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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-06-18T20:38:20+02:00

— Devenir adulte, ça n’existe pas. C’est un état d’esprit, dit-elle en se penchant en avant. Personne n’atteint un âge magique et se dit « Oh mon Dieu, je suis tellement adulte ! Impossible d’être plus adulte que ça. »

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-06-17T20:38:59+02:00

— Dis à ta nana qu’elle se trompe. Elle vient juste de m’accuser de bouder.

Joe se rapprocha.

— Les hommes ne boudent pas.

— Oh, vraiment ?

La jolie petite brunette plissa les yeux. Ce n’était pas mon style de fille mais mon frère et elle étaient heureux. Malgré des débuts houleux, auxquels je n’étais peut-être malheureusement pas étranger. C’était une longue histoire. Alex s’éclaircit la voix et se redressa sur son tabouret.

— Et pourtant, ton frère boude depuis mon arrivée il y a une heure. Explique-moi ça.

— Tu te trompes, répondit Joe en haussant les épaules.

— Et en quoi ?

Mon frère croisa ses bras musclés contre son torse et poussa un profond soupir.

— C’est comme ça, c’est tout, Madame Bonheur. On ne boude pas… On rumine.

— Exactement, renchéris-je.

— Ne serait-ce que suggérer que nous boudons est un affront à notre virilité.

— Ouais, acquiesçai-je. Voilà.

— Tout le monde sait que ruminer est très viril.

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Extrait ajouté par stinejum 2019-03-18T14:03:19+01:00

"La vie, c'est comme retirer le soutif d'une femme. On ne sait jamais ce qu'on va découvrir, mais quoi qu'il en soit, c'est toujours génial."

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-06-21T01:12:49+02:00

— Tu comptes me donner une réponse ? demandai-je sans trop d’inquiétude.

Bon, pour être honnête, j’étais nerveux comme tout.

— Je l’ai ! s’exclama-t-elle en montrant la bague d’un air triomphant. Regardez-la, elle est magnifique ! Je l’adore.

— C’est un oui ? Jean ?

Elle marqua une pause, la bague déjà au doigt et le regard débordant d’émotion.

— Évidemment que je vais t’épouser.

Le sourire sur mon visage était démesuré.

— Vraiment ?

Elle bondit de sa chaise et se jeta dans mes bras.

— Oui, oui, oui.

— O.K. Tant mieux. (Une vague de soulagement me submergea.) Ouf !

— Je t’aime, Eric.

— Je t’aime aussi, ma belle.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-06-16T15:31:16+02:00

Ah oui, c'est vrai. Toujours enceinte.

Mais qu'est-ce que je foutais ici ? Hormis me ridiculiser, je veux dire. C'était la faute de Jean. Quelque chose en elle me troublait. J'étais tendu, ma gorge serrée était sèche. J'avais besoin de prendre l'air, et vite.

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Extrait ajouté par bourguip 2019-03-03T16:58:22+01:00

[...] Ada avait décidé de faire du zèle et commençait déjà à faire ses dents. Elle se rattrapais peut-être pour avoir tardé à sourire. Je lui avait pourtant bien expliqué que d'après les bouquins elle avait encore plusieurs mois devant elle mais cette petite n'écoutait ni la science ni la logique.

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Extrait ajouté par Infinity-write 2018-12-22T20:15:09+01:00

" La vie, c'est comme retirer le soutif d'une femme. On ne sait jamais ce qu'on va découvrir, mais quoi qu'il en soit, c'est toujours génial "

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-06-21T01:03:03+02:00

— Ce n’est pas juste de vous liguer ainsi contre elle.

Mon frère, Vaughan, Nell, Rosie et Taka formaient un cercle autour de nous. Je ne sais pas s’ils avaient répété mais ce n’était vraiment pas cool. On aurait dit une bande incontrôlable d’affectueux idiots.

— Tout va bien, Eric, dit Jean en me prenant la main. J’avais besoin d’entendre ça. J’en ai envie.

— Cet imbécile croit que tu es une espèce de princesse fragile qu’il doit protéger. Et il ne veut pas te forcer la main en t’avouant qu’une partie de lui en crèvera si on vend le bar à ces hommes d’affaires sans âme. Mais moi, je sais que tu n’es pas si fragile, ajouta Nell en souriant tendrement. Tu es solide. Sinon, tu n’aurais jamais emménagé ici toute seule. Je sais que tout n’a pas toujours été rose mais tu es heureuse ici, non ? Réfléchis-y, Jean. S’il te plaît. C’est peut-être égoïste de notre part mais on ne veut pas vous perdre, ni toi ni lui.

Je lui serrai les doigts en observant attentivement son visage. Son regard passa alternativement de moi à chacun des membres du cercle que j’assassinerais si jamais ils lui avaient fait de la peine. J’aurais été bien incapable de dire à quoi elle pensait.

— Je ne te prends pas pour une princesse fragile, grommelai-je. Mais c’est vrai, je t’aime.

— Moi aussi je t’aime.

Mon cœur tambourina dans ma poitrine. Je me frottai le torse de la paume de ma main pour tenter de le calmer.

Elle m’adressa un doux sourire.

— J’aurais dû te le dire depuis longtemps mais je… J’avais trop peur pour m’engager dans quoi que ce soit. Toi, cette ville…

Je gardai le silence, dans l’expectative.

— J’avais surtout peur de te perdre. Que ça ne marche pas entre nous.

