Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 832
Membres
1 008 483

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par kats-at 2012-02-18T12:57:46+01:00

« Caleb accourt vers moi et me prend soigneusement dans ses bras. Je pousse un soupir de soulagement. Je pensais que j'en étais arrivée au point de ne plus avoir besoin de mon frère mais je ne pense pas qu'un tel point existe en fin de compte.»

Afficher en entier
Extrait ajouté par kats-at 2012-09-13T01:47:13+02:00

« - Qu'est-ce qui cloche chez toi ? Des gens sont morts. Ils sautent du bord du batiment ! Et je peux empêcher ça de se reproduire !

- Tu es trop importante pour juste ... Mourir.

- Je ne suis pas importante. Tout le monde sera mieux sans moi, dis-je.

- Pourquoi tu te préoccupes de " tout le monde " ? Et moi alors ?

[ ... ]

- Tu iras bien. Pas au début, mais tu t'en remettras, et feras ce que tu dois faire.»

Afficher en entier
Extrait ajouté par raidair 2012-10-27T16:11:05+02:00

" Tobias se tient en face de moi, sa visage rouge d'effort. Je veux qu'il me prenne dans ses bras encore, comme il l'a fait après la dernière attaque, mais il ne le fait pas et je sais que c'est mieux ainsi.

"Je ne suis pas en train de prétendre ce qui se passe en toi, il dit, mais si tu risques encore ta vie absurdement..."

"Je ne risque pas ma vie absurdement. J'esssaie de faire des sacrifices comme mes parents l'ont fait, comme..."

"Tu n'es pas tes parents. Tu es un jeune fille de 16 ans..."

Je grince des dents. "Comment peux-tu..."

"...qui ne comprend pas que la valeur d'un sacrifice git en sa nécessité, et non en gaspillant sa vie pour rien! Et si tu refais ça, toi et moi sommes perdus."

Je ne m'attendais pas à ce qu'il me dise ça.

"Tu me donnes un ultimatum?" J'essaye de garder ma voie basse pour que les autres n'entendent pas.

Il secoue sa tête. "Non je te dis un fait" ses lèvres sont juste une ligne. "Si tu te mets en danger encore sans raison, tu seras devenus rien de plus qu'un Audacieux drogué à l'adrénaline qui cherche un succès, et je ne vais pas t'aider à faire ça" [...] "J'aime Tris la divergente, qui prend des décisions a part de sa loyalité pour une faction, qui n'est pas un archétype d'une faction. Mais la Tris qui essaye autant qu'elle peut de se détruire... Je ne peux pas l'aimer"

Je veux crier. Mais pas parceque je suis faché mais parceque je suis effrayée, il a raison. Mes mains tremblent et je tient l'ourlet de mon tee-shirt pou les arreter.

Il colle son front au mien et ferme ses yeux. "Je sais que tu es toujours là, il dit contre ma bouche, reviens."

Il m'embrasse légèrement, et je suis trop choquée pour l'arrêter. "

p260/261 (C'est une traduction personnelle donc veuillez m'excuser si il y a quelques erreurs)

Afficher en entier
Extrait ajouté par kats-at 2012-02-18T12:57:11+01:00

« Je montre une fenêtre sur ma gauche et elle explose. Des particules de verre pleuvent sur nos têtes.

- Tu vas devoir faire mieux que ça, dis-je. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par isane3 2012-11-24T15:14:08+01:00

Il se tait jusqu'à ce que je me calme.

- Dors, me souffle-t-il enfin. Je me battrai contre tes cauchemars s'ils reviennent te chercher.

- Avec quoi ?

- A mains nues, évidemment.

Je glisse un bras autour de son bras et j'inspire profondément dans son épaule. Il sent la sueur, l'air frais et la menthe, à cause de la pommade qu'il met quelquefois pour décontracter ses muscles. Il sent la quiétude aussi, comme les murs du verger chauffés par le soleil et les petits-déjeuners pris en silence dans le réfectoire. Pendant quelques instants, j'oublie presque notre ville déchirée par les combats et le conflit qui ne tardera pas à nous rattraper, si on ne le rattrape pas en premier.

- Je t'aime, Tris.

Je lui répondrais bien, si je n'étais pas déjà trop loin.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Carole94P 2012-11-09T11:18:12+01:00

Spoiler(cliquez pour révéler)

Page 341

Après un tournant, j'entends des cris étouffés. Je ne distingue pas tout de suite ce que dit la voix, mais les mots prennent forme à mesure qu'on se rapproche.

- Je veux... voir !

C'est Tobias.

Je... la voir :

Je glisse un coup d'oeil vers Peter.

- J'imagine que je ne peux pas lui parler une dernière fois ?

Peter fait non de la tête.

