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Extrait ajouté par kats-at 2012-09-13T01:44:34+02:00

« Je décide de garder le T-shirt pour me rappeler pourquoi j'ai choisi les Audacieux. Non pas parce qu'ils sont parfaits. Parce qu'ils sont vivants. Parce qu'ils sont libres.»

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Comme un animal sauvage, la vérité est trop puissante pour rester en cage.

Tiré du manifeste des Sincères.

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"Ma bien chère fille. Je suis sa famille. Je suis permanente. Tu n'es que temporaire."

"Avant de choisir les Intrépides... j'étais certaine de ma longue durée de vie si ce n'est d'autre chose. Désormais, il n'y a plus aucune garantie si ce n'est celle que je peux choisir où je vais."

"Il m'embrasse de nouveau, plus insistant cette fois, ses mains serrant ma taille. Son souffle, son corps, mon corps, nous sommes si proches qu'il n'y a pas de différence."

"Est-ce que tu viens de m'appeler Beatrice ?"

"Tu as l'air plus vieux." "Oui, eh bien, le passage du temps tend à avoir cette effet sur une personne."

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Extrait ajouté par isane3 2012-11-24T15:39:05+01:00

- Tobias, lancé-je dans un souffle.

Le traître Audacieux qui tient le pistolet pousse Tobias vers moi. Peter, à son tour, essaie de me faire avancer, mais mes pieds restent plantés dans le sol. Si je suis là, c'était pour que personne n'ait à mourir. Pour protéger le plus de gens possible. Et à mes yeux, la vie de Tobias compte plus que celle de n'importe qui. Mais pourquoi suis-je ici, s'il y est aussi ? Quel sens cela a-t-il ?

- Qu'est-ce que tu as fait ? bredouillé-je.

Il n'est plus qu'à quelques pas de moi, mais encore trop loin pour m'entendre. Au moment où il me croise, il tend la main, la referme sur la mienne et la serre. Puis la relâche. Son visage est blême, ses yeux injectés de sang.

- Qu'est-ce que tu as fait ?

Cette fois, la question est sortie de ma gorge comme un grondement.

Je me jette vers lui en me débattant contre la poigne brutale de Peter.

- Qu'est-ce que tu as fait ? crié-je.

- Si tu meurs, je meurs aussi, me lance-t-il par-dessus son épaule. Je t'avais demandé de ne pas le faire. Tu as pris ta décision. Voilà les conséquences.

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Extrait ajouté par Mxllx 2012-07-09T13:51:22+02:00

Je m'éveille avec son nom à la bouche.

Will.

Les yeux fermés, je le revois qui s'affale sur le trottoir. Mort.

De ma main.

Tobias s'accroupit devant moi, une main sur mon épaule gauche. Le wagon tressaute sur les rails. Marcus, Peter et Caleb sont debout devant la portière ouverte. Je gonfle mes poumons et je bloque ma respiration dans l'espoir de soulager un peu le poids qui m'opresse la poitrine.

Il y a encore une heure, rien de ce qui est arrivé ne me semblait réel. Maintenant, si.

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"Il m'effleure la joue et, sans se soucier qu'on soit au milieu d'une pièce remplie de monde, peuplée de rires et de conversations, il m'embrasse lentement.

-Hé là, Tobias, l'apostrophe mon voisin de gauche. Tu n'as pas grandi chez les Pète-sec? Je croyais que le geste le lus osé, chez vous, c'était... De vous tenir la main, ce genre là.

-Dans ce cas, tu peux m'expliquer l'existence des enfants Altruistes? lui demande Tobias en levant les sourcils.

-Ils sont créés par la pure force de la volonté, lance la femme assise sur l'accoudoir du fauteuil. Tu ne savais pas ça, Tobias?

-Toutes mes excuses, je l'ignorais, réplique Tobias avec un grand sourire."

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Extrait ajouté par isane3 2012-11-24T15:46:18+01:00

- ... Dans ma famille, il n'y a que des morts ou des traîtres. Comment est-ce que je vais pouvoir...

Je n'arrive pas à formuler une pensée cohérente. Les sanglots envahissent ma tête et mon corps. Il me prend dans ses bras et l'eau du bain me mouille les jambes. Il me serre fort. J'écoute son coeur qui bat et, au bout d'un moment, ce rythme régulier parvient à me calmer.

- Je serai ta famille, me murmure-t-il.

- Je t'aime.

Je l'ai dit une fois, avant de me rendre au siège des Erudits, mais il dormait, alors. Je ne sais pas pourquoi je ne le lui ai jamais dit à un moment où il pouvait l'entendre. J'avais peut-être peur de lui confier une chose aussi personnelle que mon attachement. Ou de ne pas savoir ce que c'était que d'aimer quelqu'un. Maintenant, je crois que le plus effrayant est d'avoir failli ne pas le dire avant qu'il ne soit trop tard. Avant qu'il ne soit trop tard pour moi.

