? Ses deux enfants se sont-ils habitués à leur nouvelle école ? J’ignore pourquoi, mais que je sois aussi bien renseignée a le don de l’irriter. Conséquence, je mets un point d’honneur à m’enquérir des prénoms de ses fils et fille, bien que je les connaisse. Ils s’appellent Sebastian et Aisling et ont sept et cinq ans. Je fais comme si je n’étais pas au courant de leur âge non plus. Consciente que Jack surveille mes moindres paroles, je devine qu’il se demande ce que je mijote.

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Extrait ajouté par Bibounine 2018-08-29T09:15:35+02:00

Esther m’intrigue. Grande, blonde, mince et réservée, elle est le contraire de Diane. Malgré moi, je la respecte d’être la première personne à pénétrer ici sans s’extasier devant la beauté des lieux. Jack ayant insisté pour choisir seul la maison (mon cadeau de mariage), je ne l’ai découverte qu’au retour de notre voyage de noces. Bien qu’il m’ait assuré qu’elle était idéale, je n’ai vraiment compris ce qu’il entendait par là qu’en la voyant. Située sur un vaste terrain en lisière du village, elle offre à Jack à la fois l’intimité dont il a tant besoin et le privilège de posséder la plus prestigieuse demeure de Spring Eaton. La plus sécurisée aussi. Un système d’alarme compliqué la protège, de même que des volets roulants en acier aux fenêtres du rez-de-chaussée. Qu’ils soient souvent baissés pendant la journée doit paraître étrange, mais comme l’explique Jack aux curieux, avec son métier, la sécurité est sa priorité numéro un.

Bien que de nombreux tableaux ornent les murs du salon, les gens sont en général attirés par la grande toile suspendue au-dessus de la cheminée. Diane et Adam, qui la connaissent déjà, s’en approchent pour la contempler de nouveau, rejoints par Rufus. Esther, elle, s’assied sur l’un des divans en cuir crème.

— Extraordinaire ! s’exclame son conjoint, fasciné par les centaines de touches minuscules qui constituent l’essentiel de l’œuvre.

— Il s’appelle Lucioles, lance Jack, en ôtant le muselet de la bouteille.

— Je n’ai jamais rien vu de tel.

— C’est Grace qui l’a peint, signale Diane. Épatant, non ?

— Vous devriez voir ses autres créations, se rengorge Jack, qui libère le bouchon tout en douceur. Elles sont superbes.

— Il y en a ici ? demande Rufus avec intérêt en observant les alentours.

— Non, elles sont accrochées ailleurs dans la maison.

— Seul Jack a le droit de les admirer, plaisante Adam.

— Avec Grace, n’est-ce pas, chérie ? rebondit Jack, tendrement complice. Ils ne sont que pour nous.

— Oui.

Je détourne la tête. Nous rejoignons Esther sur le divan, et Diane piaille de plaisir quand Jack verse le champagne dans les flûtes. Elle me dévisage.

— Te sens-tu mieux ? s’enquiert-elle avant d’ajouter à l’intention d’Esther : Grace n’a pas pu déjeuner hier avec moi, parce qu’elle était souffrante.

— Juste une migraine, je tempère.

— Malheureusement, elles sont chroniques, intervient Jack avec une mine compatissante. Dieu soit loué, elles ne durent jamais longtemps.

— C’est la deuxième fois que tu me fais faux bond, se plaint Diane.

— Désolée.

— Enfin, au moins, ce n’était pas par simple oubli, hier, rigole-t-elle. Et si nous rattrapions le coup vendredi prochain ? Tu es libre, Grace ? Pas de rendez-vous chez le dentiste dont tu te souviendras à la dernière minute ?

— Non. Ni de migraine, j’espère.

— Ça vous dirait de vous joindre à nous ? suggère Diane à Esther. Il faudra que ce soit dans un restaurant en ville, parce que je travaille, ce jour-là.

— Avec joie, merci, accepte Esther.

Elle m’adresse un regard furtif, peut-être pour vérifier que je ne m’oppose pas à ce qu’elle nous accompagne. Tout en la rassurant d’un signe de la tête, je suis envahie par les remords. Je sais que je n’irai pas.

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