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"-Caleb, je t'aime.
Ses yeux brillent de larmes tandis qu'il me répond :
- Moi aussi, je t'aime, Beatrice."
Afficher en entierDepuis tout petit, je sais une chose: que la vie nous abîme, tous. On n'y échappe pas.
Mais je suis en train de découvrir une autre: qu'on peut se réparer. On se répare les uns les autres.
- Tobias - PAGE 461
Afficher en entierSPOILERS ! SPOILERS !
Tris.
- Je voulais juste te remercier, poursuit-il à voix basse. Une bande de scientifiques t'ont assuré que mes gènes étaient déficients, qu'il y avait un truc anormale chez moi, les résultats de tests à l'appui. Même moi, je commençais à les croire.
Son pouce effleure ma pommette et son regard accroche le mien, avec intensité et insistance.
- Mais toi, tu ne les as jamais crus. Pas une seconde. Tu as toujours soutenu que j'étais... je ne sais pas, complet.
Je pose une main sur la sienne.
- Parce que tu l'es.
- Personne ne m'a jamais dit ça avant toi, me répond-il doucement.
- Pourtant, tu mérites de l'entendre, dis-je d'un ton énergique, les yeux embués de larmes. Tu es quelqu'un de complet, tu mérites qu'on t'aime, et tu es la meilleure personne que je connaisse.
Au moment où j'achève ma phrase, il m'embrasse.
Les doigts agrippés à son tee-short, je lui rends son baiser, avec tant de fougue que c'en est presque douloureux.
Afficher en entierIl y a beaucoup de façon d'avoir du courage. Ca exige parfois d'offrir sa vie pour quelque chose de plus grand que soi, ou pour quelqu'un d'autre. D'autres fois, le même but exige de renoncer à tout ce qu'on à connu, à tous ceux qu'on à aimés.
Mais pas toujours.
Parfois, le courage c'est juste de serrer les dents contre la souffrance, et de s'efforcer d'avancer au jour le jour, lentement, vers une vie meilleure.
C'est le genre de courage que je dois trouver.
Afficher en entier"Tris est dans le wagon, sa veste noire fermée jusqu'au menton, son visage clair trouant l'obscurité. Elle m'attrape par le col avec un petit sourire de travers et m'attire à elle pour m'embrasser. En s'écartant, elle me dit :
— J'adore te regarder faire ça.
Je lui réponds par un sourire radieux."
Afficher en entierPoint de vue Tris
" Il pince le devant de mon chandail, juste au-dessus de mon estomac, puis m’attire à lui et m'embrasse doucement.
— Viens, me dit-il ensuite. J'ai un plan pour ce soir.
— Ah oui ?
— Je me suis rendu compte qu'on n'avait jamais eu un rencard digne de ce nom, figure-toi.
— Le chaos et la destruction ont une fâcheuse tendance à limiter les occasions.
— C'est peut-être le moment d'essayer."
Afficher en entier« Je ne le redirai qu'une seule fois : Soyez courageux. »
Afficher en entierPoint de vue Tris
"-...Tu es quelqu'un de complet, tu mérites qu'on t'aime, et tu es la meilleure personne que je connaisse.
Au moment où j'achève ma phrase, il m'embrasse. Les doigts agrippés à son tee-shirt, je lui rends son baiser, avec tant de fougue que c'en est presque douloureux. Je le pousse dans le couloir jusque dans une pièce proche du dortoir au mobilier spartiate. Je referme la porte d'un coup de talon.
Tout comme j'insiste sur sa valeur, il a toujours insisté sur ma force, sur le fait que j'ai plus de potentiel que je ne le crois. Et je sais d'instinct que c'est ce que fait l'amour vrai : il nous élève au- delà de ce qu'on est, au-delà de ce qu'on pensait pouvoir devenir. C'est ce que le nôtre arrive à faire.
