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Extrait ajouté par vanil 2013-08-22T16:54:47+02:00

- Tu es sûre que tu es humaine, Tris ? (Il avale une grande goulée d’air.) Ça ne te fait pas peur … d’être aussi haut ?

Je regarde en bas par-dessus mon épaule. Si je tombe, je meurs. Mais je ne pense pas que je vais tomber.

~ p 136 ~

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Extrait ajouté par Aprila 2013-07-18T18:10:46+02:00

- Alors, c'était quoi, ta peur, aujourd'hui, Tris ?

- Trop de corbeaux. Et toi ?

Il se marre.

- Trop d'acide.

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Extrait ajouté par Aprila 2013-07-18T18:01:20+02:00

[...]

- Je vais te laisser, murmuré-je avant de faire un pas vers la porte.

- Attends.

Il m'attrape par le poignet et me force à me retourner. Je le repousse, violemment, mais il me saisit l'autre poignet et maintient nos bras croisés entre nous.

- Excuse-moi. Ce que je voulais dire, c'est que tu n'es pas ce genre de fille. Et je le sais depuis le début.

- Tu étais un obstacle dans mon paysage des peurs, lâché-je d'une voix tremblante.

- Quoi ?

Il me lâche et son air blessé réapparaît.

- Tu as peur de moi ?

- Pas de toi...

Je m''arrête pour stabiliser ma voix.

- ... mais d'être avec toi... ou avec n'importe qui. Je n'ai jamais eu une histoire avec quelqu'un et... tu es plus vieux que moi, et je ne sais pas ce que tu attends, et...

- Tris, me coupe-t-il d'un ton grave. Je ne sais pas ce tu t'es imaginé, mais tout ça, c'est nouveau pour moi aussi.

- M'imaginer ? Tu veux dire que tu n'as pas...

Je hausse un sourcil.

- Oh ! Oh... J'avais supposé... enfin, tu vois...

Que parce que j'étais attirée par lui, ça devait être le cas de toutes les filles.

Il détourne le regard et rosit, comme s'il était gêné.

- Ben tu supposais mal.

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Extrait ajouté par Fofifora 2013-03-06T13:58:46+01:00

- C’est Peter qui serait content. Je suis sûre qu’il inviterait tout le monde pour fêter ça.

- J’irai seulement s’il y a du gâteau.

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Extrait ajouté par vanil 2013-08-22T16:56:03+02:00

- Mes parents, murmuré-je. Ils sont morts aujourd’hui.

J’ai beau l’avoir formulé, j’ai beau savoir que c’est vrai, ça ne me paraît pas réel.

- ils sont morts pour me sauver, ajouté-je.

Ça semble important.

- Ils t’aimaient, me répond Tobias. Pour eux, il n’y avait pas de meilleure manière de te le montrer.

~ p 434 ~

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Extrait ajouté par lea72 2013-02-24T14:03:22+01:00

conversation entre Tris et Quatre :

TRIS- T'as pas les yeux dans ta poche toi.

QUATRE- J'aime bien observer les gens

TRIS- Toi non plus tu ne sais pas mentir

[...]

Il approche son visage du mien et son regard s'attarde sr mon menton, sur ma bouche, sur mon nez.

QUATRE- C'est parce que tu me plais.

Il le dit simplement,ouvertement, et ses yeux papillonnent jusqu'aux miens.

QUATRE- et ne m'appelle pas Quatre.Ça fait du bien d'entendre son nom

Tout à trac , il s'est dévoilé et je ne sais pas comment réagir.Je commence à avoir chaud.Tout ce que je trouve à dire c'est :

TRIS : Mais tobias, tu es plus vieux que moi...

QUATRE: C'est vrai que un fossé de deux ans est totalement insurmontable...

TRIS: je n'essaie pas de me dévaloriser,c'est juste que j'ai du mal à comprendre. je suis plus jeune sue toi, je ne suis pas jolie, je...

QUATRE- Admettons, tu n'es pas jolie. Et alors ?

Il m'embrasse sur la joue

QUATRE- tu me plais comme tu es.Tu es super intelligente.Tu as du cran.

Il me fixe en silence.puis il me touche le visage,se penche vers moi et sa bouche effleure mes lèvres.Il sourit et presse sa bouche contre la mienne.

Je suis tendue, ne sachant pas trop comment faire. Du coup quand il s'écarte,je suis sure que je m'y suis mal prise.Mais , tenant mon visage de nouveau, il m'embrasse avec plus d'assurance. Je passe un bras dans son dos et ma main remonte le long de sa nuque.

pendant quelques minutes,on s'embrasse,tout en bas du gouffre et cernés par le grondement de l'eau.

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Extrait ajouté par baihra 2013-04-25T10:40:59+02:00

Il sort son arme et pointe le canon sur la tempe droite de Tobias. Mon coeur bat si fort que je le sens jusque dans ma boite crânienne. Il ne peut pas tirer ; il ne ferait pas ça. Il incline la tête sur le côté.

- Tu crois que quelqu'un s'en apercevrait s'il se faisait descendre accidentellement ?

- Vas-y, lui répond la femme d'une voix morne. Pour ce qu'il représente maintenant...

[...]

- Dommage que t'aies refusé la proposition de Max, Quatre, reprend Eric à mi-voix en insérant une balle dans le chargeur. Dommage pour toi, je veux dire.

Mes poumons vont exploser ; ça doit faire une minute que je n'ai pas respiré. Du coin de l'oeil, je vois la main de Tobias tressaillir ; mais la mienne est déjà sur mon arme. Je pose le canon sur le front d'Eric. Ses yeux s'agrandissent, ses traits s'affaissent et, pendant une seconde, il a le même air que tous les soldats Audacieux somnambules.

Mon index est sur la détente.

- Abaisse ton arme, dis-je.

- Tu n'oseras pas, me souffle-t-il.

- C'est une théorie intéressante.

Mais il a raison ; je ne peux pas l'assassiner Je baisse le bras, les dents serrées, et je lui tire dans le pied.

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Extrait ajouté par Oackley 2012-11-19T07:23:49+01:00

Mais il faut que je vois mes parents une dernière fois.

Je tourne la tête à la dernière seconde en passant devant eux et je le regrette aussitôt.Les yeux de mon père me brûlent comme un fer rouge. Sur le coup, la sensation est si vive que c'est comme s'il avait trouvé un moyen de me punir physiquement.Mais non.

Cette brûlure que je sens, c'est juste l'envie de pleurer.

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Extrait ajouté par marion0704 2012-10-28T14:55:58+01:00

Il se place face aux cibles fixées sur le mur: une planche de contre-plaqué pour chacun de nous, sur laquelle sont tracés trois cercles concentriques.

Il écarte les jambes, prends son armeà deux mains et tire. Le bruit me fait bourdonner les oreilles. Je tends le cou: sa balle a traversé le centre de sa cible.

Je me tourne vers la mienne. Jamais mes parents n'approuveraient ce que je m'apprête à faire. Ils diraient que, même quand une arme ne sert pas à attaquer quelqu'un, c'est un instrument d'autodéfense, qui ne sert donc que l'interêt personnel.

Je chasse ma famille de mes pensées, j'écarte les pieds de la largeur de mes épaules et je referme mes doigts sur la cross. J'appuis sur la détente, d'abord avec hésitations, puis plus franchement , les bras tendu pour tenir l'arme le plus loin possible de mon visage.

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Extrait ajouté par Julie-Castanier 2012-08-06T10:42:37+02:00

Quelquefois, rire et pleurer sont les seuls options qui restent, et je ne sais pas pourquoi, à cet instant, rire me paraît plus adapté

p188

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