- Cela dit, il y a une fenêtre, précise-t-il. Il se décidera peut-être à la boucler s'il te voit.

Il me conduit au bout d'un petit couloir sans issue qui ne mesure pas plus de deux mètres de long et se termine par une porte. Comme l'a dit Peter, une petite fenêtre est percée dans le haut du battant, à une trentaine de centimètres au dessus de ma tête.

- Tris ! crie Tobias, d'une voix plus nette maintenant. Je veux la voir !

Je lève le bras pour poser ma main sur la fenêtre. Les cris cessent et son visage apparaît derrière la vitre. Il a les yeux rouges. Le teint marbré. Il est beau. Il me fixe quelques secondes avant de plaquer sa main sur la mienne. Je me persuade que je sens sa chaleur à travers le verre.

Il appuie son front contre la vitre et ferme les yeux en serrant les paupières.

Je retire ma main et je m'éloigne avant qu'il n'ait rouvert les yeux. J'ai mal à la poitrine, bien plus mal que quand j'ai reçu ma balle dans l'épaule. Les doigts crispés sur l'ourlet de ma chemise, je cligne des yeux pour refouler mes larmes et je rejoins Peter.

- Merci soufflé-je

Afficher en entier
Extrait ajouté par Jenna95 2013-01-11T13:00:06+01:00

Je sens une piqûre aiguë dans mon cou. Des points noirs obscurcissent l’image de l’homme et me masquent son visage.

– Je suis désolé, dit-il, nous ne faisons qu’appliquer le protocole.

Le plus âgé tient une seringue, contenant encore quelques gouttes du produit qu’il vient de m’injecter. Il est vert pré, couleur d’herbe. Je bats rapidement des paupières et les taches sombres disparaissent ; mais tout oscille devant moi, comme si je me balançais dans un rocking-chair.

– Comment te sens-tu ? s’enquiert le plus jeune.

– Je me sens…

J’allais dire « en colère ». En colère contre Peter, contre les Fraternels. Mais c’est faux, non ? Je souris.

– Je me sens bien. Un peu… un peu comme si je flottais. Ou comme si je tanguais. Et vous, vous vous sentez comment ?

– Le vertige est un effet secondaire du sérum, me répond-il. Tu auras peut-être besoin de te reposer cet après-midi. Et je me sens très bien, merci. Tu peux partir, maintenant, si tu veux.

– Vous pouvez m’indiquer où se trouve Tobias ? demandé-je.

Dès que j’imagine son visage, une vague d’affection monte en moi en bouillonnant et je n’ai qu’une envie : l’embrasser.

– Quatre, je veux dire. Il est beau, non ? En fait, je ne vois pas ce qu’il me trouve. Je ne suis pas très sympa, hein ?

– La plupart du temps, non, confirme l’homme. Mais je pense que tu pourrais l’être, si tu essayais.

– Merci. C’est gentil.

– Tu devrais le trouver dans le verger. Je l’ai vu sortir après la bagarre.

Je ris doucement.

– La bagarre, quelle absurdité…

Et ça me paraît vraiment complètement stupide de coller son poing dans la figure de quelqu’un. C’est comme une caresse, mais trop forte. Une caresse, c’est bien plus gentil. J’aurais peut-être mieux fait de laisser ma main glisser sur le bras de Peter. Ç’aurait été plus agréable pour nous deux. Et je n’aurais pas mal aux doigts. Je me lève et titube vers la porte. Je dois m’appuyer au mur pour garder l’équilibre, mais comme il est solide, ça n’est pas un problème. J’avance d’un pas incertain dans le couloir, en gloussant de mon incapacité à me tenir droite. Je suis redevenue aussi godiche que quand j’étais petite. Ma mère me disait souvent en souriant : « Fais attention où tu poses les pieds, Beatrice. Je ne voudrais pas que tu te fasses mal. »Je sors. Dehors, le vert des arbres me paraît plus intense, j’en sentirais presque le goût. D’ailleurs, je crois bien que je le sens ; il a le même goût que l’herbe. J’en ai mâché une fois quand j’étais petite, pour voir comment c’était. Je manque de tomber des marches à cause du tangage et j’éclate de rire lorsque les brins d’herbe chatouillent mes pieds nus.

– Quatre ! crié-je.

Qu’est-ce que j’ai à appeler un chiffre ? Ah oui, c’est son nom. Je recommence :

– Quatre !

– Tris ? dit une voix depuis les arbres sur ma droite. On dirait presque que c’est l’arbre qui a parlé. Je glousse, mais bien sûr, ce n’est que Tobias, qui se penche pour passer sous une branche.

