Commentaires de livres faits par djemilath
Extraits de livres par djemilath
Commentaires de livres appréciés par djemilath
Extraits de livres appréciés par djemilath
Tu veux que j'arrache ton jean ? Que je te mette à quatre pattes et que je te donne la fessée jusqu'a t'en faire rougir les fesses? Jusqu'a ce que mes doigts glissent entre tes cuisses pour voir à quel point tu mouilles?
Toujours est-il que ce soir, je vais dîner avec le beau commissaire Coret.
Oui, je n’ai pas pu résister à son regard suppliant plongé dans le mien. Le « demain soir » est sorti tout seul et Evahn n’a pas eu l’air d’être offusqué par la rapidité de ma réponse. Bien au contraire. Il a tout de suite enchaîné avec un « 20 h 30 au Paris, rue Clébert. Ne soyez pas en retard ».
Le « Ne soyez pas en retard » a provoqué un certain cataclysme dans tout mon être. Le ton, la lenteur, sa bouche entre-ouverte, cette façon de presque m’ordonner quelque chose, m’a chamboulée.
En attendant, mon taxi est censé venir me chercher d’une minute à l’autre et je ne suis toujours pas décidée sur ma tenue. Je contemple la petite robe noire fièrement suspendue au cintre. Un petit décolleté léger sur le devant et un peu plus profond dans le dos. Une tenue des plus chic et des plus sexy.
Je vais le retrouver.
Je veux qu’il me regarde en face et qu’il me dise qu’il ne m’aime pas, que je n’ai jamais compté pour lui.
J’essuie rageusement mes larmes. J’ai bien trop pleuré pour lui. Il ne mérite pas mon chagrin.
Lola est de retour et elle n’est pas contente du tout…
»
Extrait de: Louisa Méonis. « Lola S2.E2 - Petite, grosse et complètement larguée (Lola 2) (French Edition). » iBooks.
Je grimace en entendant Matt renifler et pleurer encore plus fort à côté de moi. Il rapproche son téléphone et cale son coude sur mon épaule pour bien filmer mon bébé sous toutes ses coutures.
– On va lui faire une petite toilette et la peser, me dit la sage-femme en me prenant mon petit bout.
Je la lâche à contrecœur.
– Qui lui fait sa première toilette ? demande la sage-femme en regardant tour à tour mon frère et Samantha.
Je vois Matt qui retient son souffle et lui fais signe de la suivre, amusée. En plus, comme ça, il lâchera enfin son fichu portable. Il prend maladroitement le sac que j’avais préparé avec les vêtements et rejoint presque en courant la sage-femme.
Mon sourire s’estompe légèrement quand mes pensées se tournent vers Jerry.
Il n’est pas venu. Je ne sais pas si quelqu’un l’a appelé, mais si ça avait été le cas, est-ce qu’il serait là ?
»
Extrait de: Louisa Méonis. « Lola S2.E3 - Petite, grosse et prête à tout (Lola 2) (French Edition). » iBooks.
Il se passe une main sur la nuque et semble retenir son souffle.
– Je n’épouse pas les hommes que je viens à peine de rencontrer. Il va falloir se montrer un peu plus convaincant, monsieur Walker, je souffle.
– Que tu « viens de rencontrer » ? lance-t-il en souriant avant de m’attirer vers lui et de m’embrasser avec passion.
Je m’agrippe à ses cheveux et profite de la chaleur de son corps, de ses lèvres contre les miennes. Nos langues s’affrontent dans un duel sans fin. Tout à coup, il s’écarte de moi et me regarde, à bout de souffle, avant de chuchoter :
– Alors, on achète la maison ?
Je me mords les lèvres pour ne pas éclater de rire et hoche la tête.
– Je t’aime, Lola.
– Je t’aime, Jerry, Jullian, ou quel que soit ton nom ! »
Extrait de: Louisa Méonis. « Lola S2.E4 - Petite, grosse et comblée (Lola 2) (French Edition). » iBooks.
“You Jade?” he said in a husky voice.
I nodded, unable to speak. Talon Steel was a god come to life
Rien.
Elle sortit son téléphone de son sac à main et composa son numéro avec nervosité. Sans quitter la porte des yeux, elle écouta les sonneries s’enchaîner.
« Vous êtes sur le portable de Gavin Blake. Vous savez quoi faire. »
En entendant sa voix, le cœur d’Emily se serra et son estomac se souleva. Ce son la hanterait jusqu’à la fin de ses jours s’il la rejetait. Cette voix qui l’avait implorée de le croire. Elle raccrocha, rappela et écouta encore. Impuissante, elle ne dit rien. Sa respiration saccadée serait son seul message.
Des mots… elle n’en avait pas.
Elle prit soudain conscience qu’il ne lui avait pas pardonné. Elle se plaqua la main sur la bouche. Pendant un moment insoutenable, elle resta silencieuse, jusqu’à ce que le chagrin éclate dans sa poitrine. Quand un torrent de larmes se déversa sur ses joues, ses cris résonnèrent dans le couloir. Reculant, elle se heurta au mur. Elle fixait sa porte, mais c’était son visage gravé dans son esprit qu’elle voyait. Malgré la douleur qui lui transperçait le ventre, elle se[…] »
Extrait de: Gail McHugh. « À ta portée (FICTION FANTASM) (French Edition). » iBooks.
Without warning, Colton’s deep voice intruded on Gavin’s thoughts, wicked thoughts that’d consumed him over the last sixteen hours, since Emily had explained what Dillon had done to her. Sitting in a meeting, surrounded by executives representing one of the country’s leading pharmaceutical giants— one in need of a massive advertising campaign— Gavin knew he should be paying attention. But he wasn’t. His world had been turned inside out, his heart ripped open. There weren’t adequate words that could possibly convey his mental state of mind on this late Friday morning.
His sleep-deprived state of mind, that is. In the darkness, Gavin had stared at the ceiling as he held Emily. Listening to her soft breathing, wide awake with adrenaline pumping through his veins, Gavin attempted to purge visions of Dillon hurting her. No matter how hard he tried, it didn’t work. His brain fucked with him. The insistent clatter of wanting to feel Dillon’s blood on his hands screamed loud in his ears. He had seethed until the sun rose. Gavin would’ve never thought it was possible that Emily’s soft body, intertwined with his, couldn’t bring him down from the cliff of murderous destruction from which he was so eagerly waiting to jump from. Last night proved that even though holding her dampened some of the anger boiling under his skin, Emily couldn’t extinguish the flame fueling it.
Edge passe ses mains sous mes bras et me redresse jusqu’à lui. Sa bouche se pose contre la mienne, et il lèche la semence qui y reste.
— Putain, je pourrais bien m’y habituer, lance-t-il en reculant pour plonger son regard dans le mien.
— Tant mieux, pouffé-je. Parce que maintenant que j’ai trouvé mon chez-moi, je ne compte pas partir. »
Extrait de: Aria Grace. « La Voute ; Edge. » iBooks.