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Extrait ajouté par anonyme 2014-08-23T20:23:51+02:00

Cinquante pour cent de la bravoure consiste à surmonter l’appréhension. La première fois que j’ai dû sauter d’un train en marche, ça m’a paru la chose la plus difficile que j’aie jamais eu à faire. Maintenant, ça ne me fait plus rien, parce que j’ai accompli en quelques semaines plus de choses difficiles que la plupart des gens en toute une vie.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-08-22T22:10:13+02:00

— Désolée, je suis trop directe ? reprend-elle. C’est une habitude, chez nous. Ma mère disait toujours que la politesse, ce n’est que de la fausseté dans un paquet cadeau.

— C’est sans doute pour ça que nos factions ont aussi peu de relations entre elles, remarqué-je avec un rire bref. Bon, les Sincères et les Altruistes ne se détestent pas autant que les Érudits et les Altruistes, mais ce n’est pas le grand amour. Cela dit, le vrai problème des Sincères, c’est surtout les Fraternels, non ? Ils leur reprochent assez de préférer mentir pour arrondir les angles plutôt que de mettre en péril leur sacro-sainte paix.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-08-22T21:53:34+02:00

— Comment tu t’appelles ? lui demande-t-il à mi-voix.

— Christina, bredouille-t-elle.

— Eh bien, Christina, si j’avais voulu me cogner les remarques de petits malins des Sincères, j’aurais choisi leur faction, siffle-t-il. Ta première leçon, ça va être d’apprendre à la fermer. Pigé ?

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Extrait ajouté par wizbiz06 2014-08-20T17:18:47+02:00

Il ferme la porte der rière nous et en lève ses chaus sures.

— Tu veux un verre d’eau ? me pro pose-t-il.

— Non, merci.

— Ça va ? me de mande-t-il en me ca res sant la joue.

Il glisse une main der rière ma tête, en fouis sant ses longs doigts dans mes che veux. Il sou rit et m’em brasse. Une vague de cha leur en va hit len te ment tout mon corps. Ainsi que la peur, comme une alarme dans ma poi trine.

Tout en m’em bras sant, il fait glis ser mon blou son qui tombe par terre avec un bruit sourd. Je tres saille et je re pousse To bias, les yeux brû lants. Je ne sais pas pour quoi je ré agis ainsi. Je n’ai pas res senti ça quand il m’a em bras sée dans le train. Je cache mon vi sage dans mes mains.

— Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ?

Je se coue la tête.

— Ne me dis pas qu’il n’y a rien, re prend-il.

Il m’at trape le bras.

— Hé. Re garde-moi.

Je re tire mes mains et lève les yeux sur lui. Je ne m’at ten dais pas au mé lange de peine et de co lère que tra hissent son re gard et sa mâ choire cris pée.

Je ré ponds, le plus cal me ment pos sible :

— Quel que fois, je me de mande… où est ton in té rêt là-de dans. Dans ce… ce truc entre nous.

— Mon in té rêt, ré pète-t-il froi de ment.

Il re cule en se couant la tête d’un air in cré dule.

— T’es vrai ment une idiote, Tris.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2014-08-20T17:18:32+02:00

Quatre nous en traîne hors de la ca fé té ria puis sur les che mins qui longent la Fosse. Will marche à ma gauche, Chris tina à ma droite.

— Je ne me suis ja mais vrai ment ex cu sée, me dit-elle sou dain. D’avoir pris le dra peau alors qu’il te re ve nait. Je ne com prends pas ce qui m’a pris.

Je ne sais pas si j’ai rai son de lui par don ner – de leur par don ner, après ce qu’ils m’ont dit quand le clas se ment a été dif fusé. Mais ma mère m’ex pli que rait que les gens ne sont pas par faits et qu’il faut sa voir faire preuve d’in dul gence. Et Quatre m’a conseillé de m’ap puyer sur mes amis.

Je ne sais pas à qui me fier, ni qui sont mes vrais amis. Uriah et Mar lene qui m’ont sou te nue même quand je pa rais sais forte, ou Chris tina et Will qui m’ont tou jours pro té gée quand je pa rais sais faible ?

Les grands yeux bruns de Chris tina croisent les miens, et je hoche la tête en signe de com pré hen sion.

— Ou blie ça, dis-je.

J’éprouve tou jours de la co lère, mais je ne veux pas l’ali men ter.

