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– Toi, tu es courageuse, reprend-elle. Tu n’as pas besoin que je te le dise pour le savoir, mais je veux que tu saches que je le sais aussi.

C’est un compliment, mais elle a quand même réussi à m’asséner ça comme une gifle. Puis elle ajoute :

– Tâche de ne pas tout bousiller.

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Extrait ajouté par naomie73 2013-06-30T22:41:21+02:00

J'ai découvert que les gens sont constitués de multiples couche de secrets. On croit les connaitre,les comprendre, mais leurs motivations nous restent toujours cachées, enfouies au fond de leur coeur. On ne peut jamais savoir qui ils sont vraiment. Mais on peut parfois décider de leur faire confiance.

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Extrait ajouté par Tifennjh 2020-06-28T11:54:18+02:00

- Je t'aime.

Je l'ai dit une fois, avant de me rendre au siège des Érudits, mais il dormait, alors. Je ne sais pas pourquoi je ne lui ai jamais dit à un moment où il pouvait l'entendre. J'avais peut-être peur de lui confier une chose aussi personnelle que mon attachement. Ou de ne pas savoir ce que c'était d'aimer quelqu'un. Maintenant, je crois que le plus effrayant est d'avoir failli ne pas le dire avant qu'il ne soit trop tard. Avant qu'il ne soit trop tard pour moi.

Je lui appartient et il m'appartient, et c'est comme ça depuis le début.

Il me dévisage. J'attends sa réponse en m'aggrippant à ses mains pour me soutenir.

Il fronce les sourcils.

- Répète-moi ça.

- Tobias, je t'aime.

Sa peau mouillée glisse et il sent la sueur ; le tissu de ma chemise adhère à ses bras quand il les replie autour de moi. Il enfouit son visage dans mon cou et m'embrasse juste au dessus de la clavicule, puis sur la joue, puis sur la bouche.

- Moi aussi, je t'aime.

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Extrait ajouté par Sanako 2020-06-16T10:06:38+02:00

J'ai découvert que les gens sont constitués de multiples couches de secrets. On croit les connaitre, les comprendre, mais leur motivations nous restent toujours cachées, enfouies au fond de leur cœur. On ne peut jamais savoir qui ils sont vraiment. Mais on peut parfois décider de leur faire confiance.

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Je ne suis plus Tris la dévouée, ni Tris la courageuse.

A partir de maintenant, il va falloir que je devienne plus que cela.

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Extrait ajouté par sara14 2018-09-08T23:29:30+02:00

- T'es complètement malade, lui dit Tobias. Le monde ne marche pas comme ça, en comptant les points entre les gens.

Peter lève les sourcils.

- Ah non ? Je ne sais pas dans quel monde tu vis, toi, mais dans le mien, les gens n'ont que deux raisons de faire un truc pour toi. Soit ils attendent quelque chose en retour, soit ils ont le sentiment qu'ils te le doivent.

- Il y a d'autres raisons d'aider les autres, objecté-je. On peut agir par amour. Bon, peut-être pas pour toi, mais...

Peter ricane doucement.

- C'est pile le genre de délire qu'on peut attendre d'une Pète-sec.

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Extrait ajouté par Lucie6 2015-02-23T01:05:40+01:00

La nuit suivante, je rêve que je me trouve dans un champ et que je tombe sur un groupe compact de corbeaux posés au sol. En m’accroupissant à quelques pas d’eux, je m’aperçois qu’ils sont perchés sur un corps et donnent des coups de bec sur ses vêtements, gris Altruiste. Ils s’envolent brusquement et je vois que ce corps est celui de Will.

C’est à ce moment-là que je me réveille.

J’enfonce mon visage dans mon oreiller pour laisser échapper, non pas le nom de Will, cette fois, mais un sanglot qui me plaque contre le matelas. Le chagrin est de retour, tordant comme une bête fauve l’espace occupé jusque-là par mon cœur et mon estomac.

