Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 427
Membres
1 006 205

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

- C'est vrai ce qu'on dit des filles de l'Alabama.

- Qu'est-ce que tu veux dire ?

- Jean moulant, débardeur et flingue. Mince, je n'ai pas grandi dans le bon état.

Afficher en entier

— Je croyais que tu n’étais pas le genre câlin, Rush, lui dis-je alors qu’il faisait courir son nez le long de mon cou et prenait de profondes inspirations.

— Je ne l’étais pas avant toi, Blaire. Tu es mon exception, chuchota-t-il avant de coincer ma tête sous son menton et de ramener les couvertures sur nous.

Afficher en entier
Extrait ajouté par adele 2013-06-12T08:03:54+02:00

Je m'assis sur son lit contre la tête de lit et me laissait aller en arrière. Je croisa mes jambes sous moi.

"Alors nous allons parler", dis-je avec un sourire.

Rush s'assit sur le lit et se laissa aussi aller en arrière contre le mur. Un rire profond monta de sa poitrine et je le regardai alors qu'un vrai sourire apparut sur son visage.

"Je ne peux pas croire que je viens de supplier une femme de s'assoir et de me parler."

En toute honnêteté, moi non plus.

source site "dans notre petite bulle"

Afficher en entier

— Il y a une autre arme dans ton sac ? Il faut que je prévienne tout le monde de ne pas t’énerver ?

Son ton taquin m’empêcha de lancer une pique grossière.

— Tu as ouvert ma portière sans crier gare. J’ai eu peur.

— Et d’instinct, ta réaction c’est de pointer un flingue sous le nez du premier venu ? Bon sang, tu sors d’où ? La plupart des filles que je connais se mettraient à couiner, au mieux.

Afficher en entier

« Tout le monde dit que l'amour suffit. Ce n'est pas vrai. Pas quand votre âme a été détruite. »

Afficher en entier

Ma portière s’ouvrit brutalement. Instinctivement, je balançai la main sous mon siège pour attraper mon 9 mm. Je le pointai directement sur l’intrus, l’agrippant des deux mains pour lever la sécurité.

— Waouh… J’allais seulement vous demander si vous étiez égarée, mais maintenant, je suis prêt à déclarer tout ce que vous rêveriez d’entendre pourvu vous teniez ce truc éloigné.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Shay16 2015-03-15T02:17:33+01:00

— Parce que j’en ai envie, rétorquai-je tout aussi lentement, lui lançant un regard noir.

— La fête se passe à l’intérieur. Ce n’est pas ce que tu voulais? Un bar country avec des hommes et de l’alcool? Tu rates tout ici.

— Dégage, Rush.

Il fit un pas de plus vers moi. Seuls quelques centimètres nous séparaient maintenant.

— Non. Je veux savoir ce qu’il s’est passé.

Quelque chose en moi se brisa. Je mis mes mains sur son buste et le repoussai aussi fort que possible. Il trébucha à peine en arrière.

— Tu veux savoir ce qu’il s’est passé? TOI, Rush. Voilà ce qu’il y a.

Je le contournai telle une furie et avançai à grandes enjambées vers le parking plongé dans l’obscurité.

Une main puissante se saisit de mon bras, me stoppant. Je tirai durement pour me libérer, mais sans aucun effet. Rush me tenait fermement et ne me laissait pas partir.

— Qu’est-ce que cela veut dire, Blaire? demanda-t-il, m’attirant à sa poitrine.

Je me tortillai entre ses bras, luttant contre mon envie de hurler. Je détestai la manière qu’avait son parfum d’emballer mon cœur et de faire vibrer mon corps. J’avais besoin qu’il reste à distance, et non qu’il frotte son corps exquis et chaud contre moi.

— Lâche-moi, lançai-je avec hargne.

— Pas avant que tu ne m’aies expliqué quel est ton problème, répliqua-t-il avec colère.

Je me tordais à son contact, mais il ne cédait pas d’un pouce. C’était ridicule. Il ne voulait pas entendre ce que j’avais à dire. D’en prendre conscience me donnait envie de tout lui dire sans retenue. En sachant que cela allait l’ennuyer et bousiller toute sa conception de l’amitié.

— Je n’aime pas te voir toucher d’autres femmes. Et lorsque d’autres hommes me tripotent les fesses, je déteste ça. Je veux que cela soit toi qui me caresses là. Que tu en aies envie. Mais ce n’est pas le cas, et je dois faire avec. Maintenant, lâche-moi!

Je me libérai brutalement et courus à son Range Rover. Je pourrais m’y cacher jusqu’à ce qu’il soit prêt à me ramener à la maison.

Les larmes me brûlaient les yeux et accélérai la cadence de ma respiration. Lorsque j’atteignis le véhicule, j’en fis le tour et m’y adossai en fermant les yeux. Je venais tout bonnement de déclarer à Rush que je voulais qu’il me masse les fesses. Jusqu’à quel point pouvais-je me montrer stupide? Il m’avait offert une chambre pour moi seule. Proposé de m’y laisser rester jusqu’au retour de mon père afin que je puisse économiser, et je venais juste de lui donner les meilleurs motifs du monde pour me chasser de chez lui.

Le déverrouillage électrique de la voiture se fit entendre et j’ouvris les yeux pour voir Rush progresser rapidement vers moi. Il allait me ramener à la maison pour me jeter dehors. Il s’arrêta à mes côtés et ouvrit violemment la portière arrière du Range. Il préférait me voir là que sur le siège avant, et c’était parfaitement humiliant.

— Monte ou je te fais monter, gronda-t-il.

