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Commentaires de livres faits par djemilath

Extraits de livres par djemilath

Commentaires de livres appréciés par djemilath

Extraits de livres appréciés par djemilath

« Son gémissement retentit un instant avant qu’un flot épais de sa semence chaude jaillisse dans ma bouche. Je suce son gland, déterminé à ne pas rater la moindre goutte de son nectar. Ma propre délivrance n’a pas besoin de bien plus pour que des jets de mon sperme viennent s’abattre sur le sol de la douche avant de suivre l’eau jusque dans la canalisation.
Edge passe ses mains sous mes bras et me redresse jusqu’à lui. Sa bouche se pose contre la mienne, et il lèche la semence qui y reste.
— Putain, je pourrais bien m’y habituer, lance-t-il en reculant pour plonger son regard dans le mien.
— Tant mieux, pouffé-je. Parce que maintenant que j’ai trouvé mon chez-moi, je ne compte pas partir. »

Extrait de: Aria Grace. « La Voute ; Edge. » iBooks.
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date : 02-10-2017
Et si on jouait au docteur?

Tu veux que j'arrache ton jean ? Que je te mette à quatre pattes et que je te donne la fessée jusqu'a t'en faire rougir les fesses? Jusqu'a ce que mes doigts glissent entre tes cuisses pour voir à quel point tu mouilles?
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À travers la baie vitrée, Cyriaque pouvait retrouver cette vue de son building qu'il appréciait tant regarder pour se calmer, il inspira profondément. Il se redressa encore et encore pour sentir les muscles de ses jambes, des jambes maintenant guéries. Il se mit à marcher à travers son bureau d'un pas lent, pour sentir ses talons au contact du carrelage. Il ferma les yeux en inspirant profondément, puis s'était assis sur le bord de son bureau en regardant ce qui lui appartenait. La vaste pièce était silencieuse, il retrouvait tout son mobilier design et parfaitement carré. Jusqu'à sa salle de réunion. Voilà maintenant presque un an qu'il avait quitté son travail et le retrouver ne lui apporter pas toute satisfaction. D'une respiration bruyante,  il avait fait le tour de son bureau, et parmi ses nombreux dossiers posés dessus, un seul était bien centré au milieu. Il prit possession de son fauteuil en cuir, il serra les dents en ouvrant le dossier précieux, ses doigts s’étaient crispés sur les photos. La première était la plus belle, voici pourquoi il l'avait mise au-dessus des nombreuses photos.
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Nora enfila son manteau et inspira un grand coup. Son cœur battait déjà rapidement. Ses mains étaient déjà moites. — Ça y est tu es prête ? Demanda Stephanie. Nora l'ignorait, elle jeta un regard sur Stéphanie en forçant un sourire.  — Prête ! De toute façon qu'est-ce que je risque ?  Son amie pencha sa tête sur le côté.  — Voir l'inaccessible milliardaire en convalescence !  — Ce n'est pas un risque Stéphanie, et de toute façon j'y vais sans m'attendre à être acceptée je n'ai pas beaucoup d'expérience.  Nora attrapa sa chemise.  — Dieu ! Que tu as de la chance ! S'écria-t-elle en léchant sa cuillère.  Nora secoua de la tête pour réprimander son amie d'un regard.  — Il faudra que tu m'expliques un jour pourquoi tu manges de la glace dès le matin. Dit Nora en exprimant son dégoût d'une grimace.  Son amie pointa sa cuillère sur elle.  — Et toi tu devrais manger plus au lieu de poser des questions.  D'un sourire complice, Nora expira en serrant sa chemise contre elle.  
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La nuit commençait à tomber, mais pourtant la civilisation était toujours aussi présente, Grace leva faiblement le regard sur la vitre du café et observa la rue à peine éclairée, sans lune. Elle reposa sa tête entre ses mains, et tenta en vain de se concentrer sur son livre.  Le bruit presque sourd du café, lui donnait mal à la tête. Au bout de ses lèvres, un mélange d’émotions manquait de se déverser. Elle expira difficilement, quand une odeur qui lui était étrangement familière se mit à emplir son corps et son esprit. Elle croyait rêver ou devenir tout simplement folle. Mais une main robuste, se posa à l'extrémité de son coude. Grace crut d'abord qu'elle se faisait tout simplement aborder par un inconnu. Immédiatement, elle se recula contre le canapé en cuir pour buter contre la vitre. Elle pivota son corps.
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Sous la grisaille, la ville de New-York prenait des airs désastreux, mais pourtant la civilisation se pressait dehors pour se rendre à leur travail. Chaque seconde n'était pas figé, les parapluies noirs étaient de sortie, les femmes en talons aiguilles marchaient à une allure maîtrisée au risque de se tordre une cheville.  Grace s'était abritée sous un petit abri au loin, guettant l'arrivée du bus. Elle essuya son visage et s’entoura de ses bras pour se réchauffer. La mauvaise idée de Savana lui poserait sûrement des problèmes et le premier était en train de lui valoir une bonne crève.  Un jeune homme s'était mis à courir et vint se cacher au même endroit qu'elle. Grace jeta quelques coups d'œil dans sa direction et se retourna dans le sens inverse.

