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Extrait ajouté par anonyme 2012-12-23T11:51:20+01:00

Ils ne sont plus qu'à quelques pas. Je lève mon pistolet à deux mains et je me campe au bout de la ruelle en visant un soldat. Je presse la détente, mais pas assez fort pour faire feu. Celui qui court vers moi n'est qu'un garçon, pas encore un homme. Un garçon aux cheveux blonds en bataille avec un pli entre les sourcils.

Will. Le regard vide, l'air absent, mais Will quand même. Il s'arrête et imite ma pose, les jambes écartées, l'arme pointée sur moi. En une fraction de seconde, je vois son doigt sur la détente, j'entends le déclic de la balle qui de met en place, et je tire. Je ferme les yeux en serrant les paupières. Impossible de respirer.

La balle l'atteint à la tête. Je le sais parce que c'est là que j'ai visé.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-08-05T14:19:15+02:00

«Je ne veux pas penser à la cérémonie du Choix de demain. C'est à moi de choisir, maintenant, indépendamment des résultats du test.

Altruiste. Audacieuse. Erudite.

Divergente.»

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Extrait ajouté par ChloooooooooXD 2012-04-22T03:22:57+02:00

He pushes the barrel into my forehead. My tears have stopped and the air feels cold as it touches my cheeks. I reach out and rest my hand on his chest so I can feel his heartbeat. At least his heartbeat is still him.

The bullet clicks into the chamber. Maybe it will be as easy to let him shoot me as it was in the fear landscape, as it is in my dreams. Maybe it will just be a bang, and lights will lift, and I will find myself in another world. I stand still and wait.

Can I be forgiven for all I've done to get here ??

I don't know. I don't know.

'please'.

traduction:

Il pousse le baril contre mon front. Mes larmes ont arrêtés et l'air semble froid lorsqu'il touche mes joues. J'allonge mon bras et je repose ma main sur son torse pour que je puisse sentir les battements de son cœur. Au moins les battements de cœur son encore lui.

La balle entre dans la chambre du fusil. Peut-être que ça va être facile de le laisser me tirer dessus comme ce l'étais dans l'horizontal de craintes, comme ce l'est dans mes rêves. Peut-être qu'il va il y avoir juste un 'bang', et les lumières vont s'allumer, et je vais me trouver dans un autre monde. Je me fige et j'attends.

Est-ce que je pourrais être pardonnée pour tout ce que j'ai fait pour en arriver ici ??

Je ne sais pas. Je ne sais pas.

'S'il te plais'

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Extrait ajouté par wizbiz06 2014-08-20T17:19:06+02:00

TAN DIS QU’ON SE REND À LA CA FÉ TÉ RIA, je guette sur le vi sage de To bias un signe de dé cep tion. On vient de pas ser deux heures al lon gés sur son lit, à par ler et à s’em bras ser, avec des épi sodes d’as sou pis se ment, jus qu’à ce que des cris ré sonnent dans le cou loir : des gens en che min pour le ban quet.

Si je per çois une dif fé rence, il me pa raît peut-être plus léger qu’avant. Il sou rit plus, en tout cas.

On se sé pare à la porte. J’entre avant lui et je cours à la table que je par tage avec Will et Chris tina. Il me suit une mi nute plus tard et va s’as seoir à côté de Zeke, qui lui tend une bou teille rem plie d’un li quide sombre. Il la re fuse d’un geste de la main.

— T’étais où ? me de mande Chris tina. On est tous re tour nés au dor toir.

— Je me suis ba la dée. Je me sen tais trop ner veuse pour par ler.

— Tu n’as au cune rai son d’être ner veuse, me ré torque-t-elle. J’ai re gardé Will pen dant une se conde pour lui par ler, et hop, tu avais fini tes si mu la tions.

Je dé tecte une note d’en vie dans sa voix. Une fois de plus, je vou drais pou voir ex pli quer que j’étais avan ta gée dans cette épreuve, à cause de ce que je suis. Mais je dois me conten ter de haus ser les épaules.

— Tu sais quel bou lot tu vas choi sir ? éludé-je.

— Peut-être le même genre que Quatre. La for ma tion des no vices. Pour les faire flip per à mort. Un truc mar rant, quoi. Et toi ?

Je me suis tel le ment concen trée sur le fait de réus sir l’ini tia tion que j’y ai à peine ré flé chi. Je pour rais tra vailler pour les lea ders Au da cieux… mais ils me tue­raient s’ils dé cou vraient ce que je suis. Quelles sont les autres pos si bi li tés ?

— Pour quoi pas… am bas sa drice au près des autres fac tions, dis-je. Je pense que le fait d’être un trans fert me fa ci li te rait les choses.

— J’es pé rais que tu al lais ré pondre « ap pren tie lea der Au da cieuse », sou pire-t-elle. C’est ce que veut faire Peter. Il n’a pas ar rêté de nous soû ler avec ça dans le dortoir.

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Extrait ajouté par Kiiwako 2014-08-02T20:13:01+02:00

Je ris, la main devant la bouche. Je dois être la seule novice avec cette peur-là.

Le petit clic d'une détente résonne soudain contre mon oreille.

J'avais presque oublié celle-là. Je sens la crosse d'un pistolet dans ma paume et je replie les doigts dessus en glissant l'index sur la détente. Un cercle de lumière tombe du plafond ; et dans ce cercle se tiennent mon père, ma mère et mon frère.

— Fais-le, siffle une voix tout près de moi.

Une voix de femme, dure, comme si elle était chargée de pierres et de bris de verre. On dirait la voix de Jeanine.

Le canon froid d'un pistolet appuie sur ma tempe. Ce froid me transperce et hérisse mes cheveux sur ma nuque. J'essuie ma main libre sur ma cuisse tout en observant la femme du coin de l'œil. Ses lunettes sont de travers et ses yeux vides de toute émotion.

