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Des souris et des hommes (Of Mice and Men) est un roman de l'écrivain américain John Steinbeck publié en 1937. Il est avec Les Raisins de la colère l'œuvre la plus connue de l'écrivain.
George Milton et Lennie Small sont deux amis qui errent sur les routes de Californie en travaillant comme journaliers de ranch en ranch. George et Lennie partagent depuis toujours le même rêve : posséder un jour une petite exploitation, pour y vivre « comme des rentiers » et y élever des lapins. Lennie nourrit une passion bien enfantine : il se plaît énormément à caresser les choses douces. Doté d’une très grande force physique, il ne parvient pas à dominer sa puissance hors de l'ordinaire. Il est également intellectuellement déficient, et passe constamment pour un « idiot ».
Cela finit par lui causer des ennuis avec Curley, le fils du patron, et avec sa femme. En effet, la belle et jeune femme de Curley va proposer à Lennie de toucher ses cheveux. Mais tout va mal tourner.
Une fois encore Steinbeck bouleverse et chavire les sens . L'histoire de deux hommes si proches qui devront malgré tout se séparer . En ancrant ses personnages dans cette Amérique qu'il affectionne tant , Steinbeck nous livre une leçon poignante sur les différences et sur la férocité des sociétés ( de la société des hommes). A lire !
Ce roman est une fresque de l'Amérique profonde des rangers et des préjugés. Celle qui veut que les pauvres restent pauvres, les riches encore plus riches, les noirs et les infirmes laissés pour compte. Un regard lucide et sans compromis de la misère psychologique.
C'est une histoire tragique et profondément humaine, un hommage rendu à l'humanité, à l'amitié. Malheureusement, les hommes sont souvent bien plus cruels que les animaux et Lennie en fera la cruelle expérience.
Au fil de la lecture, je me suis aperçu que j'avais vu la première version cinématographique au CINE CLUB lorsque j'étais ado. Ce qui ne m'a pas empêché de continuer ma lecture.
C'est un chef d'œuvre dont l'écriture est simple et à la portée de tous.
Un classique dont j'ai beaucoup entendu parler et je ne regrette pas de l'avoir ouvert! Une histoire très touchante et marquante, c'est ce que j'aime avec les livres : être marquée et m'en souvenir des années plus tard.
Je ne lis pas tellement de livre de ce genre d'habitude, mais j'ai bien accroché à cette histoire extrêmement touchante. Ce n'est pas trop long et assez bien écrit, les personnages sont tous très bien caractérisés et l'histoire est prenante. Je n'ai pas pu m'empêcher de verser ma petite larme à la fin.
Je m'attendais à un drame avec ce personnage mais pas vraiment sous cette forme. Spoiler(cliquez pour révéler)Au final, George se retrouve à vivre entouré de ceux qu'ils voulaient quitter, ce projette dans une vie qu'il ne voulait pas vivre et perd le seul être avec qui il se sentait relativement bien. Un destin tragique. Mais en si peu de pages, arriver à véhiculer tout ça, chapeau.
Steinbeck savait décrire avec un réalisme saisissant la vie et les espoirs des humbles, des exclus de la société américaine en crise des années 30. Mais ce qui est encore plus fort dans ce court roman, c'est l'incroyable puissance et intensité d'une action similaire à celle d'une tragédie grecque, avec des personnages inéluctablement broyés par la roue du destin.
C’est une histoire qui parle de différence, de tolérance, d’humanité. J'ai été émerveillée par ce qui se dégage des personnages de Lennie et George. Ils sont hyper attachants, à tel point que je n'ai pas envie d'avancer dans ma lecture parce que je sais que quelque chose de grave, de terrible va leur arriver et que toute cette quiétude (si fragile) va disparaître en un claquement de doigt. Il y a énormément de dialogues qui ne font que créer une proximité supplémentaire avec les protagonistes et autant vous dire que l'impact de cette fin est d'autant plus violent.
Comme je le redoutais, elle est difficile et me tort le bide, des larmes inondent mes yeux et j’ai du mal à m’en remettre.
Quelle lecture ! C’est un coup de cœur, vous l’aurez compris.
J'ai lu ce roman en anglais pour travailler la compréhension de la langue. Ayant lu il y a longtemps le roman en français, je ne découvrais pas l'histoire toutefois certains mots que je ne connaissais pas sont revenus à plusieurs reprises mais avec un bon dictionnaire...Reste à retenir ces nouveaux mots.
Des souris et des hommes est mon premier livre de Steinbeck.
J’ai été surprise par le style d’écriture totalement différent de ce que j’ai pour habitude de lire mais j’ai adoré. Les nombreux dialogues et le language à la fois naturel et grossier rendent le livre vivant, et j’avais l’impression de le vivre avec les personnages.
L’histoire en elle-même m’a beaucoup touchée, notamment par le personnage de Lennie, qui voue toute son amitié innocente à George alors même que celui-ci finira par trahir cet amitié. Je ne m’attendais absolument pas à cette fin, qui rend à mon sens le récit bien ancré à la réalité de la vie et à son injustice.
En finalement très peu de pages, Steinbeck m’a fait passé par un bon nombre d’émotions grâce à ce chef d’oeuvre littéraire.
Des Souris et des hommes est un livre très court mais très percutant.
En quelques pages et avec un minimum de personnages, Steinbeck parvient à nous dresser un portrait de l'époque, avec un certain nombre de critiques implicites.
C'est une lecture que je recommande pour aborder l'auteur. Il est tout de même bien plus abordable que Les raisins de la Colère.
J'ai vraiment apprécié ma lecture, malgré la fin. Malheureusement, est c'est parfois le cas avec les classiques, je connaissais déjà une partie de l'histoire concernant Lennie, ce qui m'a enlevé le suspense et gâché la surprise.
Je pense donc que c'est un bon livre, et je le conseille mais je ne l'ai pas apprécié autant que j'aurais aimé.
Une histoire très courte et rapide à lire mais je me suis tellement attaché à un certain personnage que la fin m'a complètement retournée ! C'est une lecture qui aura marqué mon adolescence, dans le bon sens du terme malgré les larmes.
Résumé
Des souris et des hommes (Of Mice and Men) est un roman de l'écrivain américain John Steinbeck publié en 1937. Il est avec Les Raisins de la colère l'œuvre la plus connue de l'écrivain.
George Milton et Lennie Small sont deux amis qui errent sur les routes de Californie en travaillant comme journaliers de ranch en ranch. George et Lennie partagent depuis toujours le même rêve : posséder un jour une petite exploitation, pour y vivre « comme des rentiers » et y élever des lapins. Lennie nourrit une passion bien enfantine : il se plaît énormément à caresser les choses douces. Doté d’une très grande force physique, il ne parvient pas à dominer sa puissance hors de l'ordinaire. Il est également intellectuellement déficient, et passe constamment pour un « idiot ».
Cela finit par lui causer des ennuis avec Curley, le fils du patron, et avec sa femme. En effet, la belle et jeune femme de Curley va proposer à Lennie de toucher ses cheveux. Mais tout va mal tourner.
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