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Il rigole, effaçant momentanément l’ombre de Gabriel de mes pensées, mais l’effet ne fait pas long feu. À peine arrivée à mon poste, un mail de Gabriel m’attend dans ma boîte de réception et m’exhorte de le rejoindre immédiatement dans son bureau. Je suis tellement énervée que je manque d’écraser ma souris entre mes doigts. Je m’y rends comme si je piétinais des nids de taupe sous mes talons. Je cogne contre sa porte avec un peu trop de poigne et n’attends pas qu’il me permette d’entrer. En avisant mon regard irrité, il se carre dans son fauteuil et passe son index sur ses lèvres, son arrogante chevalière brillant de mille feux. Nullement déroutés, ses iris de glace balaient mon visage. Le sien est si impassible que je n’arrive pas à déterminer ce qu’il pense.   Je ne m’assois pas et reste figée devant son bureau. Mes jambes sont presque engourdies tant je suis contractée.   Devant ma mine rigide, il finit par pousser un soupir, masquant à peine son impatience, et, comme si c’était une torture pour lui de me l’avouer, lâche   d’une voix rauque  :   –  C’est toi que je veux, Ashley.   Sa phrase fond quelque part dans ma poitrine, fêlant mon cœur et mon armure. J’ai l’impression de me prendre une semi-remorque en plein visage. J’en reste vacillante, comme deux ronds de flanc.
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She wants me, maybe as much as I her, but she’s going to fight it. All I have to do is unlock that feeling, get deep under her skin. So eventually, I can get deep inside of her, and take what I’m really here for. It’s crazy, it’s sick, it’s wrong. But my blood is hot and pumping in my ears, and it’s not because I’m getting married. It’s because I keep picturing my soon-to-be stepdaughter’s dress torn off her body as I fuck her tight pussy rough and make her beg for more.
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Debout devant le miroir de mon salon/chambre/salle de bains, j’observe la jeune femme qui se tient face à moi. Cette fille qui, il y a quarante-huit heures encore, hésitait à se jeter du haut d’un pont. C’est fou comme un détail, aussi infime soit-il, peut tout chambouler. Retour en arrière ou grand pas en avant ? Bonne question.
Toujours est-il que ce soir, je vais dîner avec le beau commissaire Coret.
Oui, je n’ai pas pu résister à son regard suppliant plongé dans le mien. Le « demain soir » est sorti tout seul et Evahn n’a pas eu l’air d’être offusqué par la rapidité de ma réponse. Bien au contraire. Il a tout de suite enchaîné avec un « 20 h 30 au Paris, rue Clébert. Ne soyez pas en retard ».
Le « Ne soyez pas en retard » a provoqué un certain cataclysme dans tout mon être. Le ton, la lenteur, sa bouche entre-ouverte, cette façon de presque m’ordonner quelque chose, m’a chamboulée.
En attendant, mon taxi est censé venir me chercher d’une minute à l’autre et je ne suis toujours pas décidée sur ma tenue. Je contemple la petite robe noire fièrement suspendue au cintre. Un petit décolleté léger sur le devant et un peu plus profond dans le dos. Une tenue des plus chic et des plus sexy.
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date : 15-04-2017
“I’m so crazy about him I can’t stand it. I can’t stand the thought of never touching him, of never feeling him touch me…” “Imagine his mouth… imagine his tongue… shit, Helen, can you imagine his hot lips around your nipples? His tongue flicking at you…” She giggled as her palm gazed my breast, but it wasn’t funny. “It’s ok,” she whispered. “Touch yourself, I don’t mind. We’re best friends forever, Hels, we can share anything. Anything, I promise.” A little giggle, coaxing me. “Tell me what you want him to do to you…” I shouldn’t. I really shouldn’t. But my hand was already between my legs, slipping inside my panties. “Oh God, Lizzie, I want him to fuck me…” “Yes…” “I want him to be rough… I want him to lose control… I want him to tie me up, until I can’t move… I want to beg him to take me… I want to hear him come… I want to hear him moan… I want to taste him…” “He could teach you… teach you dirty…” “Yes… that’s what I want… God, yes…” My fingers circled my clit, slowly, trying to hide it. “I want to feel his mouth… I want him to spread me open… I want him to see me… all of me…”
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date : 15-04-2017
t was gone 1am when her key sounded in the lock. I’d decimated the beers in the fridge and switched over to Channel XXX, stroking my cock to a horny little threesome with three young blondes. I stuffed my prick out of sight, flicking through the channels to something innocuous. Georgia was trashed. She smacked her shoulder on the doorway as the teetered her way in, pirouetting gracelessly on the rebound and landing in a heap at my side. I caught a glimpse of white lace panties under her skirt, and if she’d been sober she’d have seen how my hungry eyes lingered, my palm brushing the hard-on under my suit trousers.
