Extraits

Mon instinct ne m'avait pas trompé. Je peux me fier à elle. Lui confier mes secrets, ma honte, le nom que j'ai abandonné. Toute la vérité, avec ses beautés et ses laideurs.

Ma bouche effleure la sienne. Nos regards se croisent, je souris et je l'embrasse de nouveau, avec plus d'assurance.

Ca ne suffit pas. Je la serre contre moi et je l'embrasse avec plus d'intensité. Elle s'anime, referme ses bras derrière moi et se colle contre moi, et c'est fou, mais ça ne suffit toujours pas.

- Admettons. Tu n'es pas jolie. Et alors ? (J'essaie de rassembler mon courage tandis que mes lèvres glissent vers sa joue.) Tu me plais comme tu es. (Je m'écarte.) Tu es super intelligente. Tu as du cran. Et même maintenant que tu sais pour Marcus... tu ne me regardes pas comme si j''étais un chien battu.

- Parce que tu n'en es pas un, réplique-t-elle.

Mon instinct ne m'avait pas trompé. Je peux me fier à elle. Lui confier mes secrets, ma honte, le nom que j'ai abandonné. Toute la vérité, avec ses beautés et ses laideurs.

Mon instinct ne m'avait pas trompé. Je peux me fier à elle. Lui confier mes secrets, ma honte, le nom que j'ai abandonné. Toute la vérité, avec ses beautés et ses laideurs.

Ma bouche effleure la sienne. Nos regards se croisent, je souris et je l'embrasse de nouveau, avec plus d'assurance.

Ca ne suffit pas. Je la serre contre moi et je l'embrasse avec plus d'intensité. Elle s'anime, referme ses bras derrière moi et se colle contre moi, et c'est fou, mais ça ne suffit toujours pas.

Uriah remise l'arme dans sa ceinture sans remettre le cran de sécurité. Il a des chances de se retrouver un hématome sur la fesse quand la balle en caoutchouc filera dans son pantalon.

J'omets volontairement de le lui signaler.

Je ne suis pas Tobias Eaton, plus maintenant, plus jamais. Je suis un audacieux.

- Tu devras vivre avec ton choix, me dit-elle. Quoi que tu décides, les autres s'en remettront, ils passeront à autre chose. Toi, jamais.

Mon instinct ne m'avait pas trompé. Je peux me fier à elle. Lui confier mes secrets, ma honte, le nom que j'ai abandonné. Toute la vérité, avec ses beautés et ses laideurs.

Ma bouche effleure la sienne. Nos regards se croisent, je souris et l'embrasse de nouveau, avec plus d'assurance.

Ca ne me suffit toujours pas. Je la serre contre moi et l'embrasse avec plus d'intensité. Elle s'anime, referme ses bras derrière loi et se colle contre moi, et c'es fou, mais ça ne me suffit toujours pas.

En plus, j'ai appris une chose précieuse depuis la première fois que je suis entrée dans cette pièce : Frappe fort, et en premier, et tu auras peut-être une chance de survivre.

Elle me sourit. Et, pour la première fois, je me demande si je lui plais. Si elle arrive encore à me sourire en me voyant dans cet état... hmm, ce n'est pas exclu.

Mais je sais une chose : pour ce qui est de m'aider à oublier la mocheté de ce monde, je la choisirais, elle, plutôt que l'alcool.