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Cliquez sur le lien et vous allez avoir les 3 premiers chapitres de Insurgent :) http://browseinside.harperteen.com/index.aspx?isbn13=9780062024046

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Extrait ajouté par EmmaMira 2014-06-14T14:33:52+02:00

Sa bouche effleure la mienne et je referme les doigts sur sa chemise.

-les gars, merci de garder ça pour plus tard, ou vous allez me faire vomir, intervient Peter.

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Extrait ajouté par Anne-118 2014-05-22T20:11:28+02:00

-C'est super bizarre, murmuré-je à Tobias.

-moi, je trouve ça beau.

Je lui glisse un coup d'oeil.

-Quoi? fait-il avec un petit rire. Ils ont tous le même poids dans les décisions de leur faction. Chacun se sent aussi responsable que les autres. Ca les pousse à se sentir concernés. A faire preuve de bienveillance. Moi, je trouve ça beau.

-Et moi, je trouve ça inapplicable, objecté-je. Ca marche tant que tout va bien. Mais qu'est-ce qui se passe quand tout le monde n'a pas envie de jouer du banjo ou de cultiver les champs? Quand quelqu'un commet une atrocité et qu'il ne suffit plus de parler pour résoudre le problème?

Tobias hausse les épaules.

-On ne devrait pas tarder à le savoir.

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Extrait ajouté par Leina09 2014-05-11T18:56:26+02:00

-Je vous propose un marché, déclaré-je. Si je coopère, vous me montrez les sans.

-Tu coopèreras, que tu le veuille ou non.

Je lève un doigt;

-Faux

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Extrait ajouté par Leina09 2014-05-11T14:48:02+02:00

-C'est le moment que tu choisis pour jour à l'Altruiste?

Sa voix emplit la chambre, faisant monter des frissons de peur dans ma poitrine. Sa colère est brutale. Inquiétante.

-Apres avoir répété en boucle que tu étais trop égoïste pour eux voila que tu te sens obligée de jouer les héroïnes, pile quand ça met ta vie en jeu? Qu'est ce qui cloche chez toi?

-Je te retourne la question! Quelqu'un est mort! Spoiler(cliquez pour révéler)Marlene s'est jetée du haut d'une tour! Et moi, j'ai le moyen d'empêcher que ça se reproduise!

-Tu as trop d'importance pour… mourir comme ça.

Il secoue la tete en esquivant mon regard. Ses yeux papillonnent sur mon visage, sur le mur derrière moi, le plafond, se posent partout sauf sur les miens. La surprise m'a fait oublier ma colère.

-Je n'ai aucune importance, dis-je. Les autres se passeront très bien de moi.

-On s'en fou des autres! Et moi alors?

Il baisse la tete en posant une main sur ses yeux. Ses doigts tremblent.

Puis il me rejoint en deux enjambées et pose sa bouche sur la mienne.

(…)

-Tu t'en sortijas tres bien.

Je ne le regarde pas. Je regarde le pan de coton de son t-shirt entre mes doigts, la ligne d'encre noir qui sinus dans son cou, mais pas son visage.

-Peut être pas au début nuancé-je. Mais tu irais de l'avant, en faisant ce qu'il y a a faire.

Il entoure ma taille et m'attire contre lui.

-C'est faux, proteste-t-il avant de m'embrasser de nouveau.

Il ne faut pas. Je n'ai pas le droit de le laisser m'embrasser en faisant l'impasse sur ce que je suis devenue et sur ce que je m'apprête à faire.

Mais je suis incapable de résister.

Je le prend dans mes bras en me haussant sur la pointe des pieds, j'appuie une main entre ses omoplates et j'enroule l'autre autour de sa nuque. Je sens son souffle contre mon oreille, sa poitrine qui se contracte et se dilate, et je sais qu'il est fort, solide, assez pour que rien ne l'arrête. Tout ce que j'aurais besoin d'être.

Il recule en m'entrainant avec lui et je perds mes chaussures en le suivant d'un pas trébuchant. Il s'assied sur le bord du lit tandis que je reste debout face à lui et, on se regarde les yeux dans les yeux.

Il prend mon visage entre ses mains. Ses doigts glissent le long de mon cou, coulent jusqu'à ma taille, épousent la courbure légère de mes hanches.

Je ne peux plus m'arrêter.

Ma bouche se colle à la sienne. Il a le gout de l'eau et de l'air frais. Mes mains descendent au creux de ses reins et se faufilent sous sa chemise. Son baiser redouble d'ardeur.

Je mesure de nouveau toute sa force en sentant les muscles de son dos se contracter sous mes doigts.

"Arrete" me dis-je.

Soudain, ses mains frôlent ma taille sous ma chemise tandis que les miennes s'agrippent à lui comme si le temps nous manquait, dans un besoin irrationnel de nous rapprocher encore, meme s'il n'y a deja plus d'espace entre nous. Je n'ai jamais eut envie de lui comme ça, ni autant.

Il s'écart juste assez pour me fixer entre ses paupière mi-closes.

-Promet-moi que tu n'iras pas, murmure-t-il. Pour moi. C'est tout ce que je te demande.