Je cours vers lui et le sol penche brusquement sur le côté. Je vacille et sa main se pose sur ma taille, me redresse. Ce contact envoie une décharge dans tout mon corps, qui s’enflamme comme si ses doigts avaient allumé un feu à l’intérieur. Je m’approche, me blottis contre lui et lève la tête pour l’embrasser.

– Qu’est-ce qu’ils t’ont… commence-t-il.

Je le fais taire avec ma bouche. Il m’embrasse à son tour, mais à la hâte. Je soupire lourdement

– Ça, c’était raté, dis-je. Bon, pas raté, mais…Je me hisse sur la pointe des pieds pour l’embrasser de nouveau. Il m’arrête en posant ses doigts sur mes lèvres.

– Tris, qu’est-ce qu’ils t’ont fait ? Tu te comportes comme une dingue.

– C’est pas très gentil de dire ça, protesté-je. Ils m’ont mise de bonne humeur, c’est tout. Et maintenant, j’ai super envie de t’embrasser. Si tu pouvais te détendre un peu…

– Plus tard. D’abord, je veux comprendre ce qui se passe.

Je fais la moue comme une gamine, quand soudain toutes les pièces se mettent en place dans ma tête, et je lui souris jusqu’aux oreilles.

– C’est pour ça que tu m’aimes bien ! m’exclamé-je. Parce que toi non plus, tu n’es pas très sympa. Maintenant, je trouve ça bien plus clair.

– Viens, on va voir Johanna.

– Moi aussi, je t’aime bien.

– Tu m’en vois ravi, réplique-t-il d’un ton neutre. Allez, viens ! Oh, bon sang. Il va falloir que je te porte. Il me soulève, un bras sous mes genoux et l’autre dans mon dos. Je passe les miens autour de son cou et je l’embrasse sur la joue. Puis je découvre que la sensation de l’air sur mes pieds est très agréable, alors je fais des petits battements, tandis qu’il me transporte vers le bâtiment où travaille Johanna.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Carole94P 2012-11-09T11:05:11+01:00

Page 302

- Qu'est-ce que tu as fait ?! crié-je.

-Si tu meurs, je meurs aussi, me lance-t-il par dessus son épaule.Je t'ai demandé de ne pas le faire. Tu as pris ta décision. Voilà les conséquences.

Il disparaît derrière le tournant. Les dernières choses que je vois de lui et des traîtres Audacieux qui l'encadrent sont le reflet du canon du pistolet et le sang sur le lobe de son oreille.

Dès qu'il est sorti de mon champ de vision, toute énergie m'abandonne. Je cesse de me débattre et je laisse les mains de Peter me pousser vers ma cellule. Je m'affale par terre aussitôt entrée, attendant le déclic de la porte me signale le départ de Peter. Elle ne se referme pas.

- Pourquoi Tobias est-il venu ici ? me demande-t-il.

Je lui jette un coup d'oeil.

- Parce que c'est un imbécile.

- Ça c'est sûr.

J'appuie ma tête contre le mur.

- Il s'imaginait qu'il pouvait te sortir de là ? fait Peter avec un petit ricanement. C'est bien un truc de Pète-sec.

- Je ne crois pas que c'était pour ça.

Si Tobias était ici en mission de sauvetage, il l'aurait planifiée ; il serait venu avec d'autres. Il n'aurait pas débarqué seul chez les Erudits.

Les larmes me montent aux yeux et je ne fais rien pour les retenir. Je reste comme ça, à fixer mon environnement à travers un brouillard. Il y a quelques jours, je ne me serais jamais laissée aller à pleurer devant Peter, mais ça n'a plus d'importance, maintenant. C'est le moins redoutables de mes ennemis.

- Je crois qu'il est venu pour mourir avec moi, dis-je.

Je porte ma main à ma bouche pour étouffer un sanglot.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Gianinane 2013-03-29T18:43:51+01:00

Cette fois, quand il entre, je fixe le mur d’un regard noir, assise sur mon lit.

– Pas trop tôt ! commente-t-il en appuyant le front contre la porte. Je commençais à croire que ça ne passerait jamais et que j’allais devoir te laisser ici à… humer le parfum des fleurs, ou tous ces trucs dont tu parlais.

– Je vais les tuer, dis-je.

Afficher en entier
Extrait ajouté par didine67 2012-12-27T12:20:11+01:00

Elle se pince les nez en me jetant un regard noir. Son autre main tremble.

Je hurle :

- Vous avez échoué ! Vous ne pouvez pas me contrôler !

J'arrête de me débattre et je m'affaisse sur la poitrine de Peter.

- Vous ne pourrez jamais me contrôler.

Je ris d'un rire sans joie, d'un rire de folle. Je savoure la lueur sombre dans son regard, la haine affichée sur son visage. C'était une machine, froide et sans émotions, mue uniquement par la logique. Et je 'ai brisée.

Je l'ai brisée.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode