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" 𝖫𝖾 𝖽𝖾𝗌𝗍𝗂𝗇 𝗆𝖾 𝗋𝖾𝗆𝖾𝗋𝖼𝗂𝖺𝗂𝗍 𝖽'𝖺𝖼𝖼𝗈𝗆𝗉𝗅𝗂𝗋 𝗅'œ𝗎𝗏𝗋𝖾 𝖽𝗎 𝖽𝗂𝖺𝖻𝗅𝖾."
Afficher en entier— Les princes charmants, c'est surfait, Trigger. Les gens comme nous ont besoin de quelqu'un d'aussi écorché qu'eux. Ça équilibre les choses.
Afficher en entier— C’est l’un de vos membres ? demanda-t-elle.
Elle tenta d’essuyer un morceau de ce qui était sans doute de la cervelle sur sa chaussure.
— C’était, répondit Rail, à ma grande surprise, en nous rejoignant. Ils ont scié ses membres alors qu’il était encore en vie. Ils ont sûrement commencé par l’oreille, avant de descendre. Ça permet une mort plus lente et plus douloureuse.
Il lui sourit et demanda : — Tu vas bien, ma belle ?
— Je n’aurais pas fait comme ça, dit-elle en haussant les épaules. Elle s’accorda une seconde et fit semblant de réfléchir.
— Ah non ?
— Hum. Elle se pencha en avant pour examiner la main, et continua :
— J’aurais commencé par les ongles, et ensuite j’aurais peut-être utilisé de l’essence et du feu. Elle planta ses yeux dans les miens, puis s’attarda sur mon érection qui se contractait.
— Et j’aurais regardé les couches de peau brûler une par une, jusqu’à l’os.
— Je n’ai jamais trouvé une femme aussi sexy que toi à cet instant, rit Rail, mettant fin à notre échange de regards.
Afficher en entierPlus tard, avant d’éteindre les lumières et de me préparer à dormir, je sortis de sous les draps et regardai par la fenêtre. J’adorais observer le ciel nocturne ; il avait quelque chose de paisible. Un mouvement vif attira mon attention, et j’éteignis la lampe pour mieux voir. Ça alors...
— Bonjour, Remington Tate, dis-je en ouvrant ma fenêtre. J’étais en train de l’espionner, mais bon…
Il faisait plus de trente degrés à Santa Monica, et pourtant ce type portait un sweat à capuche. Il se déplaçait comme un danseur, ses poings frappaient le punching-ball. J’entendais des bang, bang, bang chaque fois qu’ils entraient en contact avec le sac. C’était un spectacle fascinant.
Afficher en entier" 𝖨𝗅 𝖼𝗋𝗈𝗂𝗌𝖺 𝗆𝗈𝗇 𝗋𝖾𝗀𝖺𝗋𝖽, 𝖺̀ 𝗅𝖺 𝗋𝖾𝖼𝗁𝖾𝗋𝖼𝗁𝖾 𝖽𝖾 𝗅𝖺 𝗆𝗈𝗂𝗇𝖽𝗋𝖾 𝗍𝗋𝖺𝖼𝖾 𝖽'𝗎𝗇𝖾 𝖺̂𝗆𝖾. 𝖬𝖺𝗅𝗁𝖾𝗎𝗋𝖾𝗎𝗌𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍, 𝗃'𝖾́𝗍𝖺𝗂𝗌 𝗇𝖾́ 𝗌𝖺𝗇𝗌. "
Afficher en entier« On ne se confie pas, tu te souviens, Trigger ? Les histoires mènent aux sentiments, et les sentiments mènent à la souffrance. Personne n a envie de souffrir.
J imagine que tout le monde a sa propre version de la souffrance, répliquai-je. »
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