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Extrait ajouté par Moridiin 2016-01-09T20:26:41+01:00

Lucky se réveilla un matin, surpris de trouver Bo allongé contre lui, recroquevillé contre son dos. Il se redressa en sursaut. Eh merde ! Ils étaient tous les deux en retard !

Bo grommela contre le matelas :

— C’est samedi. Art surveille le docteur. On peut faire la grasse matinée.

Secouant sa tête pour chasser les brumes du sommeil, Lucky jeta un oeil au réveil. 9 h. Putain, il avait bien dormi. Il se rallongea, mais, malheureusement, il était maintenant pleinement éveillé. Tout comme son entrejambe.

— Hm ... Bo ?

— Tu me touches avant 10 h, t’es mort.

Ils ne sortirent du lit qu’à midi et demi, tous les deux un peu décoiffé.

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Extrait ajouté par Folize 2019-02-09T14:13:13+01:00

- Tu es aussi gay que moi, n’essaye même pas de le nier.

Lucky croisa les bras sur son torse, laissant dépasser la main qui tenait sa tasse de café pour protéger le précieux breuvage.

Son affirmation était bonne, mais quelles preuves avait-il ?

- Quelle que soit la situation, tu ne peux pas affirmer sans preuve.

Il agita la main vers la clinique sous leur perchoir.

- Alors, qu’est-ce que tu as ?

Se souvenant d’où ils se trouvaient, Bo dirigea à nouveau une partie de son attention sur le parking. Un SUV familier s’y arrêta, et Lucky reprit lui aussi ses jumelles.

- Preuve numéro un : tu m’as embrassé, tu te souviens ? Deux : tu es fasciné par mon cul. Oh ! ne nie pas, je t’ai vu me mater.

Trois : tu t’es vendu tout seul au club de sport, sous la douche. Les hétérosexuels jettent un coup d’œil pour comparer, mais ils ne restent pas bouche bée et ils ne se mettent pas à bander. Je suis prêt à parier que tu es capable de réciter mot pour mot ce que dit mon tatouage.

Tatouage ? Comment Lucky avait-il fait pour le rater ? Son sexe se dressa, réclamant son attention.

- J’ai pas vu de tatouage.

Il baissa suffisamment ses jumelles pour voir Bo du coin de l’œil.

Bo laissa apparaître un sourire démoniaque.

- Je t’ai eu !

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Extrait ajouté par Moridiin 2016-01-08T21:10:09+01:00

— Le porc est bourré de produits chimiques cancérigènes.

Bo retira un paquet de bacon du caddie qu’ils partageaient et le remit en rayon.

— Mais j’aime le goût de ces produits chimiques, rétorqua Lucky en remettant le paquet dans le caddie.

— Tu as dit que je cuisinais. Et je refuse de préparer des aliments cancérigènes.

Le paquet retourna avec les autres dans le frigo.

— Si.

— Non. Je ne contribuerai pas à ta mort par crise cardiaque, AVC ou cancer.

Bo détourna le caddie et se dirigea vers les fruits et légumes.

Oh, merde !

— Oh mon dieu. Tu es un de ces amoureux de la nature mangeurs de verdure, c’est ça ? Tu es en train de me dire que je vais passer les je-ne-sais-combien de semaines à venir à brouter comme une vache ?

En théorie, Lucky savait que les végétariens existaient, mais il ne se souvenait pas d’en avoir jamais rencontré en vrai. C’étaient pas censé être des petits geeks à lunettes ? Comment Bo arrivait-il à garder une telle carrure en se nourrissant de laitue ?

— OK, monsieur le maniaque de la nourriture saine, réponds à ça : comment on est censés avoir notre dose de protéines si on mange pas de viande ?

— Tu vas voir, T-Rex, tu vas voir.

— T-Rex ?

Bo ramena ses mains contre ses épaules en agitant les doigts.

— Gros carnivore vicieux à petits bras.

Il sautilla hors d’atteinte du coup de Lucky.

— Comme tu viens de le prouver.

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Extrait ajouté par Moridiin 2016-01-08T21:03:19+01:00

— Le Nouveau ?

Silence.

— Petit ?

— Je ne m’appelle pas comme ça.

— Chaton, c’est pas le moment de faire ta diva. Je veux que tu ajoutes l’heure d’arrivée et de départ de chaque voiture. Tu penses pouvoir le faire ?

La réponse âpre de Bo avait étrangement l’air de parvenir d’une bouche fermée.

— J’ai fait quatre ans de prépa et quatre autres de pharmacie pour être ton secrétaire.

Sans se laisser démonter, Lucky lui envoya son meilleur regard offensé, portant la main à son coeur blessé.

— Je ne te vois certainement pas comme mon secrétaire : je te considère comme mon assistant administratif – avant d’ajouter, une demi-seconde plus tard : Ou ma salope – comme tu préfères.

— Mais va te faire foutre ! répondit Bo d’une voix étranglée.

— Où tu veux et quand tu veux, réussit à rétorquer Lucky en utilisant la moitié de son cerveau

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Extrait ajouté par Linkdramas 2015-07-01T17:16:52+02:00

— Quoi ?

Lucky souleva une paupière, jetant un regard torve à son partenaire.

— C’est dimanche, je dors.

— Hors de question. Hier on a perdu toute la journée à regarder des sitcoms, alors aujourd’hui, ménage.