On grimpe, plus haut qu’on ne l’a ja mais fait, jus qu’à ce que Will blê misse dès qu’il re garde en bas. Je lui prends le bras comme si j’avais be soin de me tenir, alors qu’en réa lité, c’est moi qui le sou tiens. Il me re mer cie d’un sou rire.

Quatre se re tourne et fait quelques pas à re cu lons ; sur un che min étroit et sans garde-fou. J’es père pour lui qu’il le connaît par cœur.

Il re père Drew, à la traîne dans les der niers, et lui lance :

— Drew, on suit le rythme !

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Extrait ajouté par laciteperdue 2014-08-19T13:00:04+02:00

La simulation mesure ton niveau de peur, chuchoté-je. Si tu arrives à ralentir ton rythme cardiaque, on passera à la simulation suivante. Essaie d’oublier qu’on est là.

Je ne fais que répéter ce qu’il nous a dit, mais ça l’aidera peut-être de l’entendre.

— Ah ouais ? Aussi simple que ça, hein ?

Je sens ses lèvres bouger contre mon oreille tandis qu’il parle et une sensation de chaleur m’envahit.

— Tu sais que la plupart des garçons se réjouiraient d’être enfermés avec une fille dans un endroit aussi restreint ?

Crétine. Je lève les yeux au ciel.

— Sauf les claustrophobes, Tris.

Il a vraiment l’air sur le point de craquer.

— D’accord, d’accord.

Je pose une main sur la sienne et je la guide jusqu’à mon cœur.

— Tu sens mon cœur qui bat ?

— Oui.

— Tu sens comme il est régulier ?

— Il est rapide.

— Ouais. Peut-être, mais ça n’a aucun rapport avec la boîte.

Je m’en mords les doigts avant d’avoir achevé ma phrase. Je viens d’avouer un truc. Espérons qu’il n’a pas relevé.

— Voilà ce qu’on va faire : chaque fois que tu me sens respirer, tu respires. Concentre-toi là-dessus.

— OK.

Je respire profondément et sa poitrine se soulève et s’abaisse en rythme. Au bout de quelques secondes, je lui suggère calmement :

— Et si tu me racontais d’où vient cette peur ? En parler, ça peut parfois aider à… débloquer les choses.

Je ne vois pas bien comment, mais ça paraît logique.

Il continue à respirer en rythme avec moi.

— Heu… OK. Celle-là, ça vient de mon enfance de rêve. Punitions. Le cagibi sur le palier.

Je serre les lèvres. Je repense à mes punitions : envoyée dans ma chambre sans manger, privée de ceci ou de cela, grondée. Mais jamais on ne m’aurait enfermée. C’est de la cruauté. J’en ai physiquement mal pour lui. Comme je ne sais pas quoi dire, j’essaie de rester sur le mode décontracté.

— Chez nous, ma mère rangeait nos manteaux d’hiver dans le cagibi, dis-je.

— Je n’ai… (Il avale une goulée d’air.) Je préfèrerais parler d’autre chose.

— D’accord. Alors… à mon tour. Demande-moi un truc.

— OK.

Il rit près de mon oreille, d’une voix mal assurée.

— Pourquoi ton cœur bat aussi vite, Tris ?

Je me maudis et je cherche une excuse qui n’ait rien à voir avec ses bras autour de moi.

— Ben, je te connais à peine…

Très insuffisant.

— Je te connais à peine et je me retrouve collée à toi dans une boîte. Qu’est-ce que tu crois ?

— Si on était dans ton paysage des peurs, je serais dedans ?

— Je n’ai pas peur de toi.

— Non, ça, c’est sûr. Ce n’était pas ma question.

Il rit de nouveau, et soudain, les murs s’écartent avec un craquement et s’écroulent, nous laissant au milieu d’un cercle de lumière. Quatre soupire et desserre son étreinte. Je me lève tant bien que mal et frotte mes vêtements, chassant une poussière fantôme. J’ai froid, tout à coup, de ne plus être collée contre lui.

Il se tient devant moi avec un sourire jusqu’aux oreilles, et je ne suis pas sûre d’aimer son air.

— T’aurais peut-être eu ta place chez les Sincères, parce que tu mens super mal, se moque-t-il.

