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Extrait ajouté par Laurie-AD 2014-04-01T19:06:23+02:00

-Le sérum agit au bout d'une minute, me dit-il. Soiis courageuse Tris.

Ses mots me font tressaillir : ce sont exactement ceux qu'a prononcé Tobias avant de déclencher ma première simulation.

Mon cœur s'emballe.

Pourquoi me dit-il cela? Pourquoi prends-il même la peine de m'offrir ces quelques paroles de réconfort?

Tous mes muscles se relâchent en même temps. Une sensation de lourdeur liquide envahit mes membres. si c'est ça la mort, ce n'est pas si terrible. Je garde les yeux ouverts, mais ma tête tombe sur le côté. Je veux fermer les paupières, mais je ne peux pas - je ne peux plus bouger.

Le moniteur cardiaque se met à sonner.

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Extrait ajouté par Laurie-AD 2014-04-01T18:41:07+02:00

P.280

- C'est faux, proteste-t-il avant de m'embrasser de nouveaux.

Il ne faut pas. Je n'ai pas le droit de le laisser m'embrasser en faisant l'impasse sur ce que je suis devenue et sur ce que je m'apprête à faire.

Mais je suis incapable de résister.

Je le prends dans mes bras en me haussant sur la pointe de pieds, j'appuie une main entre ses omoplates et j'enroule l'autre autour de sa nuque. Je sens son souffle contre mon oreille, sa poitrine qui se contracte et se dilate, et je sais qu'il est fort, solide, assez pour que rien ne l'arrête. Tout ce que j'aurais besoins d'être.

Il prend mon visage entre ses mains. Ses doigts glissent le long de mon cou, coulent jusqu'à ma taille, épousent la courbure légère de mes hanches.

Je ne peux plus m'arrêter.

Ma bouche se colle à la sienne. Il a le goût de l'eau et l'odeur de l'air frais. Mes mains descendent au creux de ses reins et se faufilent sous sa chemise. Son baiser redouble d'ardeur.

Je mesure de nouveau toute sa force en sentant les muscles de son dos se contracter sous mes doigts.

"Arrête", me dis-je.

Soudain, ses mains frôlent ma taille sous ma chemise tandis que les miennes s’agrippent à lui, comme si le temps nous manquait, dans un besoin irrationnel de nous rapprocher encore, même s'il n'y a déjà plus d’espace entre nous. Je n'ai jamais eu envie de lui comme ça, ni autant.

Il s'carte juste assez pour me fixer entre ses paupière mis-closes.

-Promets-moi que tu n'iras pas, murmure-t-il. Pour moi. C'est tout ce que je te demande.

En suis-je capable? Est-ce que je pourrais rester ici, arranger les choses entre nous en faisant ce qu'il attend de moi, en laissant quelqu'un d'autre mourir à ma place? Je lève les yeux vers lui et il me semble un instant que oui. Puis je revois Will. Sa petite ride entre les sourcils. Son regard vide sous l'emprise de la simulation. Son corps inerte affalé sur le trottoir.

"C'est tous ce que je te demande". Les yeux sombres de Tobias m'implorent. Mais si je ne vais pas chez les érudits, qui le fera? Tobias? C'est le genre de chose dont il serait capable.

-Ok, dis-je, la poitrine traversée d'un coup de poignard à l'idée que je lui mens.

-jure-le-moi, insiste-t-il, les sourcils froncés.

La douleurs se répand dans tout mon corps, mélange de culpabilité, de terreur et de désir.

-Je te le jure.

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Extrait ajouté par Rocksane 2014-02-23T15:06:11+01:00

J'ai un message pour les Divergents.

Je suis une Divergente.

Il ne s'agit pas d'une négociation.

Non, en effet.

C'est un avertissement.

J'ai compris.

Ceci se reproduira...

Ça n'arrivera plus jamais.

... tous les deux jours, jusqu'à ce que l'un de vous se livre au siège des Érudits.

J'irai.

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Extrait ajouté par ZIAN 2014-02-14T17:44:24+01:00

Moi, je crois que nous pleurons pour exprimer la part animale qui est en nous sans renoncer à notre humanité. parce que, en moi, il y a une bête qui gronde et qui grogne et se bat pour retrouver la liberté, retrouver Tobias et, par-dessous tout, rester en vie. Et quoi que je fasse, je ne peux pas la tuer.

Alors je pleure, le visage entre les mains.

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Extrait ajouté par Lara2011 2013-12-28T07:45:28+01:00

Page 319.

« La porte s'ouvre et je vois Peter dans le couloir, qui me fait un signe.

- Viens. Tu peux voir tes images, maintenant.

Je descends du plateau et je le rejoins. Il me regarde en secouant la tête.

- Quoi ? demandais-je.

- Je ne comprends pas comment tu fais pour toujours obtenir ce que tu veux.

