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Dévorer le ciel



Description ajoutée par x-Key 2019-05-20T00:09:58+02:00

Résumé

Chaque été, Teresa passe ses vacances chez sa grand-mère, dans les Pouilles. Une nuit, elle voit par la fenêtre de sa chambre trois garçons se baigner nus dans la piscine de la villa. Ils s'appellent Nicola, Bern et Tommaso, ce sont " ceux de la ferme " d'à côté, jeunes, purs et vibrants de désirs. Teresa l'ignore encore, mais cette rencontre va faire basculer sa vie en l'unissant à ces trois " frères " pour les vingt années à venir, entre amours et rivalités, aspirations et désillusions. Fascinée par Bern, personnage emblématique et tourmenté, viscéralement attaché à la terre somptueuse où il a grandi, elle n'hésitera pas, malgré l'opposition de sa famille, à épouser ses idéaux au sein d'une communauté fondée sur le respect de la nature et le refus du monde matérialiste, à l'image de la génération des années 90, tiraillée entre le besoin de transgression et le désir d'appartenance, mais entièrement tendue vers l'avenir, avide de tout, y compris du ciel.

Traduit de l'italien par Nathalie Bauer.

Né en 1982 à Turin, Paolo Giordano est docteur en physique théorique. À l'âge de 26 ans, avec son premier roman, La Solitude des nombres premiers, il est le plus jeune auteur à obtenir le prestigieux prix Strega : deux millions d'exemplaires vendus, une trentaine de traductions dans le monde. Il confirme ensuite son talent dans Le Corps humain et Les Humeurs insolubles.

(Source : Seuil)

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Classement en biblio - 37 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Whale 2019-09-21T15:02:14+02:00

À un moment donné, les feuilles se recroquevillent, les branches s’affaissent et la plante devient une chose misérable. La vie l’a déjà abandonnée. Nos corps subissent le même processus quand l’âme les quitte.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Kiki1744 2024-09-23T15:48:32+02:00
Lu aussi

"Dévorer le ciel" : une belle fresque vivante qui raconte la rencontre presque improbable de Teresa avec trois garçons : Bern,Nicolas, Tommaso,les voisins de sa grand-mère.

Teresa a 14 ans et passe chaque été chez sa grand-mère.

Le roman se termine 20 ans plus tard avec cette histoire racontée par Teresa ou par d'autres à Teresa.

Une immersion dans cette région des Pouilles,pauvre, aride et brute de l'Italie du Sud. Une immersion dans le combat de ce groupe de jeunes qui essaie de vivre contre les nuisances de la société capitaliste et moderne qui détruit à tour de bras les oliviers, symboles d'une vie austère certes mais aussi pure et respectueuse.

Teresa continuera de perpétuer cet idéal et ce pour pour une existence respectueuse de la nature et des gens.

Un livre qui malheureusement ne m'a pas emballé.

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Commentaire ajouté par juliette67 2022-08-28T19:38:07+02:00
Diamant

Une histoire sublime et percutante qui nous fait voyager au coeur des Pouilles.

J'ai apprécié les liens qui unissent les différents personnages, si intenses, et les rebondissements qui en découlent.

Les descriptions de paysages et de techniques agricoles permettent de bien s'immerger dans l'oeuvre et de vivre cette histoire en même temps que les personnages.

Un coup de coeur.

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Commentaire ajouté par loulou160800 2022-05-25T08:31:50+02:00
Or

J'ai bien aimé lire ce livre dont l'histoire est assez décalée par rapport à ce que je peux avoir l'habitude de lire. J'ai particulièrement apprécié le fait que l'intrigue prenne place en Italie ce qui est assez inhabituel pour moi. Je tiens à salué les efforts de narration de l'auteur puisqu'à certains moments ce n'est censé être que du récit mais l'on réussi à rester accrocher à l'histoire et à avoir envie de découvrir la suite. J'y ai tout de même trouvé quelques longueurs mais globalement cela reste une belle lecture. La fin m'a particulièrement touché et émue.

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Commentaire ajouté par Steph_P 2021-11-17T13:46:02+01:00
Diamant

Teresa passe tous ses étés avec son père dans les Pouilles, chez sa grand-mère. Une nuit, trois garçons entrent par effraction dans le jardin pour se baigner. Ce sont trois “frères” adoptifs qui vivent dans la ferme voisine élèves par un couple profondément religieux. L'attraction entre Bern et Teresa est instinctive, immédiate. Et au fil des années une relation s'installe.

