Des fleurs à l'encre violette
Auteur
- Gilles Laporte (Écrivain)
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:"leur bavardage avait quelque chose du babil des mésanges dans les arbres, des jacasseries des pies dans le jardin de l'oncle ....des murmures de la bise aux grands frênes de la Moselle adossée au canal.."
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Un roman très militant, plus que les précédents, ai-je trouvé. On retrouve cette IIIème République et ses profondes dissensions idéologiques, comme un miroir de notre France actuelle. Peut-être un peu trop manichéen malgré tout, mais on s'attache aux personnages, on revit les moments forts de la petite et de la grande histoire, tout ce qui faisait la vie du peuple dans les Vosges à cette époque.
http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2013/01/lecole-est-sanctuaire-autant-que-la.html
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Gilles Laporte rend un bel hommage à l'école publique naissante par les valeurs de laïcité, d'égalité et de fraternité qu'elle défend.
L'histoire se passe en Lorraine de 1873 à 1923 et nous fait partager la vie de trois générations.
Dans cette saga, on assiste à des déchirements profonds, à des réconciliations , des rencontres inattendues, à des prises de conscience, , à l'élaboration des notions de fraternité et d'égalité.
Certaines descriptions politiques ralentissent l'histoire .
J’ai trouvé ce roman frais et agréable à lire. On s’attache facilement aux personnages et le contexte historique et culturel est riche et passionnant !Un livre bien écrit et touchant, à découvrir…
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Date de sortie
Des fleurs à l'encre violette
- France : 2013-01-10 - Poche (Français)
Activité récente
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Editeurs
Résumé
Nouvelle Description
Deux familles que rien ne prédisposait à se rencontrer – l'une notable et traditionaliste, l'autre modeste et progressiste – s'unissent bon gré mal gré par le mariage de leurs enfants Rose-Victoire Dieudonné et Aimé Delhuis. Les deux fils du couple, Victor et Clément, suivront deux trajectoires et deux engagements différents. Dans la lignée des Dieudonné, Victor épouse une aristocrate et affiche un certain mépris à l'égard des siens tandis que Clément entre à l'Ecole normale d'instituteurs où, comme tous ses condisciples, il étudiera le violon. Gazé en 1915, il est évacué à Vittel où il rencontre sa future femme, Mathilde, normalienne elle aussi.
Ensemble, ils prennent, dès la fin de la guerre, leurs fonctions et s'engagent avec passion pour la laïcité et l'éducation. Clément, les poumons rongés par l'ypérite, mourra en léguant à son jeune fils son amour de l'enseignement, de la musique et l'engagement dans la franc-maçonnerie que lui a transmis le maître luthier avec qui il avait entrepris la fabrication de son propre violon.
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