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Extrait ajouté par Talou61 2022-05-08T17:47:25+02:00

Regarder un Erudit en train de réfléchir, c'est comme observer le mécanisme d'une montre, tous les rouages qui tournent, bougent, s'ajustent, s'associent pour remplir une tâche donnée, qui, dans le cas présent, consiste pour Caleb à trouver un sens à sa fin imminente.

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Extrait ajouté par Talou61 2022-05-08T17:44:53+02:00

Un attroupement de sans-faction s'est déjà formé dehors, au milieu de Michigan Avenue. Une couche de nuages pâles masque le soleil, diffusant une lumière terne et voilée de brume. J'entends quelqu'un crier : "Mort aux factions !". D'autres reprennent le slogan, en font une litanie qui m'emplit les oreilles. "Mort aux factions ! Mort aux factions !" Ils dressent le poing vers le ciel comme des Audacieux excités - mais sans la joie des Audacieux. Leurs visages sont déformés par la rage.

Je me fraye un chemin vers eux pour découvrir ce autour de quoi ils sont rassemblés : les coupes de la cérémonie du Choix ont été renversées et leur contenu s'est vidé sur la chaussée, un mélange de charbon, de verre, de pierre et d'eau.

Je revois le moment où je me suis entaillé la paume pour faire couler mon sang sur les charbons : mon premier geste de défi envers mon père. Je me rappelle le sentiment de pouvoir que ce geste m'a procuré. La vague de soulagement. La Libération. Ces coupes sont le symbole de ma libération.

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Extrait ajouté par Kiwi_2 2022-01-10T06:43:47+01:00

Ses paroles résonnent dans ma tête tandis que j'arpente ma cellule au siège des érudits : « Je m'appelle désormais Edith Prior. Et il y a beaucoup de choses que je serai heureuse d'oublier. »

— Et tu es sûre que tu ne l'as jamais vue ? même en photo ? me demande Christina.

Sa jambe blessée est posée sur un oreiller. Elle a reçu une balle lors du coup de force qui nous a permis de diffuser publiquement la vidéo d'Edith Prior. nous n'avions pas la moindre idée de ce qu'elle contenait, ni qu'elle allait saper les fondations sur lesquelles reposaient nos vies, à savoir les factions, nos identités.

— C'est peut-être une de tes grand-mères ? Une tante ? Un truc comme ça ?

— Puisque je te dis que non, répliqué-je. Prior est – était – le nom de mon père ; elle serait forcément de sa famille. mais à ma connaissance, c'était tous des érudits. Et Edith est un prénom altruiste. Alors...

— Alors ça doit être plus ancien que ça, suggère Cara.

À cet instant, c'est fou ce qu'elle ressemble à son frère.

Will, mon ami. Celui que j'ai tué. puis elle se redresse et le fantôme de Will s'évanouit.

— Il faut sûrement remonter à plusieurs générations. Ce serait une de tes ancêtres, quoi.

« Ancêtre ». le mot m'évoque quelque chose de décrépit, comme de la brique qui s'effrite. Je pose ma main sur le mur de la cellule. Il est froid et blanc.

Mon ancêtre... Et voilà l'héritage qu'elle m'a transmis :

La liberté de vivre en dehors des factions. la découverte que mon identité de Divergente est plus importante que je n'aurais jamais pu l'imaginer. le fait même que j'existe est un signal. nous devons quitter cette ville et aller offrir notre aide à ceux qui vivent à l'extérieur.

— Je veux savoir, reprend Cara en se passant la main sur le visage. J'ai besoin de savoir depuis combien de temps on est là ! Tu peux arrêter de tourner en rond une minute ?

Je m'immobilise au milieu de la cellule et je la regarde, un peu surprise par le ton de sa voix.

— Excuse-moi, marmonne-t-elle.

— C'est bon, intervient Christina. Je ne sais pas depuis quand on est enfermées ici, mais ça fait bien trop longtemps.

Il s'est écoulé plusieurs jours depuis qu'Evelyn a maîtrisé le chaos qui régnait dans le hall du siège des érudits et fait enfermer tous les prisonniers dans des cellules au deuxième étage. Une sans-faction est venue soigner nos blessures et nous distribuer des antalgiques, et on s'est nourries et douchées plusieurs fois. mais j'ai eu beau questionner nos gardiens, impossible de savoir ce qui se passe dehors.

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Extrait ajouté par Alyer 2021-05-03T16:52:31+02:00

Au moment où j'achève ma phrase, il (Tobias) m'embrasse.

Les doigts agrippés à son tee-shirt, je (Tris) lui rends son baiser, avec tant de fougue que c'en est presque douloureux. Je le pousse dans le couloir jusque dans une pièce proche du dortoir au mobilier spartiate. Je referme la porte d'un coup de talon.

Tout comme j'insiste sur sa valeur, il a toujours insisté sur ma force, sur le fait que j'ai plus de potentiel que je ne le crois. Et je sais d'instinct que c'est ce que fait l'amour vrai : il nous élève au-delà de ce qu'on est, au-delà de ce qu'on pensait pouvoir devenir.

C'est ce que le nôtre arrive à faire.

