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Je nageais en plein cauchemar et je ne pensais pas que les choses empireraient.

Jusqu’au moment où un grand gaillard bien bâti, au teint hâlé, aux cheveux courts, noir corbeau et aux yeux étranges me coupa la route. Il irradiait la puissance, la brutalité, la violence, mais je n’en étais pas sûr. Je n’étais sûr de rien, l’alcool me faisait complètement délirer. Je n’avais même pas peur de lui, alors que j’aurais probablement dû.

— Ouais… toi… Va-t’en…, bredouillai-je sans articuler à cause de mon état d’ébriété.

— Va-t’en ? répéta l’homme d’un ton mielleux.

— Ouais… je… je cherche… ma sœur…

— Nous aussi.

— Hein ?

Je n’avais pas poussé un petit « hein » comme je le faisais quand je ne comprenais pas une question. Non, ce fut carrément le fameux « hein ! » du film Bienvenu chez les Ch’tis. L’autre leva un sourcil et eut un regard moqueur. Je me sentis gêné.

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Mais c’était vrai... quelque chose s’agitait en moi dès que je le voyais, dès qu’il me parlait. Mes boyaux se tordaient à son approche. Je l’avouai, mon refus d’avoir des enfants perdait en puissance lorsqu’il était prêt de moi, lorsque nous étions ensemble. Quand nous nous promenions dans le parc, quand nous discutions sur le canapé, j’étais comme transportée par le son de sa voix, par son rire. Étais-je prête à me laisser aller ? À tomber amoureuse de lui ? À cette simple hypothèse, mes joues s’embrasèrent et je baissai la tête.

source site "dans notre petite bulle"

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"Apollon s’approcha et me fit face, un sourire rassurant aux lèvres. Mais venant d’un dieu, cela ne m’apaisa pas. Au contraire. Je baissai les yeux et découvris un petit objet rond entre ses doigts effilés. Une simple perle, qui pourtant luisait, comme entourée d’une étrange brume de sable et de nuages dorés. Je levai un sourcil et la désignai de la main.

— Qu’est-ce que c’est ?

— Le pouvoir de Kronos, canalisé dans un petit objet, me répondit Apollon.

— Pour éviter de te tuer lors du transfert, ajouta Artémis d’un ton goguenard."

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Nous étions assis l'un à côté de l'autre, dans l'herbe, près de l'eau, et parlions de sa vie aux Enfers. Il avait accepté de l'évoquer et j'avais eu le droit à une petite visite mentale... merci Athéna de lui avoir permis de retrouver un peu de ses pouvoirs. Un flot de souvenirs s'était alors déversé en loi et je fus fort en peine de tout assimiler.

- Au fait, tu t'es améliorée, pour défendre tes pensées ? me demanda-t-il au bout d'un moment. La dernière fois c'était une catastrophe.

Je plantais mes yeux dans les siens, comme par défi.

- Essaye.

Il émit un rire bref et dirigea sa conscience vers la mienne.

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Je me mordis la lèvre, angoissée. Il avait raison de soulever ce point- là. En effet, à ce moment précis, notre charmant Grand-père tourna les yeux vers nous. Il nous dévisagea d'un air froid et hautain avant de lâcher :

- Toujours là, vous deux ? Pas de travail ? Pas d'études ? A quoi servez-vous, dans cette maison ? N'imaginez pas que mon fils vous hébergera toute votre vie ! Un jour, vous devrez porter votre contribution ! Ce que le Seigneur vous a si charitablement donné sera rendu !

Cette dernière phrase me fit lever les yeux au ciel. Hélas, Grand-père le remarqua.

- Toujours aussi insolente, cette petite peste ! Je croyais que vous l'aviez dressée de façon correcte, Brigitte ? Elle se comporte davantage en sauvageonne qu'en dame.

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"Je retournai sereinement en direction du lycée quand je sentis deux bras puissants s’emparer de moi et me plaquer contre le mur, dans l’ombre d’un arbre. Hélas pour moi, la rue était désormais déserte, et mes cris de terreur n’attirèrent personne.

J’en lâchai mon pain au chocolat.

— Toi…, lança l’homme dans un murmure.

Je remarquai alors qu’il transpirait et que ses yeux brillaient d’un éclat de folie et de triomphe.

— M… moi ? bredouillai-je d’une voix vibrante de peur.

— Hélène… née le septième jour du septième mois…

Je cillai, horrifiée.

— N… non… Vous faites erreur… Je… je suis née le huit juillet… pas le sept…

— Non ! beugla-t-il. Je sais ce que je dis ! Tu es née le sept !

Il m’agrippa par le haut de mon sweat noir, m’entraînant dans une ruelle sombre, au bout de laquelle j’apercevais le port et sentais les embruns de la mer, toute proche. Pourquoi se dirigeait-il vers l’océan ?

— S’il vous plaît… lâchez-moi… Vous me faites mal…, sanglotai-je.

Avec ma capuche, il me tirait aussi plusieurs mèches de cheveux.

— Silence ! gronda-t-il.

— Qu’allez-vous faire de moi ? m’inquiétai-je.

— Il nous faut un endroit sûr, où nous ne serons pas dérangés.

— Pourquoi ?

— Pour accomplir la prophétie."

Chapitre 3

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— Laissez-moi partir…, murmurai-je d’une voix tremblante.— Non, je ne crois pas.

— Que comptez-vous me faire ? M’enlever ? Comme… comme Perséphone ?

Ces mots étaient sortis tous seuls de ma bouche. Je n’avais plus qu’à espérer qu’il ne le prenne pas mal, sinon...

À mon grand étonnement, il rit. Et me relâcha.

Je l’entendis se relever, et pour la première fois, j’eus le courage d’ouvrir les paupières et de le regarder en face. Il me toisait de haut, un petit sourire aux lèvres. Je notai qu’il avait pris taille humaine, car un dieu mesurait ordinairement entre trois et quatre mètres.

— Tu ne mâches pas tes mots, toi. Pas comme ces larves…, ajouta-t-il d’un ton méprisant en désignant les autres prêtres et les hoplites.

source site "dans notre petite bulle"

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