Tout comme pour “La solitude des nombres premiers”, ce roman se déroule sur une vingtaine d'années, on suit les protagonistes adolescents puis adultes. On est confronté à leurs idéaux, à leurs doutes, à leurs tristesse, à leurs déchirements. Fable écologique également, ce livre dépeint jusqu'où il est possible d'aller pour vivre ce que l'on croit important, et qui s'avère peut-être bien secondaire...

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Commentaire ajouté par -Anais- 2020-11-09T01:11:31+01:00
Or

Je viens de finir ce livre, et il m'a laissé une impression très étrange dans le ventre.

Il parle de choses tellement différentes, d'une vie qui paraît se dérouler très loin de nous, de religion... Surtout cet aspect religieux qui m'a beaucoup troublée: la ferme qui est d'abord comme le jardin d'Eden, où le mal s'insinue sournoisement ensuite, le feu, la maladie, puis la résurrection. Et ces arbres qui sont omniprésents dans le récit, qui sont comme des témoins muets des actions des humains. Ce livre était définitivement très inspirant sur le côté religieux, "Je fuis ta main pour ta main" (presque un résumé du livre), l'évocation du pêché, du pardon, de l'amour inconditionnel, Abel et Caïn...

Je ne sais pas trop comment définir le sentiment qu'il me donne: de la nostalgie peut-être ? De la nostalgie pour l'enfance de ces enfants, où tout était "bon". Et puis vient l'adolescence et l'âge adulte. On essaie de retenir ce qu'il reste de l'enfance mais plus rien n'est comme avant, l'innocence n'est plus là.

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Commentaire ajouté par fleuravril 2020-07-31T09:50:00+02:00
Or

J'ai été réellement surprise à la lecture de ce roman car le résumé nous donnait en fait une toute petite idée de ce qu'on allait découvrir. J'ai trouvé que l'histoire était poussée et recherchée, bien plus que je l'imaginais. C'est un roman poignant, mettant en scène des situations et des personnages complexes. J'ai très envie maintenant de découvrir le premier roman de Paolo Giordano car il semble être un auteur incroyable.

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Commentaire ajouté par pardela_les_livres 2020-01-02T21:32:07+01:00
Diamant

Durant cette lecture, j'ai voyagé dans les Pouilles de la fin des années 1990 et début 2000. Je me suis attachée à chacun des personnages. Et j'ai été touchée par la cause qu'ils défendaient. J'ai suivi leur évolution, leurs histoires d'amour, d'amitié. Ce livre m'a tout simplement émue aux larmes.

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Commentaire ajouté par Root 2019-12-29T18:26:17+01:00
Argent

Ils étaient des enfants quand ils se sont rencontrés. Trois garçons intrépides, élevés selon nombre de préceptes religieux qui ne les empêchaient pas de n’en faire qu’à leur tête, et une petite fille espiègle, curieuse des autres. C’est pour Bern que la jeune Teresa vibre. Son regard énigmatique, ses discours trop matures, ses silences tragiques. Toujours flanqué de Tommaso et Nicola, Bern a très tôt l’étoffe d’un leader, et ce malgré lui. Anticonformiste, rêveur, écorché vif, il se laisse difficilement approcher. D’un été à l’autre, au village de Speziale, Bern et Teresa apprennent à se connaître, mais peut-on dompter le vent ? L’amour, au-delà de la raison et des convenances, fera son œuvre, mais chaque jour semble imposer un nouvel obstacle, dans un paysage social en souffrance, où les idéologies se heurtent aux intérêts financiers, et où la force des sentiments s’avère ardemment destructrice.

Toute tentative de résumer ce roman serait réductrice : Dévorer le ciel est une fresque dramatique qui se déroule sur plus de quinze ans. Je crains de trop en dire, et de très mal le faire ! Dès les premières pages, j’ai été saisie par la beauté de l’écriture (et le talent de la traductrice, Nathalie Bauer), hypnotisée par ce style très visuel qui ne fait que gagner en intensité. La construction narrative envoûte, déroute, vous contraint à tout mettre entre parenthèses pour suivre les personnages. Troublée par l’éducation stricte, dogmatique dispensée aux trois garçons (Cesare, dans le rôle du précepteur-dominateur, est dérangeant d’ambivalence), j’ai d’emblée éprouvé une grande tendresse pour eux… un ressenti qui s’est souvent modifié au fil du temps. Mais quel que fût leur âge, j’ai lu ce roman avec passion. J’aurais voulu soutenir Teresa dans ses tourments, j’aurais voulu faire partie de leur monde, prendre position, défendre leur cause. Car loin de se limiter à une histoire d’amour torturée, l’auteur a brillamment exploité des problématiques poignantes, dont l’écologie. L’évolution des personnages est absolument parfaite. J’aime, dans la littérature italienne, ces villages où le temps semble suspendu sous un ciel brûlant, ces scènes qui se déroulent au ralenti jusqu’à ce que les cœurs et l’orgueil explosent. Ici, le drame sourd à toutes les pages, celui qu’on redoute sans savoir de quoi il s’agit, mais avec les pires convictions qui s’ancrent au bout des doigts. Le drame dans la déchirure de l’héroïne, dans chaque sentiment bafoué, chaque attente jamais comblée.

