Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Une légende rapporte que, sur la commune lotoise de Goujounac, la vierge aurait construit le dolmen de Gagnoulat en transportant la dalle de couverture sur sa tête et les deux piliers sous ses bras.
Le dolmen de Valderiès (ou dolmen du Pech de Blazy) est surnommé dans le pays tarnais "Roc de la Vierge". Situé en limite du Quercy et plus exactement sur la commune tarnaise de Milhars, il est porteur d'une légende. Ainsi, on apprend que la vierge, voulant contribuer à la construction de la cathédrale d'Albi, aurait chargé sa tête et ses épaules de trois énormes pierres qui forment le dolmen ; mais, arrivée en vue de la ville, elle s'aperçut qu'il était trop tard car la construction de l'église était déjà achevée. Alors, elle posa les pierres là où on les voit encore.
Cette légende s'applique aussi quasiment mots pour mots au dolmen tarnais du Gouty.
Afficher en entier