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- Ceux qui condamnaient l’agressivité ont formé les Fraternels.
Les Fraternels échangent des sourires. Il ne s’habillent qu’en rouge et en aune et privilégient le confort. Ils m’ont toujours l’ai serviables, aimants, libres. Maisje n’ai jamais envisagé de les choisir.
- Ceux qui pointaient du doigt l’ignorance ont donné les Erudits.
Exclure les Erudits a été le seul point facile de ma décision.
- Ceux qui blâmaient la duplicité ont composé les Sincères.
Je ne les ai jamais aimés.
- Ceux qui incriminaient l’égoïsme ont créé les Altruistes.
Je condamne l’égoïsme ; sincèrement.
- Et ceux qui dénonçaient la lâcheté ont constitué les Audacieux.
Mais je ne suis pas assez Altruistes. Toujours pas, au bout de seize ans d’efforts.
Afficher en entierMais je me fabriquerai de nouvelles habitudes, de nouvelles pensées. Je deviendrai quelqu'un dautre.
Afficher en entierJe savais qu'ils reviendraient. Je savais qu'ils réessaieraient. La première fois ne leur a pas suffi. Je crie encore, pas pour appeler à l'aide, mais parce que c'est ce qu'on fait quand on va mourir et qu'on ne peut rien y changer.
- Arrête, dit une voix grave.
La scène disparaît et les lumières reviennent. Je suis sur le ciment, dans la salle du paysage des peurs. Secouée de tremblements, je tombe à genoux, la tête dans les mains. J'ai échoué. J'ai perdu toute logique, toute capacité de raisonner. La peur de Lauren est devenue la mienne.
Devant tout le monde. Et devant Tobias.
J'entends des pas. Tobias s'avance vers moi et me force à me relever.
- Qu'est-ce que c'est que ce cirque, Pète-sec ?
- Je ... Je n'ai pas ...
Mon souffle reste coincé dans ma gorge.
- Ressaisis-toi ! C'est pitoyable.
Sa remarque agit sur moi comme un choc. J'arrête de pleurer. Une vague de colère me parcourt, chassant ma faiblesse, et je le gifle si fort que je me fais mal à la main. Il me fixe obstinément, la joue écarlate.
- La ferme, dis-je, en soutenant son regard.
Je libère mon bras d'un coup sec et je sors.
Afficher en entier"-Adieu, joli minois, me siffle Peter. Oups, c'est vrai, on ne peut pas perdre ce qu'on n'a pas."
Afficher en entierAl manque de lâcher Christina est elle se rattrape à la première chose qui lui tombe sous la main, à s'avoire son nez p223
Afficher en entierIls tapent des pieds. Ils crient. Le vacarme m'enveloppe, me noie. Christina sourit, et je limite une seconde plus tard.
p67
Afficher en entierJe m'empare d'une tartine que j'entreprends de beurrer avec un peu trop d'enthousiasme. Je me rends bien compte que je me comporte comme une dingue, mais je ne peux pas me retenir. Ce serait comme essayer d'arrêter de respirer.
Afficher en entier-Tu es sûre que tu es humaine, Tris ? (Il avale une grande goulée d’air.) Ça ne te fait pas peur … d’être aussi haut ?
Je regarde en bas par-dessus mon épaule. Si je tombe, je meurs. Mais je ne pense pas que je vais tomber.
Afficher en entier(Tris et Will)
-Alors, c'était quoi, ta peur, aujourd'hui, Tris?
-Trop de corbeau. Et toi?
Il se marre.
-Trop d'acide.
Afficher en entier-Prête, Pète-sec? me demande Zeke avec un petit sourire narquois. J'avoue que tu m'impressionnes. Tu devrais être en train de pleurer ou de hurler de peur.
-Je te l'avais dit, intervient Uriah, c'est une Audacieuse pure et dure. Allez, grouille-toi un peu!
-Mollo, petit frère, ou je pourrais oublier d'attacher tes courroies comme il faut. Et là... splatch
-Ouais, ouais, fait Uriah, et là, maman te bouffe tout cru.
-Encore faudrait-il qu'elle l'apprenne, ricane Zeke en tirant sur la poulie fixée au câble.
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