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date : 15-04-2017
“Thanks,” I’d said. He’d sparked up his lighter for me and cupped his hand around the end of the cigarette, and I’d leaned in, trying my best not to look like an idiot as my stomach churned and my heart raced. I’d never smelled success before, but he reeked of it. “You could get arrested for this, you know.” I’d grinned after taking a drag. “Supplying cigarettes to a minor.” He laughed the kind of confident laugh that made my heart race even more. “They could try.” I didn’t know he was one of the country’s top criminal lawyers back then. Didn’t know his name was Alexander James Henley Jnr. and he employed over five hundred legal staff at his swanky London law firm. I had no idea at all that the papers called him the puppet master, or that I’d come to know he has a penchant for asphyxiation games and brutal fucking. He’d just been a posh guy in a suit, until he’d smiled at me.
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date : 15-04-2017
He laughs louder. “Come on, baby girl, don’t be such a fucking tease.” His voice is leery, drunk. “Bet you sound real fucking nice when you’ve got a nice hard cock in your snatch.” My back is pressed tight against the bin, and he’s close, too close. His breath is in my face. It stinks. He stinks. He smells musty and rank, like one of mum’s old boyfriends… the window cleaner with the black tooth… the one who slipped his hand between my legs when we were watching Disney and never came over again… “You want this… I want this…” His horrible laugh is right in my ear. I feel his lips on me. “You’ve got me all worked up, baby girl… you owe me for the smoke… you owe me now… what you gonna do about it?” I look around, trying to catch sight of an exit, but there isn’t one. He’s too close, too big, and even if I made a break for it, where would I go? “Don’t…” I say. “Please…” “Gonna warm you right up, make it feel real nice, if you’re a good girl.” My chest feels tight, cold air hissing in my throat as I struggle to gulp it in. My heart is racing, but I feel disconnected, as though I’m not here, as though this is happening to someone else.
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paroxysme. Je gémis de plus en plus fort contre ses lèvres. Gabriel me fixe avec une telle intensité que je suis à deux doigts de flamber comme une torche. Sa bouche m’effleure sans m’embrasser et j’en crève, de ne pas le sentir. Comme du désir que provoque en moi ce doigt inquisiteur. Bon sang, il souhaite me rendre folle, que je le supplie de me faire l’amour dans son bureau. Une nuit. Pas de lendemain. Pas de contraintes ou de conséquences. Mais on bosse ensemble ! Comment cela pourrait-il être possible ? Il est bien trop sexy, tentaculaire, oppressant… Je veux plus d’une nuit. Je veux le sentir me combler, m’envahir. Je veux le toucher, le posséder, le garder prisonnier entre mes cuisses pour effacer son petit air arrogant. Une nuit ne me suffira jamais pour taire mon désir.  Mon Dieu, je vais me déliter sous ses caresses.  Je pousse un gémissement rauque lorsque son index s’enfonce soudain en moi, manquant de me couper les jambes de plaisir. Je m’accroche à lui, basculant de plus en plus contre son corps.  – Bon sang, Ashley… Il ferme les paupières, comme s’il savourait notre contact, et lorsqu’il les ouvre à nouveau, il murmure contre mes lèvres :
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Une jeune femme brune et mince marche d’un pas vif pour atteindre le trottoir opposé avant que le feu change de couleur. Ses cheveux courts lui dégagent la nuque, puis s’allongent devant, lui encadrant le menton. Ce n’est pas la luxuriante crinière de Lily, pas du tout. Mais quand elle tourne la tête au moment d’aborder le trottoir, je me dis qu’il pourrait bien s’agir de son visage.La portière arrière s’ouvre à la volée. M. Black bondit hors de la voiture alors que le feu passe au vert. Derrière nous, un chauffeur de taxi garde la main pressée sur l’avertisseur, mais j’entends mon employeur crier :— Lily !La jeune femme brune tourne les yeux vers nous. Fait un faux pas. Se pétrifie.Elle pâlit, elle aussi. Je vois ses lèvres articuler : Kane.Certes, les gens connaissent son visage et savent qui il est, mais l’expression de l’inconnue, où la reconnaissance le dispute à la stupeur, relève de l’intime, c’est évident. Tout comme le désespoir qu’elle ne parvient pas à dissimuler.C’est elle.
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« Je passe une main sur mon ventre et sens bouillir la colère qui sommeille en moi depuis bien trop longtemps.
Je vais le retrouver.
Je veux qu’il me regarde en face et qu’il me dise qu’il ne m’aime pas, que je n’ai jamais compté pour lui.
J’essuie rageusement mes larmes. J’ai bien trop pleuré pour lui. Il ne mérite pas mon chagrin.
Lola est de retour et elle n’est pas contente du tout…
    »

