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Zach, Poppy et Alice partagent une passion : les jeux de rôles avec des figurines. Ils ont inventé un monde à eux, peuplé de pirates, de cruelles sirènes, de voleurs de trésors. Ce monde est dirigé par la Sublime Reine, incarnée par une inquiétante poupée de porcelaine qui trône derrière une vitrine chez Poppy et qui semble tout observer à travers ses paupières closes. Or, un jour, un incident pousse Zach à arrêter le jeu. La nuit suivante, la poupée se réveille et se confie à Poppy : Elle a jadis été fabriquée avec les cendres d'une fillette nommée Eleanor, et elle exige d'être enterrée avec les siens, sinon les trois amis ne connaîtront jamais le repos...
Écoute, je ne suis pas très doué pour ça, mais, même s'il y a des choses qui m'échappent, et même si ta mère me répète tout le temps que je ne sais pas m'y prendre, je voulais te dire que je n'arrête pas de penser à ces jouets depuis que j'ai fait ce que j'ai fait. C'était cruel de ma part. En vieillissant, je suis devenu quelqu'un de méchant et je ne voudrais pas que tu suives le même chemin.
" Eleanor " est un roman que j'ai déniché chez Noz à un prix très avantageux et je doit dire que je ne regrette absolument pas cette achat, car il s'est révélé être une excellente lecture.
Dès le début, l'atmosphère du récit m'a séduit.
L'histoire suit trois jeunes enfants qui partent à l'aventure pour remettre une poupée dans la tombe de sa famille.
L'intrigue prend son temps pour révéler que les enfants ont seulement 12 ans, ce qui peut sembler un peu jeune pour une telle quête, surtout compte tenu des épreuves qu'ils traversent.
Cependant, ce choix narratif ne diminue en rien la richesse de leur voyage.
Ce que j'ai particulièrement apprécié, c'est leur passion pour les jeux de rôle et leur imagination débordante, malgré le fait que certains membres de leur famille considèrent cela comme un signe d'immaturité.
Cela m'a rappelé combien il est important de permettre aux jeunes de profiter de leur enfance avant que les responsabilités d'adultes ne prennent le dessus.
Le roman offre un voyage palpitant, bien que les aspects géographiques et les horaires de bus aient été légèrement adaptés aux besoins de l'histoire.
Les péripéties des enfants, entre vol de barque et incursions dans une bibliothèque pour en savoir plus sur la mort de la petite, sont à la fois intrigantes et divertissantes.
Un autre point fort est la manière dont l'auteur joue avec le mystère entourant la poupée.
Celle-ci ne bouge ni ne parle réellement, mais elle semble communiquer uniquement avec Poppy, créant des conflits intéressants entre les amis.
Cette incertitude ajoute une couche fascinante au récit, laissant les lecteurs questionner sur la réalité des événements.
En définitive, je suis très contente d'avoir lu ce livre et je peux dire qu'il est parfaitement adapté à la catégorie jeunesse.
Beaucoup de lecteurs s'attendaient à quelque chose de plus angoissant, mais ce n'est pas le but recherché.
L'autrice a su créer un récit fluide et envoûtant, avec une écriture captivante qui m'a tenue en haleine du début à la fin.
✨️ This novel follows the story of Zach, Poppy and Alice, three teenagers who are passionate about role-playing with their old dolls. They have invented a world of their own, centred around their queen, a porcelain doll that Poppy's mother has locked in a shop window. Everything changes when Zach suddenly decides to stop playing.
✒️It's a real pleasure to read Holly Black's novel again! I found her particularly gentle in this story. The world she depicts is our own, but with a touch of dread. A perfect book to read this autumn! I loved the way certain passages made us feel uncomfortable. Doll Bones strikes the perfect balance between reality, fantasy and a touch of horror.
🍁The point of view is of Zach, a teenager with a vivid imagination (like Poppy and Alice). I found Zach captivating, as it's rare for me to read stories with a male protagonist. I enjoyed seeing his reflections on his passions, fears and inner conflicts. In short, he's fascinating and engaging. Poppy and Alice complement the trio beautifully, with Poppy's madness and Alice's seriousness.
Special mention to the porcelain doll Eleanor, who would really scare me if she was in my house!
