Donjon Crépuscule, niveau 106 : Révolutions

Tout part d'une très bonne idée bien dans l'esprit "Crépuscule", avec cet îlot animé d'une rotation perpétuelle qui oblige ses habitants à un mouvement perpétuel pour rester à niveau et ne pas tomber sur le noyau de Terra Amata en fusion. La villa roulante tirée par des ouvriers, c'est bien joué aussi. Après, malheureusement, on tombe dans une allégorie du capitalisme qui manque quelque peu de la finesse dont on sait pourtant les auteurs capables. Et puis, si suivre les ébat d'un Marvin le Rouge volage, c'est un peu plus surprenant pour Marvin l'ancien. Le dessin d'Obion n'est pas non plus impérissable. Tout cela donne un épisode pas déplaisant, mais pas indispensable, qui ce serait suffi d'être rangé en "Monsters" plutôt qu'en "Crépuscule" tant il fait peu progresser l'intrigue.

Un super tome où les Marvins sont coincés sur une sphère en rotation rapide, mais sans gravité propre, ce qui fait qu'ils tombent vers la lave du noyau de Terra Amata, s'ils attendent trop.

Là, on découvre un peuple qui ne fait qu'avancer, aussi vite que la rotation, pour éviter de tomber. Mais comment s'organiser pour dormir ?

Il y a aussi une ville, sur roues, où l'on travaille, se repose, travaille, ...

J'aime bien la réflexion et les points de vues qu’apportent les Marvins en découvrant ces types.