Extrait de: Louisa Méonis. « Lola S2.E2 - Petite, grosse et complètement larguée (Lola 2) (French Edition). » iBooks.
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« – Elle est parfaite, je souffle en admirant ma fille.
Je grimace en entendant Matt renifler et pleurer encore plus fort à côté de moi. Il rapproche son téléphone et cale son coude sur mon épaule pour bien filmer mon bébé sous toutes ses coutures.
– On va lui faire une petite toilette et la peser, me dit la sage-femme en me prenant mon petit bout.
Je la lâche à contrecœur.
– Qui lui fait sa première toilette ? demande la sage-femme en regardant tour à tour mon frère et Samantha.
Je vois Matt qui retient son souffle et lui fais signe de la suivre, amusée. En plus, comme ça, il lâchera enfin son fichu portable. Il prend maladroitement le sac que j’avais préparé avec les vêtements et rejoint presque en courant la sage-femme.
Mon sourire s’estompe légèrement quand mes pensées se tournent vers Jerry.
Il n’est pas venu. Je ne sais pas si quelqu’un l’a appelé, mais si ça avait été le cas, est-ce qu’il serait là ?
    »

Extrait de: Louisa Méonis. « Lola S2.E3 - Petite, grosse et prête à tout (Lola 2) (French Edition). » iBooks.
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«  J’aime bien la maison, je lâche avec un sourire en coin.
Il se passe une main sur la nuque et semble retenir son souffle.
– Je n’épouse pas les hommes que je viens à peine de rencontrer. Il va falloir se montrer un peu plus convaincant, monsieur Walker, je souffle.
– Que tu « viens de rencontrer » ? lance-t-il en souriant avant de m’attirer vers lui et de m’embrasser avec passion.
Je m’agrippe à ses cheveux et profite de la chaleur de son corps, de ses lèvres contre les miennes. Nos langues s’affrontent dans un duel sans fin. Tout à coup, il s’écarte de moi et me regarde, à bout de souffle, avant de chuchoter :
– Alors, on achète la maison ?
Je me mords les lèvres pour ne pas éclater de rire et hoche la tête.
– Je t’aime, Lola.
– Je t’aime, Jerry, Jullian, ou quel que soit ton nom ! »

