Donjon Zénith, Niveau 1 : Cœur de canard

Une petite BD bien sympa ! L'aventure pourrait se terminer là, mais on sent bien tout l'univers qui fourmille derrière les scènes, et ça donne bien envie la suite et les autres séries.

😁 Fans d'heroic fantasy et d'humour décalé, cette bd est pour vous 😁

J'ai passé un très bon moment en lisant cette bd car c'est totalement mon style 😁

Je le dis pas souvent mais je suis une joueuse de World of Warcraft et Hearthstone depuis DES LUSTRES (j'ai aussi beaucoup joué à Heroes of Might and Magic fut un temps lointain), j'adore le Donjon de Naheulbeuk et je surkiffe les films du Seigneur des Anneaux 😁

L'histoire et l'humour me parle vachement du coup 😂

Ce premier tome me donne envie de lire la suite 💜 C'est sympa et sans prise de tête, ça me fait ricaner et c'est justement ce dont j'ai besoin dans ma vie 😅

LE tome fondateur ! La période ne s'appelait même pas Zénith à l'époque (d'ailleurs, dans mon exemplaire, ce n'est pas marqué !) On trouve déjà toute la richesse qui fera les belles heures de la série. Des personnages fouillés avec des motivations personnelles marquées qui influenceront la saga (Herbert, Marvin et le Hyacinthe bien sûr, mais aussi Alcibiade, Horous, Cadmion, Zongo et bien d'autres) des méchants très méchants et puissants (parmi les pires qu'il y ait eu en fait,) un univers cohérent et riche (aaah, Zootamauksime et ses lapins !), un donjon construit comme un écosystème fonctionnel, des paysages grandioses, quantité de pistes qui ouvrent des arcs narratifs futurs (les objets du destin, l'œil du géant Biscarra, la malédiction de Marvin à l'encontre de Zootamauksine) et l'humour décapants de deux des auteurs de bd les plus marquants de ce début de siècle. Un indispensable pour tous les amateurs du genre.

Une connaissance me parlait de cette BD depuis pas mal de temps et c'est une découverte vraiment très drôle. Les dessins ne manquent pas de précisions et sont très diversifiés. La gamme de personnages et colorées et d'une belle richesse. La théâtralité du scénario m'a beaucoup fais rire. Nul doute que la suite sera tout aussi drôle.

Vivement les autres tomes !

Ayant commencé par Antipodes - 10 000, on va dire que j'avais quelques références. Heureusement que l'humour est présent pour adoucir la pléthore de lore et d'informations contenus dans ce tome. J'ai hâte d'entamer la suite.

Une intrigue originale, des blagues vaseuses, des personnages attachants, eh bien... que demander de plus ? Ce tome réunit tout ce qui fait le charme de Donjon. L'ambiance est joyeuse, et on a envie de l'être. Acclamons donc Herbert, le canard qui sent la peur, pauvre hère qui se retrouve emporté dans une sorte de prophétie uniquement parce qu'il a eu la mauvaise idée de dépouiller un aventurier mort pour ne pas se faire remonter les bretelles par son patron. Les auteurs sont des rôlistes et ça se sent.

D'une manière générale, il est difficile de juger un tome de l'univers Donjon pris à part. Des auto-références sont dispersées au fil des œuvres, et la franchise est composé de divers cycles qui se succèdent chronologiquement, ou sont en parallèle les uns des autres. ''Zénith'' est le cycle central, et il est donc tout à fait possible d'aborder la série par ce cycle, mais de prime abord on pourrait déjà recommander de commencer par le cycle ''Potron-Minet''.

Ce tome, donc, est très drôle, et d'une manière générale donne, je pense, envie au lecteur d'aller plus loin la série. On devine qu'il nous reste beaucoup de choses à apprendre sur les personnages et l'univers, sans pour autant tomber dans le piège des cliffhangers de série télévisée. Certains pourront être rebutés par le dessin, dont je trouve cependant qu'il est cohérent avec l'atmosphère générale de la série. Le scénario de l'épisode est en revanche finalement assez léger, et il faut vraiment voir le tome comme une sorte de séance d'essai de la série : l'univers s'étoffera dans les tomes suivants.

Haha, je me souviens l'avoir lu pour la première fois quand j'avais genre 10/11 ans et n'avoir strictement rien compris. C'est ma relecture, quelques années plus tard, qui m'a ouvert les portes du monde d'Herbert le canard. On est jeté dans l'univers du Donjon sans la moindre explication, sans vraiment de scénario apparent, mais au final, je suis rapidement devenue accro à cette série de BD !

Je me les relis en ce moment, bon sang que c'est bon :) Je ne me souvenais pas de l'histoire en plus, sinon du début. Je vais me régaler.

Niveau dessin, on voit carrément la différence entre le Trondheim de 98 et celui de 2017, quand aujourd'hui on en est à Ralph Azham :p Et le côté "animaux" est beaucoup plus assumé, et mis en avant, dans les dialogues et mise en scène.