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— Qu’est-ce que tu fuis, comme ça ?
— Je ne fuis rien du tout. Je m’immobilisai aussi, et il se dirigea vers une rampe. Il fit craquer son cou et me souffla un nuage blanc au visage. Sexy. Mais était-ce si évident que ça ?
— Zut, soufflai-je, avant de m’asseoir à côté de lui sur la rampe. Mes muscles me suppliaient de faire une pause, et il fallait que j’avale un morceau.
— Moi-même. Trigger. Je ne sais pas.
— Waouh, je cherchais juste une excuse. Je ne savais pas qu’il se passait vraiment quelque chose, plaisanta-t-il. Il remarqua mon expression peu convaincue et s’efforça de recouvrer son sérieux. — OK, laisse-moi me mettre dans les bonnes dispositions. Il ferma les yeux et entonna :
— Conversation de meuf, conversation de meuf, conversation de meuf. Fesses, nichons, position du ciseau et parties intimes mouillées. OK. Il poussa un soupir théâtral et lâcha :
— Je suis prêt.
— Quelle chance j’ai…, ironisai-je.
Afficher en entier« — Tu es entrée dans ma vie et tu m’as montré que je méritais quelque chose, peut-être même l’amour. Tu m’as prouvé ta loyauté un nombre incalculable de fois. Tous les hommes incapables de comprendre ta valeur sont des idiots.
Je suis sans voix.
— Je ne suis pas doué pour ça, mais pour toi, je vais essayer. Je risque de chercher mes mots, mais je pourrais toujours te montrer mes sentiments. »
Afficher en entier« Les hommes ne comprendraient jamais les émotions provoquées par une romance. Les hommes étaient sexy, d’accord, mais c’était avant tout le fantasme qui comptait. C’était des personnages de fiction, créés pour faire éprouver des émotions incroyables aux femmes, pour nous faire nous sentir désirées quels que soient nos défauts, et ça n’existait pas ailleurs. Du moins, pas dans ce monde. Mais merde, il y avait toujours de l’espoir. »
Afficher en entier« — Tu n’es pas n’importe quelle fille, Tess. Ta place est avec moi, dans mon club, et pas avec ton ex manipulateur.
Je lui pris le menton pour l’amener à me regarder. Ses yeux étaient furieux, mais j’y décelai aussi de la tristesse. Je détestais ce que ça me faisait ressentir. Je détestais que ça me fasse ressentir quoi que ce soit.
— Laisse tout ça derrière toi, ou je t’y forcerai.
— Essaie un peu. »
Afficher en entier« Trigger était assis sur le capot de la voiture, trop heureux de nous accorder un peu d’intimité. Il n’était pas doué pour gérer les émotions, et j’étais sûre qu’il me voyait différemment, après ce que j’avais fait. »
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