Extrait de: Louisa Méonis. « Lola S2.E4 - Petite, grosse et comblée (Lola 2) (French Edition). » iBooks.
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Tom Simpson’s hideout.I parked a block away to hide my car and then walked stealthily to the small abode.I didn’t bother knocking, just turned the knob on the door. Oddly, it was open. I walked in. A nice enough home, sparsely furnished.“Tom? Come out here, you sick son of a bitch.”No response. Not that I thought there would be. I walked through the living area, down a hall, to a couple of bedrooms. One was clearly being used, but no one was there. The door to what turned out to be a bathroom was also closed, but I opened it and walked in, not caring if I might catch Tom Simpson in the middle of a crap. But it was also vacant.On the other side of the bedrooms was a small kitchen. Supplies had clearly been laid in. One more door. I opened it. It led to a dank basement surrounded by dark concrete walls. As I descended the stairs, eerie fingers seemed to crawl over my body.
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Tell me, Uncle,” I said. “You seem to think that Bryce here knows one of the abductors. Why don’t you save him and my brother a lot of heartache and tell us, right now, who it is?” My demand to Larry wasn’t altruistic, and I knew it. If Larry told Bryce about his father, I wouldn’t have to. Larry’s expression remained stoic. “I said no such thing.” “Maybe not in so many words,” I said. “But you certainly implied it.” “Again, I did no such thing.” Bryce sat next to me, his face pale, his countenance rigid. Larry’s words had gotten to him. “Then what is all this bullshit about the truth being a dark room?” I stared into my uncle’s blue eyes. “Do you really think you can handle the truth?” This time Larry was looking straight at me, not Bryce, whose eyes were focused forward. “I’ve been forced to handle things no human being should have to handle since I was thirteen years old.” I gritted my teeth. “I can deal with anything you throw my way.” Especially since I knew already what “truth” he was referring to. Larry continued staring me down. “And your friend here? A new father? You think he can handle the truth?”
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Marj piped in then. “Yeah, Jade told me about the rose. I thought it was kind of weird at first, because we don’t grow roses here on the ranch. But maybe Talon had gone into town and gotten it for her. I didn’t know.” “Neither of us thought anything about it at the time,” Jade said. Talon cleared his throat. “Then, just this morning, Jade mentioned it— that I had left a red rose on her pillow. But… I never left her a rose.” Marj shivered, running her hands up and down her arms. “I don’t feel safe here. It’s… a violation.” Talon darted his eyes back and forth. “We need to find out who it was. I can’t have Jade and Marj at risk in this house.” “Absolutely, I agree,” I said, my skin cold. “Have you called the cops?” Talon shook his head. “Not yet.” “The only evidence we have is the rose,” Jade said. “And obviously it’s all dried out now.” “I’m glad you kept it,” I said. “Maybe the cops can get prints or something.” “I don’t know how they’ll be able to,” Jade said. “I’m sure my prints are all over the stem. And getting something off the petals would be impossible.” “Still,” I said. “It’s all we have.”
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I shifted my focus to a couple of DUIs for the remainder of the day. I was due in court in the morning for arraignments. Besides, I had to let go of the Steels for a few hours. As much as I loved Talon and the rest of his family, I needed to escape it all, if only for a few hours. This research was taking its toll. When I finished work on the DUIs, I got on the Internet to look at tattoo shops in Grand Junction. Maybe I’d drive into the city over the weekend and check one of them out. Maybe find a new image. One that wouldn’t upset Talon so much. I was sipping from a bottle of water when Larry stuck his head inside my office. “I’m taking off early, Jade,” he said. “Did you need anything before I go?” I pushed some documents across my desk. “Just your signature on these.” “Sure, no problem.” He entered my office, clad in shorts, a Hawaiian-print shirt, flip-flops. “Going to the beach?” I smiled. “I wish. Nope, just taking the grandkids out for the afternoon. Do you have any plans for the weekend?” “I might go into the city.” “Yeah, what for?” “I’m thinking about getting a tattoo.” My phone buzzed. “Excuse me for a minute.” I picked up the receiver. “Yes?”
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I grabbed my cell phone off the night table where it buzzed. Marj. Of course. I couldn’t believe she had waited this long to call, but she had been in Grand Junction last night and most of today in a cooking class. I inhaled. How was I going to explain to her what had happened? We had to have this conversation sooner or later. I just hoped she wouldn’t be too angry with me for keeping my relationship with Talon a secret from her. “Hi there,” I said to the phone. “Don’t ‘hi there’ me. Where the hell are you?” “I’m in a hotel in Grand Junction. I just got back from the Carlton, where I had dinner with my mother and her current boyfriend.”
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The elderly couple finally moved, though at tortoise speed, and I stood and stretched my legs. I grabbed my carry-on out of the overhead bin and walked off the plane and into my new life. I followed the signs to baggage claim and strode toward carousel number five. I knew him before he even turned around. So tall. Taller than either of his brothers, with that signature Steel black hair curling over his collar. The white shirt stretched over broad shoulders and then tapered down to a trim waistline and a gorgeous ass in dark jeans. I gulped. Well, what had I expected? For him to be waving a sign that said Jade Roberts on it? Why hadn’t I gone to the bathroom to check myself out? I no doubt looked like I had been run over by a truck. I walked up behind him and cleared my throat. He turned, and two nearly black eyes scorched into me. His skin was nicely tanned and his nose almost perfectly formed except for a barely noticeable crook. He must have broken it once. His strong jawline was covered in black stubble— about a day’s worth, maybe more. His lips were full and dark pink. And that corded neck… What might that bronze skin feel like against my fingertips? The first two buttons of his stark-white shirt were open, and a few black chest hairs peeked out. My nipples poked against my bra, and my skin tightened, as if I’d been shrink-wrapped.
“You Jade?” he said in a husky voice.
I nodded, unable to speak. Talon Steel was a god come to life
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« — S’il te plaît, s’écria-t-elle en sonnant une nouvelle fois. Gavin, je t’en prie. Je t’aime. Je m’en veux tellement.
Rien.
Elle sortit son téléphone de son sac à main et composa son numéro avec nervosité. Sans quitter la porte des yeux, elle écouta les sonneries s’enchaîner.
« Vous êtes sur le portable de Gavin Blake. Vous savez quoi faire. »
En entendant sa voix, le cœur d’Emily se serra et son estomac se souleva. Ce son la hanterait jusqu’à la fin de ses jours s’il la rejetait. Cette voix qui l’avait implorée de le croire. Elle raccrocha, rappela et écouta encore. Impuissante, elle ne dit rien. Sa respiration saccadée serait son seul message.
Des mots… elle n’en avait pas.
Elle prit soudain conscience qu’il ne lui avait pas pardonné. Elle se plaqua la main sur la bouche. Pendant un moment insoutenable, elle resta silencieuse, jusqu’à ce que le chagrin éclate dans sa poitrine. Quand un torrent de larmes se déversa sur ses joues, ses cris résonnèrent dans le couloir. Reculant, elle se heurta au mur. Elle fixait sa porte, mais c’était son visage gravé dans son esprit qu’elle voyait. Malgré la douleur qui lui transperçait le ventre, elle se[…] »

