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Il garda le silence un long moment, puis hocha lentement la tête."- Nous pourrions essayer d'être amis." "- Nous pourrions." "- Dans ce cas, en tant qu'ami, je te dirai : c'était un affreux mensonge. Un jour, je t' obligerai à me dire la vérité."

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"- Je découvrirai ce que tu faisais chez Walsh... Ensuite, toi et moi nous aurons une très longue conversation sur les conséquences que subissent les jeunes femmes trop idiotes et têtues pour rester à leur place." Je retroussai ma lèvre supérieure. " - Et où est la mienne, dans ce cas ? Dans votre lit ? " "- Quel cruel manque d'imagination. ( Il jeta son cigare par la fenêtre avant de baisser les stores.) Tu es là où j'ai envie que tu sois en ce moment."... Dredmore m'extirpa de ma banquette pour m'attirer sur ses genoux et me plaquer contre lui. "- Non, ne lutte pas, Charmian. C'est toi qui as lancé le défi."

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— Vous êtes obliger d'enlever des gens pour avoir des invi... oh, mon Dieu, c'est un original de Raphaël ?

— Je fais ce qu'il faut, et oui, en effet.

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Dredmore ne me lâchait pas.

— Je vais te poser maintenant, Charmian, afin que l’on puisse parler. Ne fuis pas.

Je poussai un soupir.

— Vraiment, Lucien, vous devriez arrêter de lire des romans à l’eau de rose. Je suis très heureuse que vous m’ayez enlevée. J’avais envie de voir votre intérieur depuis des lustres. Vous devriez vraiment autoriser les voyagistes à vous inclure dans leurs tournées. Ils vous paieraient grassement pour permettre chaque semaine à de vieilles curieuses d’arpenter votre foyer.

— Morehaven n’est pas un magasin de curiosités. (Il baissa un bras et me reposa sur mes pieds.) Ne t’enfuis pas.Je me tins à lui le temps de retrouver mon équilibre, et je lui souris.— Pourquoi donc voudrais-je m’enfuir loin de vous ?

— Parce que tu me hais, répondit-il. Tu voudrais me voir mort. Si je passais devant ton fiacre, tu m’écraserais au milieu de la rue.

— C’est ce que vous pensez ?

— C’est ce que tu as dit que tu ferais, me rappela-t-il, ainsi que m’enfoncer un parchemin de sortilège dans la gorge, me priver de ma virilité à l’aide d’une lame rouillée, mettre le feu à mon fiacre en m’enfermant à l’intérieur, et oui, oui, mon préféré, engager une petite frappe pour me pousser de ma propre falaise.— Lucien, Lucien. (Sans me départir de mon sourire, je caressai son bras et posai ma main sur sa nuque.) Ne comprenez-vous donc pas les femmes ?

— À l’évidence, non.

— Laissez-moi vous montrer exactement ce que j’ai toujours rêvé de vous faire.

J’attirai son visage près du mien et, dès qu’il baissa les paupières et entrouvrit les lèvres, je m’agrippai à son cou et lui donnai un coup de genou dans le bas-ventre.

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- pourquoi donc voudrais-je m'enfuir loin de vous?

- parce que tu me hais, répondit-il; Tu voudrais me voir mort. Si je passais devant ton fiacre, tu m'écraserait au milieu de la rue.

- c'est ce que vous pensez?

- c'est ce que tu as dit que tu ferais, me rappela t-il, ainsi que m'enfoncer un parchemin de sortilège dans la gorge, me priver de ma virilité à l'aide d'une lame rouillée, mettre le feu à mon fiacre en m'enfermant à l'intérieur, et oui oui , mon préféré, engager une petite frappe pour me pousser de ma propre falaise.

- Lucien, Lucien (sans me départir de mon sourire je caressai son bras et poser ma main sur sa nuque) Ne comprenez vous donc pas les femmes?

- à l'évidence, non

Dialogue page 194

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Il leva la tête.

-Ne me fuis plus jamais, Charmian.

Je n’aimais pas ce que je vis dans ses yeux.

- Oh, est-ce le moment où vous allez avouez votre profonde et éternelle affection pour les femmes blessées et sans défense, et déclarer que jamais, jamais vous ne leur feriez le moindre mal ?

-Non.

-Dommage.

Je serai le point de ma main valide et lui envoyai un coup au visage.

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Spoiler(cliquez pour révéler)« Ils ont seulement essayé de me tuer. Avec des boules « magiques », rien de moins. Les crétins.

Mon corps se souleva et quitta les coussins pour se poser sur une surface plus dure et moins confortable. Cette hallucination était en train de devenir rudement incommode.

— Tu es en vie car la magie n’a pas d’effet sur toi, murmura-t-il. Je ne peux t’atteindre qu’à travers tes rêves.

Son bras soutenait mes épaules et mes genoux. Je sentais son aine contre ma hanche et ses cuisses sous mes fesses. Il traça du doigt le contour de mon bandage et appuya ma joue contre son torse, ce qui m’emplit d’un sentiment de bien-être et d’apaisement.

— C’est agréable. (Je me blottis contre lui.) Restez avec moi…

Sa voix douce se durcit.