— Je crois que mon test d’aptitudes a clairement exclu cette option

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Extrait ajouté par Anahita10 2014-08-16T11:54:15+02:00

Je passe une jambe au-dessus des siennes pour m'asseoir à califourchon sur lui, et je l'embrasse, le coeur battant à tout rompre. Il se redresse et pose les mains sur mes épaules. Ses doigts descendent le long de mon dos, et un frisson les suit jusqu'au creux de mes reins. Il ouvre le fermeture Éclair de mon blouson de quelques centimètres et je dois poser les mains sur mes jambes pour les empêcher de trembler. Je ne devrais pas me sentir aussi nerveuse; c'est Tobias.

Un courant d'air froid passe sur ma peau nue. Il se recule pour observer avec attention mes tatouages juste au-dessus de ma clavicule. Il les effleure du bout des doigts et sourit.

_ Des oiseaux, dit-il. Ce sont de corbeaux ? J'oublie toujours de te poser la question.

J'essaie de sourire à mon tour.

_ Des choucas. Un pour chaque membre de ma famille. Ça te plaît ?

Au lieu de répondre, il m'attire à lui et embrasse les choucas l"un après l'autre. Je ferme les yeux. La pression de ses lèvres est sensible, légère. Une sensation chaude et lourde comme une coulée de miel envahit mon corps et ralentit mes pensées

Il me touche la joue.

_ À mon grand regret, il va falloir qu'on bouge

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Extrait ajouté par virfree 2014-08-06T21:27:49+02:00

- Tu penses que ma première impulsion est de te protéger. Parce que tu es petite, ou une fille, ou une Pète-sec. Mais ce n'est pas ça du tout.

Il relève ses yeux sombres vers les miens.

- Ma première impulsion est de te pousser à bout jusqu'à ce que ça casse, pour voir jusqu'où tu peux aller.

Il a claqué des doigts en prononçant le mot "casse" et la tension dans sa voix me met les nerfs à vif, au point que j'en oublie de respirer.

- Sauf que je n'y cède pas

J'avale ma salive.

- Pourquoi ... pourquoi c'est ta première impulsion ?

Il approche son visage du mien et prend mon menton entre ses doigts. Son contact m'envoie une légère décharge électrique. Sa main a une odeur métallique. A quand remonte la dernière fois où il a tenu un pistolet ou un couteau ?

- La peur ne te fait pas reculer, poursuit-il; elle t'aiguillonne. Ça ce voit. C'est fascinant.

Il me lâche mais ne s'écarte pas. Sa main glisse sur ma mâchoire, dans mon cou.

- Et quelquefois, j'ai envie de revoir ces moments-là. Ceux où tu t'enflammes.

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Extrait ajouté par Kiiwako 2014-08-02T20:15:30+02:00

Je cligne des paupières et je revois le haut de son crâne tandis qu'il me porte sur son dos jusqu'à la cafétéria. Je sens le rebond de ses pas. Il est grand, doux et maladroit. Il était. C'est ça, la mort: le passage du présent au passé.

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Extrait ajouté par Kiiwako 2014-08-02T20:11:00+02:00

J'avance de quelques centimètres. Cette femme est donc celle qui tire les ficelles, c'est à elle qu'Eric doit sa position de leader ; c'est elle qui veut me voir morte. Je me penche pour l'apercevoir avant qu'ils tournent à l'angle du couloir.

Quelqu'un me saisit par derrière.

Je veux crier mais une main se plaque sur ma bouche. Elle sent le savon, et elle est assez grande pour me couvrir la moitié du visage. Je me débats, mais les bras me maintiennent avec force. Je mords un des doigts.

— Aïe ! lâche une voix âpre.

— La ferme, et garde la main sur sa bouche !

Cette voix-ci est aiguë et plus claire. Peter.

Un bandeau noir m'aveugle et une troisième paire de mains l'attache derrière ma tête. On me pousse en avant. J'ai du mal à respirer. Ils sont trois. La peur m'oppresse la poitrine. Je ne peux pas me battre seule contre trois.

— Je me demande de quoi ça a l'air, une Pète-sec qui supplie, ricane Peter. Allez, on se grouille.

J'essaie de me concentrer sur la main plaquée sur ma bouche. Je dois pouvoir en tirer un indice pour identifier la personne. Ça me donne un problème à résoudre. Et j'ai besoin d'un problème à résoudre tout de suite, ou je vais paniquer.