J’essaie de respirer, les mains pressées sur ma poitrine. Les griffes du monstre m’enserrent la gorge, maintenant, m’empêchant de respirer. Je mets ma tête entre mes genoux et je respire lentement, profondément, jusqu’à ce que la sensation d’étouffement cesse.Je frissonne malgré la chaleur. Je sors du lit et me glisse dans le couloir jusqu’à la chambre de Tobias.

Mes jambes nues sont si blanches qu’elles luisent presque dans le noir. Le grincement de la porte quand je l’ouvre suffit à le réveiller. Il me fixe pendant une seconde.

– Allez, viens, me souffle-t-il, à moitié endormi.

Il se pousse dans le lit pour me faire de la place.

J’aurais dû réfléchir. Pour dormir, je porte un grand tee-shirt prêté par les Fraternels. Il m’arrive juste sous les fesses, et je n’ai pas pensé à mettre un short avant de venir. Les yeux de Tobias effleurent mes jambes nues et je sens le rouge me monter aux joues.

Je m’allonge sur le côté en lui faisant face.

– Un cauchemar ? me demande-t-il.

Je fais signe que oui.

– Il se passait quoi ?

Je secoue la tête. Je ne peux pas lui dire que je rêve de Will, pas sans lui expliquer pourquoi. Que penserait-il de moi s’il savait ce que j’ai fait ? Comment me regarderait-il ?

Il garde une main sur ma joue en faisant aller doucement son pouce sur ma pommette.

– Ça va bien, tu sais, nous deux, me dit-il. OK ?

J’acquiesce, un poids sur la poitrine.

– Rien d’autre ne va, reprend-il. Mais nous, ça va.

Son souffle me chatouille la joue.

– Tobias.

Mais quoi que j’aie été sur le point de lui dire, la suite se dissout dans ma tête et j’appuie ma bouche sur la sienne, parce que je sais que ça me fera oublier le monde extérieur.

Il m’embrasse en retour. Sa main glisse de ma joue, le long de mon torse, suit le creux de ma taille, de ma hanche, descend jusqu’à ma jambe nue. Avec un frisson, je me serre contre lui en enroulant une jambe autour des siennes. La tension me donne des bourdonnements dans les oreilles mais tout le reste chez moi semble savoir parfaitement quoi faire, parce que tout vibre au même rythme, tout réclame la même chose :

s’échapper pour devenir une part de lui.

Sa bouche remue contre la mienne et sa main se faufile sous mon tee-shirt. Je le laisse faire, même si je sais que je ne devrais pas. Un léger soupir m’échappe et la gêne m’empourpre les joues. Mais soit il s’en moque, soit il n’a rien remarqué. Il presse sa main au creux de mes reins pour me serrer encore plus fort.

Ses doigts se déplacent lentement le long de ma colonne vertébrale sous mon tee-shirt, qui remonte peu à

peu. Je ne fais rien pour le baisser, même quand je sens la fraîcheur de l’air sur mon ventre.

Il m’embrasse dans le cou et je l’agrippe par la nuque en froissant son tee-shirt dans mon poing pour me calmer. Sa main arrive en haut de mon dos et se referme autour de ma nuque. Mon tee-shirt est ramassé autour de son avant-bras et nos baisers deviennent de plus en plus fiévreux. L’ardeur qui m’embrase fait trembler mes mains et je resserre ma prise sur son épaule pour qu’il ne s’en aperçoive pas.

Ses doigts effleurent mon bandage à l’épaule et un élancement me traverse. Ça n’a pas fait très mal, mais ça me ramène à la réalité. Je ne peux pas faire ça, pas si l’une de mes raisons est d’échapper à mon chagrin.

Je m’écarte en baissant soigneusement mon tee-shirt pour me couvrir. Pendant un instant, on reste allongés comme ça, le souffle haletant. Ce n’est pas le moment de pleurer ; il faut que je me retienne.

Mais j’ai beau cligner sans arrêt des paupières, je ne parviens pas à chasser les larmes.

– Désolée, dis-je.