Extrait de: Gail McHugh. « À ta portée (FICTION FANTASM) (French Edition). » iBooks.
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“Gavin, could you go ahead and answer Mr. Rosendale’s question regarding our approach?”
Without warning, Colton’s deep voice intruded on Gavin’s thoughts, wicked thoughts that’d consumed him over the last sixteen hours, since Emily had explained what Dillon had done to her. Sitting in a meeting, surrounded by executives representing one of the country’s leading pharmaceutical giants— one in need of a massive advertising campaign— Gavin knew he should be paying attention. But he wasn’t. His world had been turned inside out, his heart ripped open. There weren’t adequate words that could possibly convey his mental state of mind on this late Friday morning.

His sleep-deprived state of mind, that is. In the darkness, Gavin had stared at the ceiling as he held Emily. Listening to her soft breathing, wide awake with adrenaline pumping through his veins, Gavin attempted to purge visions of Dillon hurting her. No matter how hard he tried, it didn’t work. His brain fucked with him. The insistent clatter of wanting to feel Dillon’s blood on his hands screamed loud in his ears. He had seethed until the sun rose. Gavin would’ve never thought it was possible that Emily’s soft body, intertwined with his, couldn’t bring him down from the cliff of murderous destruction from which he was so eagerly waiting to jump from. Last night proved that even though holding her dampened some of the anger boiling under his skin, Emily couldn’t extinguish the flame fueling it.
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