— Qu’as-tu pris, Charmian ?

— Rien. J’ai bu un peu de thé. Il était atrocement sirupeux. Comme la vieille femme qui l’a apporté.

J’inspirai l’odeur d’herbes brûlées et de la mer, et je retrouvai ma voix.

— Reposez-moi, Dredmore.

— On t’a droguée. »

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Spoiler(cliquez pour révéler)« — C’est agréable. (Je me blottis contre lui.) Restez avec moi…

Sa voix douce se durcit.

— Qu’as-tu pris, Charmian ?

— Rien. J’ai bu un peu de thé. Il était atrocement sirupeux. Comme la vieille femme qui l’a apporté.

J’inspirai l’odeur d’herbes brûlées et de la mer, et je retrouvai ma voix.

— Reposez-moi, Dredmore.

— On t’a droguée.

Voilà qui expliquait ce qui était en train de m’arriver.

— C’est vous.

J’agitai une main vaine.

— Non, ce n’est pas moi. (Il saisit mes doigts et les porta à ses lèvres.) Je n’ai pas besoin d’utiliser de drogue. Si je l’avais voulu, je t’aurais emmenée hors de cette ruelle. Maintenant, où es-tu ?

— Je suis ici avec vous, idiot. (J’avais envie de lui arracher les yeux, mais je ne sentais plus mes ongles.) Pourquoi ne me laissez-vous pas tranquille ?

— Je me pose la même question tous les jours depuis cinq ans, dit-il. Le problème, c’est que je n’ai pas envie de connaître la réponse.

— Oh. (Pour une raison étrange, sa réponse me plut et je me détendis contre lui.) Merci de m’avoir sauvé la vie.

— Je t’en prie.

— Mais vous êtes un homme mauvais. Vous le savez.

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Spoiler(cliquez pour révéler)« — J’ai également reçu un message très intéressant de lord Dredmore. (Doyle finit son thé en quelques gorgées.) Il semblerait que quelqu’un se soit introduit dans sa propriété, la nuit dernière, et lui ait volé un hongre dans son écurie.

Je poussai un profond soupir.

— C’est terrible.

— Ce hongre en particulier était dressé pour être exclusivement monté par une dame, ajouta Doyle. Et pourtant, aucune selle n’a disparu.

— Vous savez, il me semble aussi avoir entendu quelqu’un parler d’un cheval noir, ce matin. (Je fis mine de réfléchir.) Ah, oui. On en a trouvé un à l’aube devant l’écurie de Halter. Une adorable bête noire, prénommée George. (Je lui jetai un coup d’œil.) Quelle coïncidence.

— J’enverrai quelqu’un récupérer George et dédommager Halter pour sa peine. (Il me regarda droit dans les yeux.) Maintenant que je vous ai raconté l’horrible matinée que j’ai passée, vous allez me dire exactement ce que vous avez fait hier soir.

— Avant d’avoir été enlevée et retenue contre ma volonté à Morehaven, ou après ? (Je savourai l’expression de stupeur sur son visage.) Vous devriez vraiment procéder à quelque enquête de temps en temps, inspecteur principal. Je pensais que c’était à ça qu’étaient formés les hommes du Yard. »

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Harvison alluma plusieurs lampes à huile disséminées çà et là, jusqu’à éclairer suffisamment la pièce pour me permettre de distinguer clairement son visage. Un œil noir brillait, vif et tranchant, mais le trou destiné au deuxième œil était simplement recouvert d’une parcelle de peau lisse.

Je me penchai vers Rina.

— Il n’a qu’un œil, murmurai-je.

— Non, jeune demoiselle. J’en ai deux, répondit Harvison à sa place. L’autre se trouve sous la peau que vous voyez. C’est ainsi depuis mon premier souffle.

[...]

— Je n’ai jamais cessé de l’être. (Il désigna le coussin posé par terre en face de lui.) Maintenant, je vais voir l’avenir pour vous, l’amie de madame.

Tandis que je m’installais maladroitement sur le coussin, la diseuse qui avait essayé de me chasser de sa boutique me revint à l’esprit.

— Que voulez-vous ? Un cheveu ? Un ongle ? De la salive ? Du sang ?

— Vos mains, s’il vous plaît.

Il tendit les siennes, les paumes dirigées vers le haut.

Je n’avais jamais touché d’esclave, déclaré ou non, et la haine des Nihons pour les Toriens était universelle. Il se pouvait que je ne récupère jamais mes mains.

« Je vais te libérer, très bientôt, résonna la voix de Dredmore dans mon esprit, et alors tu seras à moi. »

Je posai mes mains sur celles de Harvison. Au premier contact, je m’immobilisai, raide. Je fouillai son visage, mais il ne cilla pas.

Puis il retira lentement ses mains.

— Je suis aveuglé.

— Je n’ai pas touché son œil valide, affirmai-je à Rina. Je le jure.

— Ce que je veux dire, c’est que je ne peux voir l’avenir en vous, jeune demoiselle, dit Harvison d’une voix éteinte. Vous êtes comme la sanctinelle et le sanctinelier. (Il observa mon cou.) Vous portez un talisman.

— Un collier, avec un pendentif, rectifiai-je.

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