Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 768
Membres
1 013 683

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par issvny 2018-04-02T10:14:16+02:00

- Euh... ça va, ton nez ?

- Très bien. Je trouve que le bleu fait ressortir mes yeux, pas toi ?

Afficher en entier

"La politesse, ce n'est que de la fausseté dans un papier cadeau."

Afficher en entier

Quand elle a heurté le filet, je n'ai vu qu'une tache grise.

Je l'ai tirée pour l'aider et sa main était menue mais tiède, et puis elle s'est redressée, petite et mince et ordinaire et absolument sans rien de remarquable – mais elle avait sauté la première. La pète-sec avait sauté la première.

Même moi, je n'avais pas sauté le premier.

Son regard était sérieux, insistant.

Magnifique.

Afficher en entier

Je n'appartiens ni aux Altruistes ni aux Audacieux, ni même aux Divergents. Je n'appartiens pas au Bureau ni à la ville, ni à la Marge. J'appartiens à ceux que j'aime, et ils m'appartiennent. Ce sont eux, et l'amour et la loyauté que j'ai pour eux, qui me donnent mon identité, bien plus qu'un groupe ne pourra jamais le faire.

J'aime mon frère. Je l'aime et il tremble de terreur à l'idée de mourir. Je l'aime et tout ce qui me vient en tête, tout ce que j'entends, ce sont les mots que je lui ai dits il y a quelques jours:

"Jamais je ne participerais à ton exécution."

- Caleb. Donne-moi le sac à dos.

- Quoi ?

Je sors mon pistolet et je le braque sur lui.

- Donne-moi le sac!

- Tris, non, me répond-il en secouant la tête. Non, je ne peux pas te laisser faire ça.

[...]

- Je suis très résistante aux sérums, dit-je à mon frére. J'ai une chance de survivre à celui-ci. Toi, tu n'en as aucune. Donne moi le sac à dos ou je te tire une balle dans la jambe et je le prends moi-même.

Puis je hausse la voix à l'adresse des gardes:

- C'est mon otage! Si vous approchez, je le tue!

A cet instant, Caleb me rappelle mon père. Son regard est triste et fatigué. Son menton est bleui par une barbe d'un jour.

Il me tend le sac avec des mains tremblantes.

Je le balance sur mon épaule et je mets mon frère entre moi et les gardes sans cesser de le viser.

- Caleb, je t'aime.

Ses yeux brillent de larmes tandis qu'il me répond:

- Moi aussi je t'aime, Béatrice.

- A terre! crié-je pour être entendue des gardes.

Caleb tombe à genoux.

- Si je ne m'en sors pas, dis à Tobias que j'aurais vraiment voulu rester avec lui.

Afficher en entier

- Écoute, je pensais que j'avais besoin de temps pour savoir si je pouvais te pardonner. Mais ce que je pense maintenant, c'est que tu n'as rien fait qui exige mon pardon, si ce n'est peut-être de m'avoir accusée d'être jalouse de Nita...

Il ouvre la bouche pour intervenir, mais je l'arrête en levant la main :

- Si on reste ensemble, je vais devoir passer mon temps à te pardonner, et si tu restes dans le même état d'esprit, tu devras passer ton temps à me pardonner, toi aussi. Donc le pardon n'est pas vraiment la question. Celle que j'aurais dû me poser, c'est si on peut être bénéfique l'un pour l'autre. (...)

- Et ? me demande-t-il, la voix, le regard et les mains mal assurés.

- Et, dis-je, je crois que tu restes la seule personne à l'esprit assez affuté pour affûter quelqu'un comme moi.

- Ça, c'est clair, commente-t-il d'un ton bourru.

Et je l'embrasse. (...)

Je suis tombée amoureuse de lui. Mais je ne reste pas avec lui par défaut, juste parce qu'il est là et qu'il n'y a personne d'autre. Je reste avec lui parce que je le choisis, chaque matin ou je me réveille, chaque matin où on se dispute, où on se ment, où on se déçoit. Je le choisis chaque jour, et lui aussi me choisit.

Afficher en entier

- OK, dit-je. Je viendrai. Mais n'imagine pas une seconde me faire avaler que son intéret pour toi se limite à ton code génétique.

- Bien. Et toi, n'imagine pas non plus que je m'intéresse à qui que ce soit d'autre que toi.

Il passe la main derrière ma tête et m'attire à lui pour m'embrasser.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lilise08 2017-12-03T13:50:12+01:00

Il y a beaucoup de façons d'avoir du courage. Ça exige parfois d'offrir sa vie pour quelque chose de plus grand que soi, ou pour quelqu'un. D'autres fois, le même but exige de renoncer à tout ce qu'on a connu, à tous ceux qu'on a aimés.

Mais pas toujours.

Parfois, le courage, c'est juste de serrer les dents contre la souffrance, et de s'efforcer d'avancer au jour le jour, lentement, vers une vie meilleur.

C'est le genre de courage que je dois trouver.

Afficher en entier

Extrait du point de vue de Tobias.

- Qu'est-ce qui se passe ?

Elle secoue la tête sans répondre.

- Où est Tris ?

- Je suis désolée, Tobias.

- Désolée pour quoi ? s'énerve Christina. Tu va nous dire ce qui s'est passé ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par missmiss 2017-08-03T17:42:50+02:00

"J'appartiens à ceux que j'aime, et ils m'appartiennent. Ce sont eux, et l'amour et la loyauté que j'ai pour eux, qui font de moi ce que je suis, bien plus qu'aucun groupe ne pourra jamais le faire."

Afficher en entier

À l'autre bout du dortoir, un stylo rouge entre les dents, Peter empile des livres pour les fourrer dans un sac. Puis il sort et j'entends son sac battre contre sa cuisse dans le couloir. J'attends qu'il se soit éloigné pour me tourner vers Christina.

- J'avais décidé de ne pas te poser de questions, mais je ne peux pas me retenir: il y a un truc entre Uriah et toi?

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode