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La maison à elle seule devait valoir plus de neuf millions de dollars. Neuf. Millions. Quand Miles avait reçu la lettre de M. Thibault, il l’avait lue comme neuf cent mille dollars, et avait été extrêmement heureux. Un héritage d’un million de dollars ressemblait à un véritable rêve pour un professeur d’art plastique qui en gagnait à peine soixante mille par an.

Ce fut son ami Robin qui, pendant le déjeuner, avait fait allusion au zéro en plus. En l’espace d’un sandwich au fromage grillé, Miles était passé de joyeux, avec le projet de faire construire un studio d’art à domicile, à investir massivement dans son plan de retraite afin de planifier le reste de sa vie.

« Un Inconnu dans la maison de Josh Lanyon »

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Alors Miles fit ce que chaque mâle américain au sang chaud ferait. Tout en priant pour qu’il ne commence pas sa vie d’immigrant canadien en se faisant prendre pour intrusion, il escalada la grille.

« Un Inconnu dans la maison de Josh Lanyon »

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J’étais officiellement sous couverture depuis dix minutes et j’avais déjà trouvé quelqu’un avec un comportement de star. Le gars avait de la chance que je ne sois pas armé.

J’avais au moins une décennie de plus que ce type de Brooklyn, mais je réalisai que, peut-être, l’âge ne signifiait pas grand-chose sur un plateau. La position que vous occupiez définissait votre pouvoir, pas votre expérience. Alors, il était probable que je sois traité comme un gamin pour le reste de mon enquête.

— J’en étais sûr, soupira Davey alors que j’hésitai au mot « surveillance ».

Il attrapa une oreillette comme celle que devaient porter les agents secrets.

— Mets ça et reste pas au milieu de la route.

J’étais sûr que Davey pissait en tenant sa queue avec cinq doigts et qu’il en mettait sur quatre d’entre eux.

« Lumières. Caméra. Meurtre de C.S.Poe »

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— Quelques suggestions : ne dites rien, buvez beaucoup d’eau, ne vous asseyez pas et ne parlez jamais aux acteurs.

« Lumières. Caméra. Meurtre de C.S.Poe »

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VA TE FAIRE METTRE, PAUVRE MERDE.

Ce petit mot doux avait été gribouillé sur ma liste de courses, collée sur le frigo. Ce qui m’allait. Je préférais stocker tous mes mémos à un seul endroit. Maintenant, je savais que j’avais besoin de chercher du lait, du sucre, du pain et un nouveau petit ami.

« Lumières. Caméra. Meurtre de C.S.Poe »

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C’était irrationnel, mais je ne pouvais pas laisser Pepper toute seule ici. Je savais comment on se sentait lorsqu’on était malade, vulnérable et seul. Elle n’avait personne. Elle ne comprenait même pas ce qui lui arrivait. Elle était comme un bébé. Wouah. Depuis quand avais-je cet instinct maternel ? Mais je n’étais pas tout à coup devenu comme ma mère. Ou… Ce n’était pas juste. Elle avait un instinct maternel. Elle voyait seulement le monde d’une autre manière.

Elle m’avait bien préparé à une seule chose : récolter une médaille aux Jeux olympiques des obstinés.

« Pepper, le Labrador du Crime de Z.A. Maxfield »

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J’avais rencontré Caleb dans la buanderie. Il avait lancé une machine, avait retiré ses vêtements d’une autre qui venait de se terminer, puis il était retourné dans son appartement, seulement vêtu d’un string. Maintenant, je considérais que ses abdos et son derrière ferme faisaient partie des avantages à vivre ici.

Pepper était plus amoureuse que moi encore. Elle agita sa queue, se roula par terre, et s’écroula au sol pour récolter encore plus de caresses sur le ventre. Sans aucune honte.

J’envisageai d’en faire de même, mais je me retins à temps.

« Pepper, le Labrador du Crime de Z.A. Maxfield »

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Propre, mon cul, oui.

La seule manière de pouvoir prendre soin de mon « chien adoptif » était d’entourer la laisse de deux mètres cinquante de long, prêtée par Rick, autour de ma taille et de la garder physiquement avec moi à chaque instant. D’abord, elle avait compris que si je pouvais faire pipi dans la salle de bain, alors elle pouvait le faire aussi. Et ensuite, je ne pouvais plus l’empêcher de fourrer son museau dans chaque boîte que je tentais de vider, chamboulant tous mes plans en mâchouillant mes chaussures, et de manière générale, se révélant être une véritable peste.

Donc, je devais déballer et me débarrasser des cartons et du papier bulle à la vitesse de la lumière, ce qui m’obligeait à me reposer toutes les deux heures. Mais est-ce que Pepper se reposait ? Nan.

« Pepper, le Labrador du Crime de Z.A. Maxfield »

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— Oooh, t’es toujours aussi têtu, comme une tique sur un obèse. Mon vieux Ragin’ Cajun.

Du nom de l’équipe omnisports de l’université de Louisiane. Pour mémoire, j’étais né à Las Vegas, Nevada, fils unique de Calliope Boudreaux, danseuse et strip-teaseuse burlesque, et parfois actrice porno. Je n’avais pas d’accent cajun, je cuisinais rarement cajun, et le fétichisme de Dillon me dégoûtait. Il me força à adopter une mine boudeuse qui ne semblait pas de circonstance.

« Pepper, le Labrador du Crime de Z.A. Maxfield »

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— Un couteau de cuisine ? Cher ?

— Les bons couteaux, c’est la clé.

Au cas où il aurait mal compris, j’ajoutai :

— Je suis chef cuisinier.

— Vous ne ressemblez pas à un bon chef cuisinier.

Son regard navigua de mon visage au reste de ma fine silhouette qu’il détailla. Malgré l’air frais, je commençai à transpirer.

— Les apparences peuvent être trompeuses.

« Pepper, le Labrador du Crime de Z.A. Maxfield »

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