Je l’aidai à se relever et la serrai contre moi.

— Tu ne vas pas me perdre. Quelle que soit ta décision.

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Extrait ajouté par barzoi 2018-06-08T10:20:13+02:00

Dans mes bras, Ada commença à s’agiter ; elle donnait de petits coups de pied et suçotait ses poings.

— Qu’est-ce qui se passe, Ada ?

Ce qu’il y a de bien avec les bébés de cet âge, c’est qu’il n’y a en général que cinq choses qui les perturbent : une couche sale, le besoin de faire leur rot, la faim, l’ennui ou la fatigue. J’étais cependant incapable de dire de laquelle il s’agissait. J’installai Ada sur mon épaule et lui tapotai doucement le dos. Curieusement, elle cessa de pleurer.

— Maman, je dois te laisser. Je crois qu’Ada est prête pour sa sieste. (Elle se mordilla la lèvre.) O.K. (Une pause.) Non, ça me ferait plaisir que tu me rappelles. (Elle me lança un sourire un peu crispé.) À bientôt. Bisous.

— Ça va ? demandai-je sans cesser de bercer Ada.

— Je ne m’y attendais pas, répondit Jean en se dirigeant vers la cuisine pour prendre un verre d’eau. Nos rapports étaient si mauvais quand j’ai quitté la Floride que je ne pensais pas avoir un jour de leurs nouvelles.

— Ce serait dommage pour eux de laisser passer la chance d’avoir leurs merveilleuses fille et petite-fille dans leur vie.

Elle m’adressa un sourire reconnaissant.

— Merci.

Affalée sur mon épaule, Ada s’immobilisa soudain.

— C’est la vérité. Tu veux que je la mette dans son berceau ?

— Oui, s’il te plaît. La magie d’Eric a encore opéré.

— Je peux endormir n’importe qui avec ma conversation, répondis-je modestement. C’est l’un de mes nombreux talents.

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Extrait ajouté par barzoi 2018-06-08T10:19:17+02:00

— Tu l’as vraiment dans la peau, hein ? lança Joe derrière son épaule en jetant un regard à Jean.

— Quoi ? éructai-je en renversant de la crème sur le comptoir. (Un petit coup de torchon et hop !) Qu’est-ce que tu racontes ?

— Tu as conscience qu’Andre s’effacerait si tu lui disais simplement que tu as des sentiments pour elle ? répondit mon frère en se grattant la barbe. Enfin si c’est le cas. Ça l’est ?

J’éclatai d’un rire sans joie.

— Tu m’as déjà vu avoir des sentiments pour une nana ?

— Pas faux, dit-il en se penchant vers moi. Alors pourquoi tu as l’air si malheureux ?

— Parce que apparemment mon grand frère est devenu la plus grande commère de la ville. Ça me déprime.

— Va te faire foutre. Je suis sérieux.

— Moi aussi.

Il me jeta un regard noir.

— Tu es vraiment imbuvable quand tu ne baises pas, tu le sais ?

— Ne parle pas d’elle comme ça ! grondai-je.

— Je ne parlais même pas d’elle. Je parlais de toi en général, espèce d’andouille.

Je l’ignorai et continuai à travailler. Crème liquide, cognac, crème de cacao et une pincée de noix de muscade sur le dessus. Parfait. Oh merde, Rosie en avait commandé deux. J’attrapai un nouveau verre à cocktail.

— L’abstinence ne te réussit pas, s’entêta-t-il. Ça fait un bail que je ne t’ai pas vu quitter le bar avec une nana. Ces jours-ci, tu passes tout ton temps libre avec Jean et le bébé.

— J’aime passer du temps avec elle. Pourquoi tu ne t’occuperais pas de tes oignons ?

— D’ailleurs, maintenant que j’y pense, ça fait un moment que tu te comportes bizarrement. (Le petit fouineur s’empara d’un cure-dent qu’il coinça entre ses lèvres.) Au début, je pensais que c’était juste parce que Nell te rendait marteau mais maintenant… Il y a vraiment un truc qui cloche et je pense savoir ce que c’est.

— Oh, dis-le-moi, je t’en supplie. Éclaire-moi de ta sagesse, petite commère.

— Tu es amoureux.

Je le dévisageai, bouche bée.

— Ça se lit sur ton visage. Chaque fois que tu la regardes. Je suis même étonné que tu ne te mettes pas à baver comme Ada.

— Qu’est-ce que vous complotez, tous les deux ? demanda Alex en passant les bras autour de la taille de Joe. Vous en faites une tête, les garçons ! Et l’esprit de Noël, alors ?

— Ho ho ho ! lança-t-il en lui pinçant les fesses.

— Je préfère ça.

Sa petite amie, légèrement pompette, sourit. Puis ils commencèrent à se rouler des patins et… oh mon Dieu, je n’avais pas envie d’assister à ça. Ce n’était vraiment pas professionnel.

Mais bon, ils étaient amoureux. Je ne pouvais pas leur en vouloir d’être gnangnans et tactiles. Jean et moi n’étions pas du tout comme ça. En parlant de Jean, je lui jetai malgré moi un nouveau coup d’œil et croisai son regard. Un petit sourire amical et je retournai à mes activités. Circulez, il n’y a rien à voir.

— Tu racontes n’importe quoi. Le sujet est clos, Joe.

Il se lécha les lèvres et retint un gloussement. Connard.

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