- Bien sûr, parce que c'est moi qui ai voulu être enfermée dans une cellule au siège des Érudits et me faire exécuter. »

Dialogue entre Tris et Peter.

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Extrait ajouté par Lara2011 2013-12-28T07:26:28+01:00

Page 422. Les mots en majuscules sont en italique dans le livre.

« - Qu'est-ce que tu fais ici ? me demande-t-elle.

- Je suis venue prévenir Johanna de ce qui se passait. Et demander de l'aide.

- À moi ? Mais pourquoi...

- Pas à toi en particulier, dis-je, en évitant de penser à la remarque qu'elle a faite sur mon nez. À vous tous. J'ai un plan pour sauvegarder une partie des données de votre faction, mais j'ai besoin de vous pour ça.

- En fait, déclare Christina en surgissant derrière mon épaule gauche, ON a un plan.

Cara nous regarde l'une après l'autre avant de reposer les yeux sur moi.

- Tu veux aider les Érudits ? s'exclame-t-elle. TOI ? J'ai du mal à comprendre. »

Dialogue entre les réfugiés Érudits chez les Fraternels - dont Cara - et Christina-Tris.

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Extrait ajouté par Ezyl 2013-06-23T19:55:52+02:00

Je ne peux pas m'imaginer vivre comme ça, en faisant le compte permanent de ce qui m'a été donné et de ce que je devrais en retour, incapable d'amour, de loyauté ou de pardon, comme un borgne qui chercherait quelqu'un d'autre à éborgner à son tour.

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Extrait ajouté par LolaR 2013-06-09T18:02:57+02:00

( p450) J'ai découvert que les gens sont constitués de multiples couches de secrets. On croit les connaître, les comprendre, mais leurs motivations nous restent toujours cachées, enfouies au fond de leur cœur. On ne peut jamais savoir qui ils sont vraiment. Mais on peut parfois décider de leur faire confiance.

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Extrait ajouté par anonyme 2013-05-08T08:39:28+02:00

JE M'ÉVEILLE avec son nom à la bouche. Will.

Les yeux fermés, je le revois qui s'affale sur le trottoir. Mort. Et c'est moi qui l'ai tué.

Tobias s'accroupit devant moi, une main sur mon épaule gauche. Le wagon tressaute sur les rails. Marcus, Peter et Caleb sont debout devant la portière ouverte. Je gonfle mes poumons et je bloque ma respiration dans l'espoir de soulager un peu le poids qui m'oppresse.

Il y a encore une heure, rien de ce qui est arrivé ne me semblait réel. Maintenant, si.

J'expire, et le poids est toujours là.

- Allez, viens, Tris, me dit Tobias, ses yeux fouillant les miens. On doit sauter.

Il fait trop sombre pour voir où on est, mais si c'est le moment de descendre, on ne doit pas être loin de la Clôture. Tobias m'aide à me lever et me guide jusqu'à la portière.

Les autres sautent : d'abord Peter, puis Marcus et enfin Caleb. Je prends la main de Tobias. Debout dans l'encadrement, je sens la pression du vent qui me repousse vers l'intérieur, vers la sécurité.

Pourtant, on se jette dans le noir et on atterrit lourdement sur la terre ferme. Le choc réveille la douleur de ma blessure à l'épaule. Je me mords la lèvre pour retenir un cri et cherche mon frère des yeux.

Il est là, assis dans l'herbe, en train de se frotter le genou.

- Ça va ?

Il me fait oui de la tête. Je l'entends renifler comme s'il ravalait des larmes et je détourne le regard.

On a sauté près de la Clôture, à quelques mètres du portail que franchissent les camions de ravitaillement des Fraternels sur le chemin de la ville et qui, fermé, nous bloque à l'intérieur. La Clôture se dresse au-dessus de nous, trop haute et pas assez rigide pour être escaladée, trop massive pour être abattue.

- Il y a des gardes Audacieux ici, normalement, dit Marcus. Où sont-ils passés ?

- Ils ont dû être soumis à la simulation, répond Tobias. Maintenant... qui sait où ils sont et ce qu'ils font.

On a arrêté la simulation - le poids du disque dur dans ma poche arrière est là pour en témoigner -, mais on ne s'est pas attardés pour découvrir les conséquences. Qu'est-il arrivé à nos amis, à nos camarades, à nos chefs, à nos factions ? Impossible de le savoir.

Tobias s'approche d'un petit boîtier métallique fixé à droite du portail et l'ouvre, révélant un pavé numérique.

- Espérons que les Érudits n'ont pas eu l'idée de changer la combinaison, dit-il en tapant une série de chiffres.

Il s'arrête au bout du huitième et la serrure s'ouvre (...)

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Extrait ajouté par Oackley 2012-11-19T08:01:13+01:00

-pour vous prouvée la véracité de mes paroles je vais vous révélé ma nouvel identité....Je me nomme désormais Edith Prior.

Prior...

Les lumières s'éteignent et tous se mettent a crier...

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