Je grimpai maladroitement avant qu’il ne me jette à l’intérieur. Mais il ne claqua pas la portière derrière moi. Au lieu de cela, il me rejoignit sur la banquette.

— Qu’est-ce que tu fais? demandai-je, juste avant qu’il ne me plaque contre le siège et couvre ma bouche de la sienne.

Je l’ouvris dès la première requête de sa langue. Le mouvement rapide du métal de son piercing dans ma bouche était excitant. Ce soir, son goût mentholé n’était mélangé à rien d’autre. Je pourrais m’en délecter pendant des heures et ne jamais m’en lasser.

Ses deux mains trouvèrent mes hanches et il me fit pivoter jusqu’à ce que l’une de mes jambes soit dressée sur le dossier du siège, genou plié, et l’autre maintenue au sol. Il les avait écartées et s’installa entre elles. Sa bouche quitta la mienne et traça un chemin de baisers affamés le long de mon cou. Il infligea une petite morsure à mon épaule nue, et l’excitation m’envahit.

Ses doigts trouvèrent la lisière de ma chemise.

— Retire-la, dit-il tout en la soulevant au-dessus de ma tête avant de la jeter sur le siège passager sans quitter des yeux ma poitrine. Je te veux sans rien, douce Blaire.

Une de ses mains passa dans mon dos et dégrafa mon soutien-gorge en moins d’une seconde. Il le tira le long de mes bras avant de l’envoyer rejoindre ma chemise.

— Voilà pourquoi j’ai essayé de ne pas t’approcher. Blaire, je ne vais pas pouvoir stopper ça. Pas maintenant.

Il baissa la tête et prit un téton dans sa bouche. Il le suça durement et je ressentis une explosion entre mes jambes. Je criai, attrapant ses épaules et m’y agrippant.

Je l’observai quand il tira la langue et fit courir son barbell métallique sur ma peau. C’était la chose la plus érotique dont j’aie jamais été témoin.

— Tu as un goût de bonbon. Les filles ne devraient pas avoir un goût si sucré. C’est dangereux, chuchota-t-il contre ma peau. (Son nez parcourait mon décolleté. Il inspira bruyamment.) Et ton parfum est incroyable.

Ses lèvres touchèrent de nouveau les miennes, une de ses mains puissantes couvrant mon sein, le malaxant doucement, avant de tirer dessus. Je voulais moi aussi en sentir davantage. Je fis descendre mes mains le long de sa poitrine et les glissai sous sa chemise. J’avais suffisamment observé son torse pour savoir à quoi il ressemblait exactement. Maintenant, je voulais savoir quelle sensation il offrait sous mes mains. La peau qui couvrait ses muscles était douce. Je parcourus chaque ondulation de son ventre et en mémorisai la perception. N’ayant aucune certitude qu’un tel événement pourrait se reproduire, j’en savourais chaque instant.

Rush ôta son tee-shirt d’une main, le jetant sur le côté, puis revint dévorer mes lèvres. Je m’arquai, plus proche de lui. Jamais je ne m’étais montrée seins nus devant un homme. Je mourais de sentir son torse contre le mien. Il semblait deviner ce que je désirais, et il m’enveloppa étroitement dans ses bras. L’humidité de sa bouche avait laissé mon sein froid, mais la chaleur de sa peau était choquante.

Je criai en le tirant encore plus près de moi, craignant qu’il ne s’éloigne. J’avais ce que je souhaitais depuis que je l’avais vu dans son patio avec cette fille. C’était entre mes cuisses qu’il était maintenant. C’était mon fantasm

Afficher en entier

"- Tu seras soulagé de savoir que j'aurai déguerpi avant un mois.

Il ne répondit pas immédiatement. Il valait mieux que je le laisse et j'aille prendre ma douche. J'allais parler quand il s'approcha à nouveau de moi.

- Je le devrais probablement. Etre soulagé. Sacrément soulagé. Mais ce n'est pas le cas, je ne le suis pas, Blaire. (Il marqua une pause et se pencha pour me chuchoter à l'oreille:) Comment ça se fait, Blaire.

Je voulais agripper ses bras pour ne pas m'écrouler sur le sol. Mais je me contins.

- Garde tes distances, Blaire. Tu ne tiens pas à être trop proche de moi. La nuit dernière... (Il déglutit bruyamment.) La nuit dernière me hante. Savoir que tu me regardais... Cela me rend fou. Donc, reste éloignée de moi. Je m'attache à faire de même."

Afficher en entier

Son visage était pâle et ses yeux injectés de sang. Je fermai les miens. Je n’en avais rien à faire qu’il soit triste. Il devait l’être. Il m’avait menti. Il m’avait trompée.

— Tu ne peux pas me quitter, dit-il, dans un murmure rauque.

— Regarde-moi bien faire, répondis-je d’un ton égal et froid.

— Blaire, tu ne m’as pas laissé t’expliquer. J’allais tout te dire aujourd’hui. Ils sont rentrés hier soir et j’ai paniqué. Il fallait que je te raconte tout d’abord. (Il frappa le montant de la porte.) Tu n’étais pas supposée découvrir cela ainsi. Pas comme ça. Mon Dieu, pas comme ça.

Il avait l’air sincèrement touché.

Je ne pouvais laisser le tiraillement que j’éprouvais au cœur à sa vue me guider. Je serais stupide de le faire.

Afficher en entier
Extrait ajouté par adele 2013-06-12T08:03:16+02:00

Il n'était pas ce qui m'avait fait fuir. Il était ce qui me donnait envie de rester.

source site "dans notre petite bulle"

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode