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« Ce que vous appelez “envie”, moi je l'appelle “désir”. Désir d'une société juste et égalitaire. Vous me taxez d'arrogance, je vous réponds que je suis fière parce que mes convictions me placent au-dessus de ceux qui m'oppressent. »
Afficher en entier...ma mère était obsédée par le soleil. Pas par le coucher qui marquait la fin du jour, mais par le lever qui apportait le miracle d'un nouveau jour. J'ignore si ça lui venait de son côté optimiste, la joie de célébrer chaque journée qui commençait, ou de son côté pessimiste, la crainte que chaque jour soit le dernier.
Afficher en entierLe lien qui nous unissait s'est dissous, il n'a pas entièrement disparu, il est toujours là, quelque part, sans doute jusqu'à la fin de nos jours, invisible, sous une forme nouvelle.
Afficher en entierJ'aime les maths parce qu'un problème a toujours une solution. Si on applique le théorème, on trouve toujours la réponse. Ces derniers temps, je suis perdue. Les théorèmes se sont envolés, il ne reste plus que des gens qui jouent entre eux et modifient les règles en cours de partie.
Afficher en entierC'est à bord d'un bus que j'ai perdu foi en l'humanité. C'est à bord d'un bus que je la retrouve.
Afficher en entierSi quelqu’un gagne, c’est que quelqu’un d’autre a perdu. Or si une personne a gagné, c’est forcément qu’elle avait perdu quelque chose à la base. La justice a ceci d’ironique que les sentiments qui la précèdent et ceux qui en découlent ne sont jamais justes ni équilibrés.
La justice elle-même n’est pas parfaite.
Afficher en entierJe ne veux pas redevenir la fille que j'étais, ni retrouver ma vie d'avant. Être parfaite ne me satisfera jamais. La perfection n'existe pas ; c'est un mensonge.
Afficher en entierIl faut parfois une vie entière pour établir une amitié - il faut parfois d’une seconde pour se faire un ennemi.
Afficher en entierJ’ai appris énormément de choses, et notamment au sujet de la confiance. Vous m’avez appris à déterminer à qui je pouvais faire confiance ou pas. Avant les marquages, je ne pense pas que des gens m’aient réellement fait souffrir. Mais depuis.....disons qu’ils m’ont surprise. Ça n’est pas moi qui ai changé. Il a suffit d’une lettre sur un brassard et de quelques cicatrices sur mon corps pour que le monde entier bascule. J’ai dû m’y adapter j’ai dû me redécouvrir.
Afficher en entier« L'arrogance, la cupidité, l'impatience, l'entêtement, le martyre, l'autodénigrement et l'autodestruction, voilà les sept défauts de caractère que le juge Crevan nous attribue. Mais cher juge, toutes les pièces ont deux faces. »
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