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Commentaires de livres faits par devoreuselivre22

Extraits de livres par devoreuselivre22

Commentaires de livres appréciés par devoreuselivre22

Extraits de livres appréciés par devoreuselivre22

Je suis pompette, ce qui me donne en général en une de faire des câlins à toute le monde, pas de baisser le pantalon de mon meilleur ami.
AARGH !
Meilleur ami strictement platonique. Meilleur strictement platonique ami.
Le rouge me monte aux joues et je me lève si rapidement de ma chaise qu'elle vacille. Quatre paires d'yeux curieux se posent sur moi, je me dirige droit sur les toilettes.
- Millie ? m'interpelle Reid dans mon dos. Ça va ?
- Envie de faire pipi !
Je crie par-dessus mon épaules et m'arrête seulement lorsque je suis en sécurité dans les toilettes, la porte bien fermée derrière moi.
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Arrêter de haïr quelqu'un pour ce qu'il est, s'accepter les uns les autres, et c'est tout. Il faut davantage nous mélanger. Je voudrais leur dire que la seule cause de ce que les nazis nous ont fait subir est la haine. Ce n'est pas parce que nous n'avons pas la même couleur de peau, parce que nous n'avons pas la même religion, que nous sommes différents les uns des autres. Acceptons nous avec nos qualités et nos défauts. J'aimerais que l'on m'écoute. Les élèves entendent, mais lorsqu'ils deviennent adultes, certains oublient... Quand tu te piques, Sifa, qu'elle est la couleur de ton sang ?

"Nous n'avons pas la même couleur de peau, mais nous avons tous le même couleur de sang : un sang rouge."
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On nous dit que mourir coûte cher, alors que naître est gratuit. C'est faux.
Le prix moyen des obsèques en France se situe entre 2800 et 3200 euros. Le prix moyen d'une naissance est estimé à 7000 euros. Mais la naissance est entièrement prise en charge par la Sécurité Sociale tandis que vous payez la mort de votre proche. Il existe peu de variantes pour la naissance. Mais il existe une infinité de possibilités pour les obsèques : cérémonie civile ou religieuse, à l'église, au temple, à la mosquée, vous pouvez être inhumé, crématisé, et là encore, vos cendres peuvent être déposées dans une tombe, un columbarium, dispersées... Vous aviez le choix, c'est la liberté du funéraire. Il serait toujours de demander à l'État de prendre en charge le coût des obsèques. Mais cela resterait payant : par des cotisations, des impôts et des taxes. Considérez ceci : dans l'hypothèse d'une prise en charge des funérailles par l'État, vous vous exposeriez alors à vous voir imposer vos choix pour uniformiser les obsèques, pour en réduire les coûts, voire par simple dogme égalitariste. Au final, vos volontés, vos croyances et vos principes seront balayés par la loi. Le prix des obsèques est alors simple à calculer : c'est celui de la liberté.
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Eliza Jane et Alice fouillaient dans leur bas avec des petits cris aigus. Royal avait trouvé une écharpe de soie. Almanzo plongea à nouveau la main dans la chaussette et en retira pour un nickel de sucres d'orge à la menthe. Il mordit l'extrémité de l'un des bâtons : l'extérieur fondait comme du sucre d'érable, mais l'intérieur, qui est dur, paraissait pouvoir être conservé des heures durant dans la bouche.
Il sortit ensuite une nouvelle paires de moufles. Mère avait choisi un point fantaisie pour en tricoter le poignet et le dos. Il remonta ensuite une orange, puis un petit paquet de figues sèches. Il se dit que ce devrait être tout. Il trouvait qu'aucun autre petit garçon n'avait été aussi gâté que lui pour Noël.
Il restait pourtant encore quelque chose dans la pointe de la chaussette. C'était un petit objet, mince et dur au toucher. Almanzo ne parvenait pas à imaginer ce que cela pouvait bien être. Il le fit sortir : c'était un canif. Il avait quatre lames.
Almanzo n'en finissait plus de crier. Il sortit toutes les lames, coupantes et brillantes, tout en s'égosillant :
- Alice, regarde ! Regarde Royal ! Regardez, regardez mon couteau ! Regardez ma casquette !
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date : 20-01
Mais il n'obéit pas, hypnotisé par ce qu'il voit.
- Lia ? M'interpelle Stanford de la terrasse.
- Il y a des ... Des ...
Je ne termine pas ma phrase ; il attrape mon bras et me tire vers le chalet. Je n'ai jamais vu une telle expression sur son visage. Un mélange de peur, d'angoisse et de résignation. Sans un mot, il saisit son fusil et le braque en l'air pour tirer une fois.
Les animaux semblent reculer alors qu'Alpha se retourne et regarde son maître intensément.
- Que font-ils ici ? Demandé-je surprise
- je ne sais pas. Je suis retourné voir l'ours que j'ai abattu hier matin, il était en partie dévoré et congelé. J'ai pu remarquer des empreintes de loups dans la neige.
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Pour notre convoi, la limite d'âge n'a pas joué car une épidémie de typhus avait partiellement vidé le camp.
Il restait donc de la place et la sélection à été moins brutale. Ceux qui n'avaient pas encore dix-huit ans n'ont pas été éliminés. On a même laissé entrer des adolescents de quinze ans.
Dans d'autres convois, seuls ceux qui avaient entre vingt et vingt-cinq ans ont échappé à la chambre à gaz.
Sur le moment, bien sûr, nous ne savions rien.
Nous ne pouvions pas imaginer une seconde ce qui était en train de se passer. Dans une telle situation, tout ce qu'on imagine est faux. On se contente de vivre chaque instant, sans savoir que l'instant suivant réserve quelque chose d'encore pire.
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- Vous vouliez une opportunité supplémentairede faire vos preuves ? La voici, Robertson : vous partez en infiltration.
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date : 23-10-2020
" Respirez, bon sang de bonsoir ! " cria la voix invisible ; et il pensa : D'accord, tout ce que vous voudrez, mais s'il vous plait ne recommencez pas, surtout pas cette infection et il essaya, mais avant d'avoir pu réellement commencer, les lèvres de la femme bâillonèrent encore les siennes, des lèvres aussi sèches et mortes que des lanières de cuir salées ; et de nouveau son haleine le viola.
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date : 07-10-2020
Je m'apprête à répéter ma question en essayant d'affermir ma voix mais, au même instant, je crois entendre renifler. Un bruit presque imperceptible. Puis la vérité m'apparaît dans toute son horreur : la prof est en train de pleurer au téléphone.
"Je vous en prie, répondez, dis-je dans un murmure. Que s'est-il passé ?" Mon estomac faut un tour sur lui-même. " Qu'est-il arrivé à ma fille?
- je suis désolée, pleurniche-t-elle. Pardonnez-moi... Felicity est à l'hôpital, elle est très malade. Il faut que vous veniez immédiatement."
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Si la mort ressemble un peu à ce qu'on a été durant sa vie, elle en diffère également. Nous n'avons déjà plus de corps, mais quels sont les autres changements ? Qui devient-on quand on est mort ? Arrive-t-on dans un monde semblable au nôtre, dans lequel on croiserait d'autres gens ? Ces questions me semblent encore largement inaccessibles.
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Cher Etat français, soyez rassuré, Juan ne vous coûtera plus rien. Il n'était pour vous qu'un numéro de dossier ; il était pour moi un être humain en souffrance, si seul, qui avait avant tout besoin qu'on prenne soin de lui. Et vous l'avez abandonné.
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