Dragon Ball Super, Tome 1 : La guerre de l'univers 6

(Parenthèse perso) Salut la toile ! Ca va ? Un mot pour les générations d'après. A treize ans, j'achetais Harry Potter Trois ~ très cher, d'ailleurs ! Pour engloutir des centaines de pages à la suite, quand je faisais semblant de dormir pour maman, parce-qu'il y avait école le lendemain... Vous, vous l'étudiez... Dans le cursus scolaire x)... C'est à dire que votre « travail » c'est de faire ce à quoi je passais mon temps libre à faire!x) le rapport avec Dragon Ball Super ? Ne soyez pas si hâtif, maître Meriadock !... J'y viens... Je crois que c'était mon premier livre, excepté ceux qu'on me lisait étant petit. Souvenirs de manga pocket au kiosque... Son Goku contre Végéta puis Freezer... J'avais pas commencé du début (comme Harry Potter, d'ailleurs). Avec mes potes on s'imaginait produisant des Kaméaméas ! ~ pur fiction aha ! Ca se saurait si quelqu'un avait réussi;)... Tout ça pour dire... On arrête pas le progrès... Peut-être dans dix ans, à dix ans, on fera lire Dragon Ball Super aux petits écoliers... (Fin de la parenthèse perso).

Pour les Naruto, les Dragon Ball Z ou quoi que ce soit, l'action est figée, ralentie dans les « films » qui étirent un point de détails. Ainsi dans « les films avec Beerus » les péripéties anniversaire de Bulma/éveil de Beerus, sont plus détaillées. Au départ, l'objet d'intention, plutôt banal, concerne un combat entre Beerus et Son Goku, le Dieu du Chaos mettant KO le super sayan 3 en deux coups. Végéta sera un adversaire plus redoutable ! Fou de colère que Beerus ai giflé Bulma. A la recherche commune du super sayan divin, six sayan « s'unissent » pour rendre Goku divin. Plus tard, Champa, le frère jumeau de Beerus, et dieu du chaos de l'univers 6 (quand l'univers que l'on connait est le 7) lance un défi à son frère, réunissant chacun 5 des meilleurs guerriers de leurs territoires, ils commencent un tournoi d'arts martiaux, dans les règles de l'art.

Les dessins sont les même que pour Dragon Ball Z! le lecteur amateur ne sera pas dépaysé.

Quelquefois très télescopé comme le « ah j'ai eu un rêve donc je vais blabla... » la simplicité et la candeur du héro fait plaisir ! Au final, tout le scénario sert de prétexte aux combats d'arts martiaux.

Si Dragon Ball nous avait appris quelque chose, c'est comment faire un bon SOAP, comprenant des personnages principaux, secondaires, // « spectateurs »...

C'est avant tout destiné aux mélomanes, aux nostalgiques, le but n'est pas d'innover même s'il y a bien une innovation avec les multivers// les dieux, etc... On retrouve dans Dragon Ball Super tout ce qui faisait le succès de DBZ, en mieux, un best of.

Je suis carrément le publique cible !...

Revoilà Son Goku et ses amis pour de nouveau combats, je retourne en enfance avec cette nouvelle série

Tome lu grâce a une offre de l'éditeur pendant le confinement.

Je ne connais pas bien l'univers de DB, n'ayant lu des aventures de San Goku jeune et aucune adulte, je ne connais donc pas les évènements précédent ce tome, et n'ai qu'une vague idée de l'univers dans lequel les personnages évoluent. Mon avis sera donc celui d'une non-fan de la série originelle (et en plus celui d'une personne qui ne la connait que peu).

J'ai trouvé que ce tome entrait vite dans l'histoire, j'ai eu du mal avec les personnages secondaires que je ne connais pas comme dans la scène de la transformation en super saïyen divin, que j'ai trouvée très rapide. J'ai eu l'impression que c'était quelque chose d'assez important, un nouveau stade de puissance, alors qu'en trois cases c'est bon, le personnage est transformé. Je n'ai pas aimé le nouveau méchant à son début, mais au fur et à mesure du tome il devient de plus en plus attachant. Mais je n'ai pas réussit à accrocher aux combats du début de tome, seuls ceux du concours d'arts martiaux m'ont intéressée. Je n'accroche pas non plus aux dessins, je ne les trouve pas moches, mais pas beaux non plus.

La chose que j'ai le plus apprécié est l'humour dans le tome, surtout la naïveté de San Goku.

Un bon moment Dragonball pour les fans. Certes à force d’en avoir beaucoup lu et vu c’est repetitif et c’est moins fantastique que ceux du début mais l’esprit est là et ça reste honnête. Pas delirant non plus mais content de l’avoir lu, je lirai la suite.

Un début de série assez poussif mais dans l'ensemble l'histoire se tient et reste très intéressante... J'ai hâte de découvrir la suite afin de voir si le rythme s'accélère un peu...

Evidemment, en tant que grand fan de la très culte série Dragon Ball, je ne pouvais pas ne pas lire ce premier tome de la nouvelle saga. En ayant peur toutefois...

Effectivement, les dessins ressemblent à s'y méprendre à ceux de Toriyama mais le scénario est plat, les nouveaux personnages ne cassent pas des briques et certaines séquences passent hyper vite à en devenir presque étrange. C'est dommage, je pense que la série méritait mieux comme suite. Voire peut-être aucune ?...

Un bon premier tome, pour la suite d'une série ultra culte. Par contre, je trouve le niveau moindre comparé à la série originale. Premièrement, parce que les niveaux de puissance ne font plus aucun sens, selon-moi, deuxièmement parce qu'ils ont fait de Goku un débile sans nom (certes, il est un peu niais de base, mais tout de même... On dirait qu'il n'a plus aucun sens du risque et qu'il se comporte donc de manière totalement égoïste, n'hésitant pas à mettre la Terre en danger...) et troisièmement parce qu'on a quand même l'impression qu'on nous sert du réchauffé...

Enfin bref, c'est tout de même un réel plaisir de retrouver nos héros. Je vais voir ce que la suite va donner...

C'est un plaisir de retrouver nos héros dans de nouvelles aventures avec un nouveau méchant fort sympathique Spoiler(cliquez pour révéler)qui se révèle être finalement un très bon allié. Même si j'apprécie l'histoire dans son ensemble, l'histoire va trop vite et certains éléments semblent survenir d'un coup, sans lien apparent avec les scènes précédentes. Les auteurs se contentent de nous expliquer rapidement ce qui s'est passé et cela donne un rythme un peu bancal au récit.

Certains personnages manquent cruellement également.