Ses doigts s'emmêlent dans mes cheveux. J'ai les mains qui tremblent, et tant pis s'il s'en aperçoit. Je me moque qu'il sache que l'intensité de ce que j'éprouve me fait peur. Je l'attire contre moi et je prononce son nom dans un soupir tout contre sa bouche. J'ai oublié qu'il était un autre ; c'est comme s'il faisait partie de moi, de façon aussi vitale que mon cœur, mes yeux ou mes bras.
Je lui retire son tee-shirt. mes mains glissent sur sa peau nue comme si c'était la mienne. Ses mains agrippent mon tee-shirt alors je l'ôte et soudain, je me rappelle. Je me rappelle que je suis petite, que je n'ai pas de poitrine et que ma peau est d'une blancheur maladive, et j'ai un mouvement de recul. Il me regarde, non comme s'il attendait une explication, mais comme si j'étais la seule chose dans cette pièce qui méritait d'être regardée. Je le regarde aussi, mais tout ce que je vois aggrave ma gêne : il est si beau que les motifs tatoués sur sa peau font de lui une œuvre d'art. Il y a une minute, je nous trouvais parfaitement assortis, et c'est peut-être vrai ; mais seulement lorsque nous sommes habillés.
Il n'en continue pas moins à me regarder. Et il me sourit, d'un petit sourire timide. Il me prend par la taille et m'attire à lui.
Il se penche, embrasse ma peau entre ses doigts et murmure « Tu es belle » sur mon ventre. Et je le crois.
Il se redresse et presse ses lèvres sur les miennes, la bouche ouverte, les mains sur mes hanches, les pouces dans la ceinture de mon jean. Je caresse sa poitrine, je m'appuie contre lui et je sens son soupir chanter dans tout mon corps. — Tu sais que je t'aime, lui dis-je.
— Oui, je le sais.
Avec un petit haussement de sourcils, il se penche pour passer un bras sous mes jambes et me jette sur son épaule. Un rire fuse de ma bouche, dans lequel se mêlent la joie et la nervosité, et il me porte à travers la pièce pour aller me lâcher sans ménagement sur le canapé. Il s'allonge à côté de moi et je suis des doigts la flamme tatouée sur ses côtes. Il est fort, et souple, et sûr de lui. Et il est à moi. Je colle ma bouche sur la sienne.
* * *
Avant, j'étais terrifiée à l'idée qu'on connue à se heurter encore et encore si on restait ensemble, et que ces chocs finissent par me briser. maintenant, je sais que je suis une lame et lui la pierre sur laquelle je m'aiguise.
Je suis trop solide pour me briser aussi facilement, et je m'améliore et m'affûte un peu plus chaque fois que je le touche."
Afficher en entierSes yeux sont brillant de larmes. C'est la première fois depuis, ma presque exécution, que je vois en lui de la culpabilité plutôt que se défendre ou donner plein d'excuses. C'est peut-être même aussi la première fois depuis ce temps que je le vois comme mon frère au lieu du lâche qui m'a vendu à Jeanine Matthews. Brusquement j'ai du mal à avaler.
- Si je le fais..., dit-il.
Je secoue la tête mais il m'arrête en levant sa main.
- Arrête, dit-il. Beatrice, si je le fais... Seras-tu capable de me pardonner?
Afficher en entier« For me, it feels like driving from truth into a lie, from adulthood into childhood. I watch the land of pavement and glass and metal turn into an empty field. The snow is falling softly now, and I can faintly see the city's skyline up ahead, the building just a shade darker than the clouds. »
~ Chapter forty-four, TOBIAS.
« Pour moi, c'est comme passer de la vérité au mensonge, de l'âge adulte à l'enfance. Je regarde la terre de la chaussée, le verre et le métal autour du champ vide. La neige tombe doucement maintenant, et je peux vaguement apercevoir la silhouette de la ville droit devant et les bâtiments juste plus sombres que les nuages. »
~ Chapitre quarante-quatre, TOBIAS.
( Traduction personnelle )
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