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— Tu ne m’as toujours pas dit ce que tu voulais pour Noël.

— Je t’ai toi, je n’ai besoin de rien d’autre.

— Mouais, mais tu m’as tous les jours, ça n’a rien de spécial.

— Pas d’accord, l’ami.

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— Dégueu, dit Wade. Même moi je mange plus proprement.

— Dois-je inspecter ton appartement à notre retour ? s’enquit Patrick.

Wade lui décocha un regard en coin tout en se mordillant la lèvre inférieure.

— Non ?

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— Tu as le droit d'être en colère et blessé, dit Jono d'une voix douce tout en le tenant contre lui. Mais ne me repousse pas.

Patrick caressa sa peau à l'emplacement de son cœur avant d'y appuyer la main.

— Je ne le ferai pas.

Et ça, c'était un véritable progrès.

C'était une évolution, parce que Jono savait que deux mois plus tôt, Patrick aurait hésité avant d'accepter, et même s'il l'avait fait ça n'aurait été qu'un mensonge. Là, ses battements de cœur étaient réguliers et la vérité se mêlait à l'odeur du sexe qui emplissait leur chambre.

C'était bel et bien la vérité, et Jono ferait tout ce qui était en son pouvoir pour s'en montrer digne.

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— Tu veux que je me chope une putain de contravention en t’attendant ? demanda Jono d’une voix agacée, même s’il se gara malgré tout à l’endroit indiqué.

— La Mustang a des plaques du gouvernement.

— Ouais, mais moi j’ai pas de badge.

— Je ne devrais pas être long.

Patrick se pencha pour un baiser que Jono ne lui refusa pas.

— Si quelqu’un te pose la question, réponds que tu viens me récupérer pour le déjeuner.

— À cette heure ce serait plus un brunch.

Patrick leva les yeux au ciel tout en enfilant ses gants.

— T’as encore faim ? Tu viens de prendre ton petit déj.

— J’ai fait le petit déj.

— Regarde si Wade a laissé des paquets de gâteaux derrière.

— C’est des emballages qu’il laisse, pas de la bouffe

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« Le Magister tourna la tête pour déposer un baiser sur son doigt. Lorsqu’il reporta son regard sur lui, celui-ci était chargé d’une telle intensité que Jono se figea, le sang rugissant à ses oreilles.

— Si les dieux nous avaient laissé le choix, c’est à toi que j’aurais choisi de me lier, dit Patrick. »

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Le fils premier-né d’Ethan.

— Putain, il craint ton père, dit Wade.

Patrick émit un faible rire, refusant de se décomposer sous le regard de la reine.

— T’as pas idée.

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« - Patrick est sous ma protection, gronda Gerard entre ses dents serrées, ses yeux d’argent étincelant dans la faible lumière. Son âme ne vous appartient pas.

— Elle ne m’appartient même pas à moi, alors allez faire la queue comme tout le monde, marmonna Patrick.

— Ou pas, rajouta Jono avec irritation. »

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Le rang des sluaghs se divisa, morts sans repos et faes bien vivants s’écartant pour permettre à une haute silhouette de s’avancer. Le fae duine sídhe Unseelie était mince sous son armure de cuir noir ornée de plaques d’un acier gris que Patrick aurait bien aimé être en fer. Ses longs cheveux blancs étaient plus pâles que sa peau, tandis que ses yeux avaient la couleur de la tempête qui faisait rage à l’horizon. Il portait une hallebarde recouverte de symboles qu’il ne parvint pas à lire. Ils luisaient doucement dans le brouillard, la sensation de la magie fae raclant contre ses boucliers.

La brume roula mollement derrière les sluaghs, révélant de grandes ombres qui se matérialisèrent en créatures de plus de deux mètres de haut.

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— Tu penses ce que tu as dit ? demanda-t-elle tout bas. Que tu veux New York.

Jono approuva lentement.

— Ouais.

Par-dessus son épaule, elle jeta un coup d’œil à son compagnon de beuverie, un grand Afro-Américain qui se tenait près d’elle, protecteur.

— On transmettra l’info à notre alpha.

Jono ne savait pas à quelle meute ils appartenaient, mais ça signifiait que malgré les menaces de Nicholas, ils avaient envie de croire en un futur libre des lois vicieuses d’Estelle et Youssef.

Il poussa un lourd soupir une fois le duo reparti. Puis il alla récupérer le verre de Sage pendant qu’elle envoyait ses SMS.

— Un jour, je n’aurai pas d’autre choix que de le tuer.

— Il est leur Implacable, il connaît les risques, dit-elle.

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— Euh attends, si elle ne peut pas me garder, ça veut dire que je peux manger ce fruit qui ressemble à une espèce de pomme ?

Patrick leva les yeux au ciel, sans se retourner.

— Wade.

Il l’entendit pourtant mordre dans quelque chose derrière lui.

— Quoi ?

— Tu es puni.

— Je suis déjà puni.

— T’es encore plus puni, dans ce cas.

(...)

— Ça a un goût d’orange, commenta Wade en prenant une autre bouchée de son fruit violet à moitié dévoré.

— T’es tellement, mais tellement puni, marmonna Patrick.

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