Sa main est chaude et moite. Je respire par le nez, la mâchoire crispée. Je connais cette odeur de savon. Sauge et citronnelle. C'est l'odeur qui flotte autour du lit d'Al. Un poids de plomb s'abat sur mon estomac.

J'entends le fracas de l'eau qui s'écrase sur les rochers. On est près du gouffre – juste au-dessus, vu la puissance du bruit. Je serre les lèvres pour ne pas hurler. Si on est bien là où je crois, je sais ce qu'ils veulent me faire.

— Allez, soulève-la.

Je me débats en criant. Pourtant, je sais que ça ne sert à rien, que je ne pourrai pas me libérer et que d'ici, personne ne m'entendra.

Je survivrai jusqu'à demain. Je survivrai.

Les mains me bousculent, me hissent, et mon dos heurte quelque chose de dur et de froid.

À en juger par sa largeur et sa courbure, c'est une barrière métallique. C'est LA barrière, celle qui surplombe le gouffre. Je respire en sifflant et l'écume du torrent me frôle la nuque. Les mains me forcent à m'arc-bouter contre le rail. Mes pieds ne touchent plus le sol, et seuls mes agresseurs me retiennent encore de basculer dans le vide.

Une main me pelote lourdement la poitrine.

— T'es sûre que t'as seize ans, Pète-sec ? On dirait que t'en n'as que douze.

L'un des deux autres se marre.

J'ai un goût de bile dans la bouche ; j'avale ma salive.

— Attendez ! Je crois que j'ai quand même trouvé quelque chose ! reprend la première voix.

Nouveaux rires. Je me mords la langue pour ne pas crier. La main m'écrase, maintenant.

Soudain Al me lâche, libérant ma bouche.

— Arrête ça, aboie-t-il.

Je reconnais sa voix grave, bien identifiable.

Aussitôt, je recommence à me débattre et me laisse glisser par terre. Cette fois, je mords violemment le premier bras que je trouve et j'entends un cri de douleur. J'enfonce mes dents et le goût du sang envahit ma bouche. Un objet dur me frappe au visage et un éclair incandescent explose dans ma tête. Ce serait de la douleur si l'adrénaline ne me courait pas dans les veines comme de l'acide.

Celui que j'ai mordu libère son bras et me jette par terre. Mon coude heurte la pierre. Je porte les mains à mon visage pour retirer le bandeau. Un coup de pied me percute les côtes, expulsant l'air de mes poumons. Je suffoque, je tousse en cherchant à tâtons le nœud du bandeau. Quelqu'un me saisit par les cheveux et me claque la tête contre une surface dure.

Prise d'un vertige, je pousse un cri de douleur.

Alors, mes doigts tremblants glissent le long du bandeau, et je réussis finalement à le soulever. Je cligne des paupières. Tout est de travers et la scène oscille devant mes yeux.

J'entends des pas qui se précipitent vers nous et d'autres, lourds, qui s'éloignent. Ceux d'Al.

Je me relève en m'agrippant à la barrière.

Peter me soulève par-dessus la rambarde, une main sur ma gorge, le pouce enfoncé sous mon menton. Ses cheveux d'ordinaire lisses et brillants sont emmêlés et collés à son front.

Son visage est blême et tendu, sa mâchoire contractée. Il me maintient suspendue au-dessus du gouffre. Des points noirs surgissent dans mon champ de vision, puis des points verts, bleus, roses, qui dansent sur sa figure. Il ne dit rien. J'essaie de lui donner des coups de pied mais mes jambes sont trop courtes. Je n'ai plus d'air.

J'entends un cri, et il me lâche.

Je tombe, les bras loin devant moi, et mes aisselles heurtent la barrière. Avec un gémissement, je replie les coudes dessus pour m'y accrocher. De l'écume jaillit sur mes chevilles. Le monde tangue et bascule autour de moi. Par terre, quelqu'un hurle de douleur ; c'est Drew. Il y a des coups de poing, des coups de pied. Des gémissements.

Je cligne plusieurs fois des paupières en essayant de me concentrer sur le seul visage que je vois. Il est déformé par la colère, mais il est toujours beau, et ses yeux toujours pensifs.

Je croasse:

— Quatre.

Je ferme les yeux.

Ses mains me hissent au-dessus de la rambarde. Il m'appuie contre lui, glisse un bras autour de mes épaules et l'autre sous mes genoux. Je laisse aller ma tête sur sa poitrine, et c'est le silence.

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