(…)

"C'st tout ce que je te demande". Les yeux sombres de Tobias m'implorent. Mais si je ne vais pas chez les Erudits, qui le fera? Tobias? C'est le genre de chose dont il serait capable.

-Ok, dis-je, la poitrine traversée d'un coup de poignard à l'idée que je lui mens.

-Jure-le-moi, insiste-t-il, les sourcils froncés.

La douleur se répand dans tout mon corps, mélange de culpabilité, de terreur et de désir.

-Je te le jure.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-05-08T14:56:05+02:00

J'ai la poitrine et les jambes en feu, et ça me fait sourire. Exploiter la douleur pour soulager la douleur. Ça parait absurde.

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En me retournant, je vois Uriah qui s'élance de l'ascenceur, un grand sourire sur la figure.

-Paraît que t'es un sale traître, mon frère, lui lance-t-il.

-Ouais, c'est ça, fait Zeke.

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- Parfait. T'as pile le look de nana fleur bleue qui gratte le banjo, me dit Christina.

- C'est vrai ?

- Non. Pas du tout. Attends... je vais t'arranger ça, OK ?

Elle farfouille dans son sac, dont elle finit par extraire une trousse remplie de tubes et de boîtiers. Je sais que c'est du maquillage, mais je serais bien en peine de m'en servir.

[...]

- Corrige-moi si je me trompe : tu as quitté l'enceinte des Audacieux pour partir en guerre... en emportant ton maquillage ?

- Ouaip. Me suis dit qu les autres auraient plus de mal à me tirer dessus si je les envoûtais par ma beauté ravageuse, lâche-t-elle en haussant un sourcil. Ne bouge plus.

Elle retire le bouchon d'un tube noir gros comme mon doigt, qui révèle un bâton rouge. Elle le passe sur ma bouche et tapote mes lèvres jusqu'à ce qu'elles soient entièrement colorées. Je le sens quand je me les mords.

- Personne ne t'a jamais parlé du miracle de l'épilation des sourcils ? me demande-t-elle en brandissant une pince à épiler.

- Ôte ça de ma vue.

- Très bien, soupire-t-elle. Je te mettrais bien un peu de mon blush sur les joues, mais je ne suis quasi sûre qu'il ne t'ira pas.

- C'est dingue, ça ! Alors qu'on a pratiquement le même teint !

- Ha, ha.

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Extrait ajouté par Sko12 2014-04-26T16:47:03+02:00

Avant de quitter la salle de bain, je me pince les joues pour me donner meilleur mine. C'est idiot, mais je n'ai pas envie de paraître faible et à bout de forces devant tous le monde.

Quand je regagne la chambre de Tobias, je trouve Uriah affalé à plat ventre sur le lit; Christina en train d'examiner la statuette en verre bleu, qu'elle tient à la main; et Lynn brandissant un oreiller derrière la tête d'Uriah avec un sourir espiègle.

Christina m'accueille d'un "Salut,Tris!", tandis que Lynn assène à Uriah un grand coup d'oreiller sur le crâne.

- Aïe! crie-t-il. Comment t'arrives à faire mal avec un oreiller, Lynn?

- Grâce à ma force surhumaine. Quelqu'un t'a giflée, Tris? Tu as une joue toute rouge.

Je n'ai pas dû pincer l'autre assez fort.

- Oh, c'est juste... l'effet bonne mine d'une longue nuit de sommeil.

J'ai lâché ma blague du bout des lèvres, précautionneusement, comme si je parlais une langue étrangère. Christina rit, peut-être un peu plus fort que ça ne le mérite, mais je suis sensible à son effort. Uriah rebondit plusieurs fois sur le lit avant de s'asseoir au bord.

- Alors, pour en venir au truc dont personne ne parle, lance-t-il en faisant un geste dans ma direction. Tu as failli mourir, tu as été sauvé par une meringue perverse, et on se prépare tous à livrer combat aux côtés des sans-faction.

- Une meringue? répète Christina.

- C'est de l'argot Audacieux, rigole Lynn. C'est censé être la pire des insultes, sauf que plus personne ne l'utilise.

- Tellement elle est injurieuse, justement, confirme Uriah avec un hochement de tête.

- Tellement elle est débile, oui. Aucun Audacieux doté d'un minimum d'intelligence n'aurait l'idée de l'employer. "Meringue". T'as quoi, douze ans?

- Et demi.

J'ai l'impression que le but premier de leur petit numéro est de m'épargner d'avoir à parler; il me suffit de rire.Ce que je fais, assez pour réchauffer la pierre qui c'est formée dans mon estomac.

- Il y a à bouffer en bas, m'informe Christina. Tobias a préparé des œufs brouillés. On a testé, c'est un petit-déjeuner assez répugnant.

- Moi j'aime bien les œufs brouillés, protesté-je.

- Ça doit être un petit-déjeuner de Pète-sec, alors.

Elle me prend par le bras.

- En route!

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Extrait ajouté par Angel69 2014-03-07T17:16:02+01:00

Soudain, je me pétrifie. Un rayon de lumière bleue est fixé sur ma poitrine. Je roule sur le côté pour sortir de la ligne de tir, mais je ne vais pas assez vite.

Le coup part. Je tombe.

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