Ma pire crainte: que ma famille meure, et que je sois responsable de leur mort.

— Fais-le, répète-t-elle d'un ton plus insistant. Ou je te tue.

Je fixe Caleb. Il m'incite à obéir d'un signe du menton, les sourcils froncés, le regard plein de compassion.

— Vas-y, Tris, me dit-il gravement. Je comprends. Je ne t'en veux pas.

— Non.

J'ai les yeux qui brûlent et la gorge nouée. Je secoue la tête.

— Tu as dix secondes ! aboie la femme. Dix ! Neuf !

J'observe mon frère puis mon père. La dernière fois que je l'ai vu, il m'a accablée de son mépris ; mais là, ses yeux sont grands ouverts et remplis de douceur. Je ne lui ai jamais vu cette expression dans la vraie vie.

— Tris, me dit-il. Tu n'as pas le choix.

— Huit !

— Tris, ajoute ma mère. On t'aime.

Elle me sourit, de son sourire si doux.

— Sept !

— La ferme ! crié-je en levant le pistolet.

Je peux le faire. Je peux tirer sur eux. Ils comprennent. Ils me demandent de le faire. Ils ne voudraient pas que je me sacrifie pour eux. Et ils ne sont même pas réels. Tout ceci n'est qu'une simulation.

— Six !

Ce n'est pas la réalité. Ça ne signifie rien. Le regard de mon frère, empli de compréhension, me transperce le crâne comme la mèche d'une perceuse. La sueur fait glisser l'arme dans ma main.

— Cinq !

Je n'ai pas le choix. Je ferme les yeux. Réfléchis. Réfléchis. L'urgence qui me fait battre le cœur à tout rompre dépend d'une chose et d'une seule: le sentiment de menace qui pèse sur ma vie.

— Quatre ! Trois !

Qu'est-ce que Tobias m'a dit ? « Il n'y a pas une grande différence entre l'altruisme et le courage. »

Je relâche la pression de mon doigt sur la détente et laisse tomber le pistolet. Sans me laisser le temps de changer d'avis, je me retourne pour appuyer le front sur le canon de l'arme derrière moi.

Tuez-moi plutôt.

— Un !

J'entends un déclic, et une explosion.

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Extrait ajouté par Clairee_27 2014-07-30T13:58:53+02:00

-Tris, m'appelle Quatre.

J'échange un regard mi-surpris, mi-inquiet avec Will. Quatre s'écarte de la rambarde et s'approche. Devant nous, Al arrête de courir et Christina se laisse glisser de son dos. Je ne peux pas leur reprocher de se poser des questions. On est plusieurs, et il ne s'est adressé qu'à moi.

-Tu as quelque chose de changé.

Sa diction, d'ordinaire articulée, est un peu encombrée.

-Toi aussi.

Et c'est vrai. Il a l'air plus détendu, plus jeune.

Je lui demande:

-Qu'est-ce que tu fais?

-Je flirte avec la mort, répond-il en se marrant. Je bois près du gouffre. Peut-être pas l'idée du siècle.

-Effectivement.

-Je ne savait pas que tu avais un tatouage, dit-il en regardant ma clavicule.

Il boit au goulot. Son haleine est chargée et acide. Comme celle du sans-faction que j'ai croisé. Je ne suis pas sûre que ça me plaise de le voir ainsi. C'est dérangeant.

-Hm. Les corbeaux, ajoute-t-il.

Il jette un coup d'oeil sur ses amis, qui continuent sans lui, contrairement aux miens.

-Je te proposerais bien de venir avec nous, mais tu n'es pas censée me voir comme ça.

-Comme ça comment? Soûl?

-Ouais... enfin, non. (Sa voix s'adoucit). En vrai, je dirais.

-Je ferai comme si je n'avais rien vu.

-C'est sympa.

Il se penche pour me déclarer:

-Ça te va bien ton nouveau look, Tris.

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Extrait ajouté par Luprius 2014-07-25T23:25:43+02:00

Will et Christina s'embrassent, de manière un peu trop démonstrative à mon goût. Autour de moi, c'est un concert de poings sur la table. Puis je sens que quelqu'un me tape sur l'épaule. C'est Tobias. Je me lève avec un sourire rayonnant.

-Si je te serre dans mes bras, tu crois que ça vas vendre la mèche? me demande-t-il.

-Je ne sais pas. et je m'en fous!

Je me hausse sur la pointe des pieds et je l'embrasse sur la bouche.

C'est le meilleur moment de ma vie.

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Extrait ajouté par Julie37 2014-07-02T11:17:11+02:00

"Je tends le bras. Mon sang tombe sur la moquette entre les deux coupes. Puis, avec un tressaillement irrépressible, je projette ma main en avant et mon sang grésille sur les charbons.

Je suis égoïste. Je suis courageuse."

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Extrait ajouté par Intuition 2014-06-25T11:31:31+02:00

-Je ne vois pas une grande différence entre l'altruisme et le courage, réplique-t-il. Quand on t'apprend depuis toujours à t'oublier toi-même, ça devient un réflexe. Le jour où tu te trouve en danger, tu le fais sans y penser.

p. 301

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Extrait ajouté par selhyn 2014-05-30T19:31:31+02:00

- J'ai le sentiment que c'est ma faute.

- Ce n'est pas ta faute, dit-il en collant son front contre le mien.

- Mais j'aurais dû lui pardonner.

- Peut-être. Peut-être qu'on aurait tous pu l'aider davantage. Mais tout ce qu'on peut faire, maintenant, c'est nous servir de cette culpabilité pour nous améliorer.

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