Il me répond, presque gravement, en essuyant les larmes qui coulent sur mes joues :

– Tu n’as pas à t’excuser.

Je sais que j’ai une charpente de moineau, petite et frêle, avec des hanches étroites de garçon. Maisquand il me touche comme s’il ne pouvait pas supporter l’idée de retirer sa main, je ne voudrais pas être faite autrement.

– Je ne voulais pas craquer comme ça, m’excusé-je d’une voix rauque. Mais je me sens…

Je secoue la tête, incapable de poursuivre.

– C’est injuste, dit-il. Tes parents ne sont plus là pour toi et c’est injuste, Tris, ça n’aurait jamais dû

arriver. Ça n’aurait pas dû t’arriver. Si quiconque te dit le contraire, c’est un mensonge.

Un nouveau sanglot me secoue. Il me serre si fort dans ses bras que j’ai du mal à respirer, mais ça m’est égal. Mes pleurs contenus font place à un débordement qui n’a rien d’élégant. La bouche ouverte, le visage contorsionné, je laisse une plainte d’animal agonisant s’échapper de ma gorge. Je vais me briser en mille morceaux si ça continue, et ça vaudrait peut-être mieux – exploser et ne plus rien sentir.

Il se tait jusqu’à ce que je me calme.

– Dors, me souffle-t-il enfin. Je me battrai contre tes cauchemars s’ils reviennent te chercher.

– Avec quoi ?

– À mains nues, évidemment.

Je glisse un bras autour de sa taille et j’inspire profondément dans son épaule. Il sent la sueur, l’air frais et la menthe, à cause de la pommade qu’il met quelquefois pour décontracter ses muscles. Il sent la quiétude aussi, comme les murs du verger chauffés par le soleil et les petits-déjeuners pris en silence dans le réfectoire. Pendant quelques instants, j’oublie presque notre ville déchirée par les combats et le conflit qui ne tardera pas à nous rattraper, si on ne le rattrape pas en premier.

Avant de sombrer dans le sommeil, je l’entends murmurer :

– Je t’aime, Tris.

Je lui répondrais bien, si je n’étais pas déjà trop loin.

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Extrait ajouté par Fliflo 2015-02-07T15:32:05+01:00

-Lâchez cette arme, ordonne Tobias à la femme en braquant son pistolet sur elle. Je vise très bien, et je suis prêt à parier que ce n'est pas votre cas.

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Extrait ajouté par anonyme 2015-01-31T13:39:14+01:00

Ses yeux se posent sur la commode derrière moi, vers la gauche. Je le regarde en fronçant les sourcils, avant de remarquer un détail qui m’avait échappé : une bosse rectangulaire dans l’une de ses poches.

– Rends-le-moi, dis-je. Maintenant.

– Non.

– Rends-le-moi, ou je te jure que je te tue dans ton sommeil.

Il prend un air narquois.

– Si tu voyais comme tu es ridicule quand tu essaies de faire peur aux gens ! On croirait une petite fille qui menace de m’étrangler avec sa corde à sauter.

Je m’approche de lui et il recule en franchissant la porte de ma chambre.

– Ne m’appelle pas « petite fille ».

– Je t’appelle comme je veux.

En une fraction de seconde, je passe à l’action, visant du poing gauche l’endroit qui fera le plus mal : celui de sa blessure au bras. Il esquive, mais au lieu de répéter ma tentative, je lui agrippe le bras pour le tordre de toutes mes forces. Il pousse un cri de douleur et j’en profite pour le faire tomber d’un coup de pied dans le genou.

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Extrait ajouté par VentGris 2014-09-25T18:46:44+02:00

Elle (Christina) se retourne trop tôt et percute l'épaule de Fernando.

-Oh, désolée, Nando!

Le choc a fait glisser ses lunettes de travers. Il sourit en les retirant et les fourre dans sa poche.

-Nando? m'étonné-je. Je croyais que les Erudits n'aimaient pas les surnoms.

-Quand c'est une jolie fille qui te le donne l'effet n'est pas le même.

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