Lucky leva tout juste assez la tête pour évaluer l’état de la chambre d’un coup d’œil flou. Depuis le lit, il aperçut deux jeans, une paire de chaussures, un tee-shirt ou deux – tous à lui – et ce qui ressemblait à l’intégralité de sa collection de chaussettes.

Sur la table de nuit se trouvaient trois canettes de bière. Il les souleva une à une. Merde. Vides.

— T’as fait du café ? J’ai l’impression que quelque chose est venu mourir dans ma bouche.

— Je n’en sais rien pour ce qui est de mourir, mais quelque chose est venu dans ta bouche, ricana Bo. Deux fois.

Grogner n’améliora pas sa gueule de bois. Une tasse de café apparut sous son nez, l’odeur bienvenue de ce que Bo lui préparait chaque matin éclaircissant légèrement son esprit.

Roulant sur le côté et jetant ses jambes par-dessus le bord du lit, Lucky manqua de trébucher sur une boîte de pizza.

— Putain ! Qu’est-ce qu’on a fait hier soir ?

— Tu poses la question ? Peut-être que je devrais demander à Keith d’installer des caméras.

— N’essaye même pas.

Bo s’amusait bien trop. Lucky tendit la main, attrapa la tasse et engloutit la moitié de son contenu. Le café brûla sa gorge.

— Bois ça, prends une douche et du paracétamol, et nettoie cette chambre.

Il donna une petite tape sur sa tête déjà douloureuse.

— Je m’occupe de la cuisine et du salon. Tu fais ta salle de bain, moi la mienne, et je fais une machine si tu plies et ranges le linge.

À cet instant, tout ce qui intéressait Lucky était de se débarrasser de M. Guilleret, de se rallonger et de dormir en attendant que le mal de tête passe. Il aurait dû prévoir que, au moment où sa tête touchait l’oreiller, Billy Ray Cyrus se mettrait à beugler à plein volume dans la stéréo du salon.

— Il y a une raison au célibat de ce type, marmonna-t-il en se frayant un chemin jusqu’à la salle de bain.

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Extrait ajouté par Moridiin 2016-01-08T21:11:41+01:00

Il s’éloigna dans l’allée, s’arrêtant au bout pour brandir une boîte de thé vert.

— T’es besoin de ça ou tu préfères t’arrêter dans un champ sur la route pour que ce soit plus frais ?

— Donne-moi ça !

Se servant du caddie comme d’un skate, Bo le rattrapa et arracha la boîte des doigts de Lucky.

— Je ne peux pas te sortir et espérer que tu te comporteras de manière civilisée, n’est-ce pas ?

Il remit la boîte sur l’étagère et en choisit une autre.

— Je ne bois que du décaféiné.

Lucky frémit. C’était un sacrilège.

Une femme d’âge mûr jeta un oeil par-dessus le coin de l’allée, les yeux écarquillés et les mains tordant son pull. Voyant les deux hommes la fixer, elle se retira derrière les boîtes de conserve.

— Voilà ! grogna Bo. Maintenant, tu fais peur aux petites vieilles.

— Moi ? C’est toi qui t’énerves pour un rien !

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Extrait ajouté par Moridiin 2016-01-08T21:09:13+01:00

Sans se préoccuper de la tâche de Lucky, Bo continua leur échange acerbe.

— Tu es un putain de cas, on ne te l’a jamais dit ?

Concentré sur le parking, Lucky eut recours à une répartie toute faite.

— Hm hmm. Tu veux voir mon « putain de cas » ?

— Je l’ai aperçu dans la douche – non pas que je l’ai voulu. Pas de quoi se vanter.

Lucky manqua de s’étrangler. Ça faisait une éternité qu’il n’avait pas eu d’adversaires digne de ce nom et il ne s’était pas préparé à ce crochet du droit verbal.

— T’es sûr ? Peut-être que t’as besoin d’y regarder de plus près.

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Extrait ajouté par EliSM 2017-03-20T12:54:34+01:00

- Putain, t'étais obligé de m’entraîner là-dedans ? De me présenter et tout ?

- Que'est-ce que tu voulais que je lui dise ? Salut, doc, voilà un plan cul ramassé dans un bar hier soir ?

La malice dans ses yeux prouva qu'il aurait aussi pu le faire. Excellent. Mais Bo n'avait pas fini.

- Et ne viens pas me dire que tu n'es pas jaloux que je sois à l'intérieur alors que tu es assis tout seul dans un parking à faire des dessins reliant les merdes de pigeon sur le capot.

Il savait que Lucky faisait ça ?

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Extrait ajouté par La-bibliophilie-dAlaine 2021-09-01T14:03:00+02:00

« L’apparition soudaine de Walter, et l’imaginer en maillot de bain mit immédiatement fin à l’érection grandissante de Lucky. Ça marchait à chaque fois. Walter souffrait de ce que les gens du sud appelaient le « syndrome du chevauchement », comme dans « le chevauchement de la ceinture par le ventre ». »

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Extrait ajouté par La-bibliophilie-dAlaine 2021-09-01T14:02:53+02:00

« L’absence de manteau accordait à Lucky une merveilleuse vue sur de généreuses fesses rondes et fermes enfermées à l’intérieur d’un pantalon de costume. Bo s’arrêta de marcher pour ouvrir la porte et Lucky manqua de lui rentrer dedans, trop occupé à apprécier le postérieur remarquable de l’homme pour regarder où il allait. »

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