Je lui appartiens et il m'appartient, et c'est comme ça depuis le début.

Il me dévisage. J'attends sa réponse en m'agrippant à ses mains pour me soutenir.

Il fronce les sourcils.

- Répète-moi ça.

- Je t'aime, Tobias.

Sa peau mouillée glisse et il sent la sueur ; le tissu de ma chemise adhère à ses bras quand il les replie autour de moi. Il enfouit le visage dans mon cou et m'embrasse juste au-dessus de la clavicule, puis sur la joue, puis sur la bouche.

- Moi aussi, je t'aime.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-12-28T11:30:22+01:00

Mais je ne regarde que Tobias. Une lueur d'espoir me parcourt, se mêlant à une drôle de sensation douloureuse à la culpabilité de l'avoir trompé. Il est buté et fier, mais il me connaît -- peut-être acceptera-t-il de m'écouter, peut-être y a-t-il une chance pour que je n'aie pas fait tout ça en vain ...

- Tu sais pourquoi je suis là, n'est-ce-pas ? lui dis-je à voix basse.

Je lui tends le pistolet, le sang de ma morsure à la main dégoulinant le long de mon bras. Il s'approche d'un pas un peu hésitant pour me le prendre.

- On est tombés sur Marcus dans la pièce d'en face, pris dans une simulation, lâche-t-il. Tu es venue avec lui.

- Oui, confirmé-je.

- J'avais confiance en toi, dit-il, tremblant de rage. J'avais confiance en toi et tu m'as abandonné pour faire équipe avec lui ?

Je secoue la tête.

- Non. Ce qu'il m'a expliqué colle parfaitement avec tout ce que m'a rapporté mon frère, et tout ce que m'a répété Jeanine pendant que j'étais au siège des Erudits. Et je voulais ... j'avais besoin de connaître la vérité.

- La vérité, ricane-t-il. Et tu espères l'apprendre en écoutant un menteur, un traître et un sociopathe ?

- La vérité ? intervient Tori. De quoi parles-tu ?

Tobias et moi continuons à nous dévisager. Ses yeux bleus, d'habitude si pensifs, sont durs et incisifs, comme s'ils m'épluchaient couche après couche en fouillant chacune d'elles.

- Je crois ... commencé-je.

Je dois m'interrompre pour prendre une inspiration. Je ne l'ai pas convaincu. J'ai échoué, et ma prochaine phrase est sans doute la dernière qu'ils me laisseront dire avant de m'arrêter.

- Je crois que c'est toi qui mens, dis-je d'une voix tremblante. Tu prétends que tu m'aimes, que tu me fais confiance, tu soutiens que je suis plus perspicace que la moyenne des gens, et à la seconde où cette confiance, où cet amour sont mis à l'épreuve, tout ça part en fumée.

Je pleure, maintenant, mais je n'ai pas honte de ma voix pâteuse ni des larmes qui luisent sur mes joues.

- Alors Tobias, c'est toi qui devais mentir en me disant tout ça ... C'est toi, parce que je ne peux pas croire que ce prétendu amour puisse être aussi fragile.

Je fais un pas pour ne plus laisser entre nous que quelques centimètres et pour que les autres ne puissent plus m'entendre.

- Je suis toujours celle qui aurait préféré mourir plutôt que te tuer, ajouté-je en repensant à la simulation d'attaque, et à son coeur qui battait sous ma main. Je suis exactement celle que tu crois. Et je sais que cette information va tout changer. Elle va changer tout ce qu'on a fait et tout ce qu'on s'apprête à faire.

Je le fixe intensément comme si je pouvais faire passer ma conviction dans ce regard, mais c'est impossible. Il détourne les yeux et je ne suis même pas sûre qu'il ait entendu ce que je viens de dire.

- Ça suffit ! intervient Tori. Conduisez-la en bas. Elle sera jugée avec les autres criminels de guerre.

Tobias ne bouge pas. Me prenant par le bras, Uriah m'éloigne de lui et m'entraîne à travers le labo, puis dans la pièce pleine de lumière et le long du couloir bleu. Therese la sans-faction se joint à nous et me dévisage avec curiosité.

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Extrait ajouté par rosianati 2012-11-28T17:39:16+01:00

-Je t'aime Tris.

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"Je regrette... Will. Je lui ai tiré dessus. Il était sous la simulation. Je l'ai tué. Mon ami"

Will avec le pli entre ses sourcils, avec des yeux verts comme un céleri et l'habileté de citer les manifestas des Altruistes par cœur. Je sens une douleur dans mon estomac tellement intense que j'en gémis presque. Ça fait mal de me souvenir de lui. Ça me fait mal partout.

Et il y a quelque chose, quelque chose de pire que je n’ai pas réalisé avant. Je voulais mourir plutôt que de tuer Tobias, mais je n'y ai jamais pensé quand il j’agissais de Will. J'ai décidé de le tuer durant une fraction de seconde.

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