Ainsi livrée à ce dédale d’émotions, j’ai plusieurs fois dû prendre le temps d’encaisser, le cœur serré, avant de poursuivre ma lecture. Amitié, amour, jalousie, soumission, repentance, fierté, obstination et quoi d’autre encore que je ne saurais nommer… Abîmée dans sa mélancolie, j’aurais voulu ne jamais terminer ce roman.

Merveilleuse découverte de Paolo Giordano (dont je lirai prochainement La Solitude des nombres premiers) et coup de cœur de cette année 2019.

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Commentaire ajouté par Marie-Helene-7 2019-12-27T09:23:48+01:00
Or

Un roman difficile à classer :

Une saga familiale,

Un bildungsroman (pour les quatre protagonistes, une gageure du genre, qui concerne en particulier Teresa),

Un roman engagé (écologie),

Une fable (sur le sens de la vie, les religions, le combat pour notre environnement) …

En fin de compte, il s’agit d’un peu tout cela. L’écriture est fluide et belle, elle nous donne directement accès aux sensations et pensées de la narratrice (non omnisciente, puisqu’il s’agit de l’un des personnages principaux, Teresa).

Ce texte est, en quelque sorte, interrompu par le récit de Tommaso qui révèle à Teresa une partie de l’histoire qui lui était inconnue.

Un texte poignant, fort et une superbe fresque qui se déroule dans les Pouilles et nous fait voyager jusqu’en Islande.

Un texte que je recommande sans hésiter !

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Commentaire ajouté par MissChocolatineBouquine 2019-11-19T12:23:08+01:00
Argent

« Dévorer le ciel » promesse éloquente d’un avenir espéré et désiré. Promesse criée à la lueur de la lune et aux Dieux d’un monde à deux vitesses. Ceux qui courent et ceux qui marchent en regardant le ciel, en écoutant le vent, la pluie et la nature s’épanouir.

« Dévorer le ciel » raconte la vie de ceux qui ont choisi leur combat. Tout débute alors que Teresa espionne depuis la fenêtre de sa chambre, ses trois garçons qui se sont infiltrés sur la propriété de sa grand mère pour profiter de leur piscine. Les étés défilent, les amitiés naissent et se tissent, et l’amour déploie ses ailes. L’adolescence s’enfuit pour laisser place à l’âge adulte. Les initiatives deviennent un combat quotidien prouvant que touts actes sont légitimes et porteurs inattendus de résultats.

Sous un air de spiritualité et de doctrine non conventionnelle, Teresa est fascinée et trouve dans tout cela un écho où son bien-être, sa propre vision du monde et ses valeurs sont valorisés. Teresa est envoûtée par son nouveau mode de vie et par Bern qu’elle idolâtre depuis leur première rencontre. Bern est un monde à lui tout seul fait de mystère, de silence et d’envolés lyriques où les mots subjuguent. Bern est devenu son repère et son phare. Il est son tout. Mais dans ce coin des Pouilles en Italie le bonheur s’associe avec le malheur.

Paolo Giordano narre avec douceur les inhérences de la vie. Ces aspérités qui souvent conduisent au chaos des sentiments et détruisent les femmes et les hommes. Ces aspérités qui façonnent l’âme humaine l’enjolivant ou l’enlaidissant. Ces tourbillons qui bousculent et détruisent un semblant de paix. Ces trombes d’eaux qui noient le plus fin des nageurs l’emportant dans les flots dangereux ne laissant aucun répit. Paolo Giordano dépeint avec humilité les tempêtes d’une vie, des vies.

Il est difficile de te décrire les émotions qui m’ont traversée pendant cette lecture. Stupeur, ébahissement, douleur, espoir, doute, crainte … et certainement bien d’autre que je n’arrive pas à préciser et identifier. Mes craintes de départ ont très vite disparu au profit d’une lecture-balade comme je les aime. Une première découverte qui ne m’a pas totalement subjuguée car, peut-être, j’attendais l’élément époustouflant pour m’éblouir davantage.

Je le recommande fortement à tous les amoureuses et amoureux d’envolées littéraires.

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Date de sortie

Dévorer le ciel

  • France : 2019-08-14 (Français)

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