💚Holly Black talks brilliantly here about what it means to grow up, and how essential it is to stay true to our passions. I was touched by this ode to the end of childhood, which brought back my own memories.
A perfect book for pre-teens, teenagers and even adults, because growing up is just one chapter in our history.
D’abord attiré par la couverture de ce roman, que je trouvais très intrigante, j’avoue m’être laissée tenter après des avis et, surtout, car je ne suis pas déçue avec Rageot.
Ici on est sur un livre court, un peu moins de 300 pages. On suit un groupe de trois personnages de 12 ans et ce moment où, apparemment, il faut quitter l’enfance.
Déjà, j’ai apprécié ces trois amis. Ils sont liés par des jeux où ils s’inventent des histoires avec leurs figurines. Le genre de jeu que la lectrice et l’autrice en moi auraient aimé partager plus jeune.
Oui, mais voilà. À cet âge, certains parents estiment qu’il est temps de grandir. Alors si leur jeu devait s’arrêter, est-ce que ça ne vaut pas le coup de vivre une dernière aventure. Une vraie, cette fois. Pas au travers de figurines ou des décors en papier ? Surtout quand cette aventure semble dictée par quelque chose de surnaturel à travers une poupée.
J’ai trouvé sympa de suivre ces jeunes à l’amitié solide, mais où le poids de certains secrets peut nuire. À cette envie de rester dans leur monde, tout en voulant grandir aussi. À toutes ces choses qui entrent en contradiction à cet âge-là. Et à l’aventure que le trio mène.
Mais ce que j’ai le plus apprécié c’est cette ambiguïté dans l’histoire. Où on peut se demander ce qui est réel et ce qui est fantastique. Comme si, au final, nous aussi on devait prendre un parti : est-ce qu’on a encore assez de notre âme d’enfant pour vouloir de la magie ou sommes-nous devenus ces adultes pragmatiques qui rejette ce côté surnaturel ?
Zach, Poppy et Alice, malgré leurs 12 ans, adorent toujours autant jouer ensemble à des jeux de rôle mettant en scènes des figurines qui doivent accomplir des quêtes pour la Reine, symbolisée par une poupée en porcelaine dans la vitrine de la mère de Poppy. Malheureusement, un jour, Zach ne peut plus jouer au grand dam de ses amies. La nuit suivante la Reine se réveille et leur impose une mission. S’ils ne la remplissent pas, sa vengeance sera terrible !
Ce roman connu auparavant sous le nom de “Eleanor” a été republié sous le titre “Doll Bones” par les éditions Rageot et avec une couverture de toute beauté. Écrit par Holly Black, ce roman est très jeunesse et pas du tout horrifique. Il peut être lu à partir de 11-12 et est idéal pour passer un bon moment pour Halloween.
Je ne suis d’habitude pas cliente des romans jeunesse, mais celui-ci est passé crème ! J’ai beaucoup aimé les aventures à la Huckleberry Finn de nos jeunes héros. Débrouillards, imaginatifs et dotés d’une bonne dose de chance, ils arrivent à se sortir de toutes les situations.
L’histoire en elle-même était bien construite, très linéaire, mais traduisant bien les préoccupations des préados et leurs difficultés à grandir, d’autant que tous ne mûrissent pas à la même vitesse.
Ce roman d’un peu plus de 250 pages se lit très vite. La plume de Holly Black est fluide et addictive. Les pages tournent vite et nous avons envie de connaître la suite des aventures de nos jeunes héros.
Bref, une très jolie lecture où les enfants ont la part belle !
Je remercie @netgalleyfrance et @rageotediteur pour ce service de presse numérique ! ✨
Commençons par parler du récit et de l’histoire dans son ensemble. J’ai trouvé que c’était très immersif et prenant. Tout le long du récit nous avons un mystère et des doutes sur ce qui se passe, est-ce réel ? Est-ce une fabulation de la part de Poppy ? Une histoire inventée pour continuer à jouer ?
Les personnages, que dire ? Je les ai trouvé si attachants, tous autant qu’ils sont. Particulièrement les enfants, mais j’ai également trouvé de l’attachement du côté des adultes. Les enfants ont cette innocence, cette vulnérabilité, mais aussi cette peur de grandir et de dire au revoir à ce qu’ils sont avant cette transition. Ça a tellement raisonné en moi.