Ses doigts s'emmêlent dans mes cheveux. J'ai les mains qui tremblent, et tant pis s'il s'en aperçoit. Je me moque qu'il sache que l'intensité de ce que j'éprouve me fait peur. Je l'attire contre moi et je prononce son nom dans un soupir tout contre sa bouche.

J'ai oublié qu'il était un autre ; c'est comme s'il faisait partie de moi, de façon aussi vitale que mon cœur, mes yeux ou mes bras. Je lui retire son tee-shirt. Mes mains glissent sur sa peau nue comme si c'était la mienne.

Puis j'ôte le mien et soudain, je me rappelle. Je me rappelle que je suis petite, que je n'ai pas de poitrine et que ma peau est d'une blancheur maladive, et j'ai un mouvement de recul.

Il me regarde, non comme s'il attendait une explication mais comme si j'étais la seule chose dans cette pièce qui méritait d'être regardée.

Je le regarde aussi, mais tout ce que je vois aggrave ma gêne : il est si beau que les motifs tatoués sur sa peau font de lui une œuvre d'art. Il y a une minute, je nous trouvais parfaitement assortis, et c'est peut-être vrai ; mais seulement quand nous sommes habillés.

Il n'en continue pas moins de me regarder.

Et il me sourit, d'un petit sourire timide. Il me prend par la taille et m'attire à lui. Il se penche, embrasse ma peau entre ses doigts et murmure : "Tu es belle' sur mon ventre.

Et je le crois.

Il se redresse et presse ses lèvres sur les miennes, la bouche ouverte, les mains sur mes hanches, les pouces dans la ceinture de mon jean. Je caresse son torse, je m'appuie contre lui et je sens son soupir chanter dans tout mon corps.

- Tu sais que je t'aime, lui dis-je.

- Oui, je le sais.

Avec un petit haussement de sourcils, il se penche pour passer un bras sous mes jambes et me jette sur son épaule. Un rire fuse de ma bouche, dans lequel se mêlent la joie et la nervosité, et il me porte à travers la pièce pour aller me lâcher sans ménagement sur le canapé.

Il s'allonge à côté de moi et je suis des doigts la flamme tatouée sur ses côtes. Il est fort, et souple, et sûr de lui.

Et il est à moi.

Je colle ma bouche sur la sienne.

Avant, j'étais terrifiée à l'idée qu'on continue à se heurter encore et encore si on restait ensemble, et que ces chocs finissent par me briser. Maintenant, je sais que je suis une lame et lui la pierre sur laquelle je m'aiguise.

Je suis trop solide pour me briser aussi facilement, et je m'améliore et m'affûte un peu plus chaque fois que je le touche.

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Je suis tombée amoureuse de lui. Mais je ne reste pas avec lui par défaut, juste parce qu’il est là et qu’il n’y a personne d’autre. Je reste avec lui parce que je le choisis, chaque matin où je me réveille, chaque matin où on se dispute, où on se ment, où on se déçoit. Je le choisis chaque jour, et lui aussi me choisit.

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-Et toi, tu en es où avec Quatre ? me demande-t-elle d’un air malicieux. Vous vous êtes additionnés ?

J’enfouis mon visage dans mes mains avec un air désespéré.

-C’est la pire blague que j’aie jamais entendue.

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Extrait ajouté par J4u5 2021-02-06T14:47:44+01:00

Avant, j'étais terrifiée à l'idée qu'on continue à se heurter encore et encore si on restait ensemble, et que ces chocs finissent par le briser. Maintenant, je sais que je suis une lame et lui la pierre sur laquelle je m'aiguise.

Je suis trop solide pour me briser aussi facilement et je m'améliore et m'affûte un peu plus chaque fois que je le touche.

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Extrait ajouté par J4u5 2021-02-06T14:42:19+01:00

Il se redresse et presse ses lèvres sur les miennes, la bouche ouverte, les mains sur mes hanches, les pouces dans la ceinture de mon jean. Je caresse son torse, je m'appuie contre lui et je sens son soupir chanter dans tout mon corps.

- Tu sais que je t'aime lui dis-je.

- Oui, je le sais.

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Extrait ajouté par J4u5 2021-02-06T14:39:14+01:00

Il me regarde, non comme s'il attendait une explication mais comme si j'étais là seule chose qui méritait d'être regardée.

Je le regarde aussi, mais tout ce que je vois aggrave ma gêne : il est si beau que les motifs tatoués sur sa peau font de lui une œuvre d'art. Il y a une minute, je nous trouvais parfaitement assortis, et c'est peut être vrai ; mais seulement lorsque nous sommes habillés.

Il n'en continue pas moins de me regarder.

Et il me sourit, d'un petit sourire timide. Il me prend par la taille et m'attire à lui. Il se penche, embrasse ma peau entre ses doigts et murmure "Tu es belle" sur mon ventre.

Et je le crois.

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Extrait ajouté par J4u5 2021-02-06T14:32:32+01:00

J'ai oublié qu'il était un autre ; c'est comme s'il faisait partie de moi, de façon aussi vitale que mon coeur, mes yeux ou mes bras.

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