La plume quant à elle était formidable, et cela ne m’étonne pas car j’adore Holly Black. Mais j’ai vraiment adoré la traduction. Il y avait un côté addictif, fluide, et parfois même poétique.
Ce livre m’a touché, il a un petit côté bouleversant, qu’importe l’âge que l’on a. Il m’a rappelé l’imagination que l’on a en étant enfant, cette passion de créer des scénarios, des histoires, et de partager ça avec autrui.
C’est un livre que je recommande, et avec l’automne qui approche, puis l’hiver, je pense que c’est la période idéale pour le découvrir, même s’il se lit facilement tout au long de l’année !
Je m'attendais à une lecture plus horrifique ou au minimum angoissante.
On y retrouve une bande d'adolescents qui partent pour l'ultime quête. Au cours de cette quête, ils quittent leur monde imaginaire et deviennent plus matures.
C'était une lecture sympa, même si j'aurais voulu plus d'angoisse, comme l'annonce le résumé.
La couverture du livre est incroyable, je la trouve vraiment très belle et c'est ce qui m'a donné envie de le lire. Le thème également donnait envie.
Un groupe de trois amis à l'imagination débordante qui se lance dans une dernière quête avec une poupée hantée, je dis OUI !
Et un souvenir personnel d'enfance quand ils jouent à leur jeu de rôles... Le Jeu !
Dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé. Il manquait quand même un peu d'étrangeté, je ne suis toujours pas convaincue que la poupée était réellement possédée. Poppy a énormément d'imagination et elle est très manipulatrice.
C'était aussi très jeunesse même si je le savais, j'adorerais un livre d'horreur plus adulte sur une poupée... mdrr
J'ai quand même aimé ma lecture, c'était vraiment sympa et un bon test de l'amitié pour Zach, Poppy et Alice.
Je dois déjà dire que ce livre est super au vue de la qualité. J'ai adoré lire ce jolie livre. Rien que la couverture est incroyable. Tout comme l'histoire à l'intérieur.
C'est un roman frissonnant et fantomatique.
J'ai remarqué quelques incohérences avec la réalité mais j'aime à penser que ces incohérences sont la preuve du spectre d'Eleanor la petite poupée qui au centre de l'histoire.
Un livre qui m'a transporté loin. Je l'ai beaucoup aimé mais je n'ai pas eu une grande étincelle.
C'était très mignon. Si je m'attendais à un peu plus d'horrifique, j'ai trouvé l'histoire bien menée et nos jeunes personnages très attachants. Cette quête autour de la poupée sert d'excuse à une plus grande quête : celle de grandir tout en gardant son âme d'enfant et son imagination fertile. Très chou.
C'est le récit d'une quête, le traditionnel passage de l'enfance à l'adolescence.
Les enfants ont un état d'esprit et un comportement plus puérils que l'âge annoncé de 12 ans.
J'ai cru pendant tout le roman que seul le garçon avait 12 ans (c'est précisé) et les filles 8 ans !
Je m'attendais à une histoire d'horreur avec une poupée maléfique, mais la fameuse poupée est un élément très secondaire dans cette quête, même si elle en est au début le prétexte. La poupée fait de la figuration, et lorsqu'elle est mise en avant, elle n'a absolument rien d'effrayant.
Dommage que le caractère terrifiant qui est prêté aux poupées dans la plupart des romans et films d'horreur n'ait pas été exploité, sans aller, évidemment, jusqu'aux extrêmes pour adultes comme Annabelle, Chucky, et Robert the Doll.
C'est un roman d'aventures destiné à un jeune public 8-10 ans.
Résumé
Zach, Poppy et Alice partagent une passion : les jeux de rôles avec des figurines. Ils ont inventé un monde à eux, peuplé de pirates, de cruelles sirènes, de voleurs de trésors. Ce monde est dirigé par la Sublime Reine, incarnée par une inquiétante poupée de porcelaine qui trône derrière une vitrine chez Poppy et qui semble tout observer à travers ses paupières closes. Or, un jour, un incident pousse Zach à arrêter le jeu. La nuit suivante, la poupée se réveille et se confie à Poppy : Elle a jadis été fabriquée avec les cendres d'une fillette nommée Eleanor, et elle exige d'être enterrée avec les siens, sinon les trois amis ne connaîtront jamais le repos...
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