Dreamland, tome 1 : Feu !

Une trop bonne découverte, un super manga très originale avec de bons personnage.

Trop hâte de continuer

Ce que j’aime avec les rééditions de manga, c’est que ça me permet de découvrir d’anciens mangas et de pouvoir les lire. J’étais très curieuse de découvrir ce manga là. Ça fait un bon moment que j’avais repéré ce titre et ça m’intriguait énormément. Cette réédition tombe clairement à pic et j’avais hâte de pouvoir enfin découvrir cette histoire. Je n’ai pas été déçue, ce premier tome m’a beaucoup plu et j’ai très hâte de lire la suite. Mais surtout d’avancer dans les tomes. Je sens que je vais prendre énormément de plaisir à découvrir les tomes les uns après les autres!

Dans ce premier tome, imaginez, un monde vaste, féérique, et fantastique où tout est possible… Imaginez que lorsque l’on s’endort, notre esprit s’évade dans ce monde, où toute personne qui s’endort s’y retrouve… Imaginez que le rôle que l’on y joue, et le lieu où l’on se trouve change chaque nuit. Ce monde se nomme Dreamland, le monde des rêves…

Le résumé a vraiment piqué ma curiosité. Surtout que l’on en sait assez pour savoir de quoi ça parle mais en même temps on ne sait pas trop ce qui nous attend. J’ai vraiment adoré ce premier tome, je trouve l’univers hyper original. Se retrouver dans le monde des rêves, ça doit vraiment être quelque chose. On peut jouer un rôle dedans, regarder les rêves des autres, faire un tas de choses. C’est ce que Terrence va expérimenter. Il est ce que l’on appelle un voyageur, lui peut voyager dans le monde des rêves. Il a toujours fait le même cauchemar mais un jour il a fini par vaincre sa peur et depuis ce jour là, c’est un voyageur. Comme je viens de le dire, l’univers est très original et c’est très plaisant de se balader comme ça dans le monde des rêves. Surtout quand on voit l’étendu de ce pays. Il y a tant de choses à faire, tant de choses à découvrir. Certaines sont d’ailleurs plutôt drôle! J’ai adoré le personnage de Terrence, il agit parfois comme un vrai boulet mais ça apporte beaucoup à l’histoire je trouve. J’ai aimé l’humour qu’il y a dans cette histoire, il y en a pas mal d’ailleurs. Ce premier tome nous plonge vraiment dans l’histoire très vite. Ce qui n’est pas plus mal puisqu’au moins ça nous permet d’être à fond dans l’histoire tout de suite!

J’ai adoré ce premier tome et je vais vite me jeter sur le second puisque je l’ai sous la main. J’adore l’univers mais aussi les personnages, l’intrigue est top. Bref, vous l’aurez compris, ce premier tome est une réussite pour moi. Quand j’ai vu l’annonce de cette réédition par Pika, j’étais très contente parce que ça faisait bien longtemps que j’avais envie de découvrir ce titre. Je n’ai pas été déçue, l’attente en valait vraiment le coup. J’ai hâte de voir ce qu’il va se passer dans le second tome!

J'ai profité de l'édition Remaster pour découvrir cette série et je suis assez satisfaite de ma lecture. J'ai apprécié le dessin et les perspectives pour la suite de l'histoire. Je lirai la suite.

J'ai bien aimé les dessins et pour une fois, l'auteur est français. Ca change. Ce premier tome est un bon départ de série : on découvre des personnages intéressants et un nouvel univers, Dreamland.

C'était très bien et c'est français. Cocorico !

Faire de ses peurs une force, la phrase paraît simple, l'exécution -dans la vrai vie- beaucoup plus compliquée et le scénario qui en a été tiré extrêmement intriguant.

J'adore le style graphique, les personnages et je me perd parmi les détails de chaque case. J'ai souvent passé plus de temps sur un petit gribouillis au coin d'une case qu'à lire les dialogues. Et je ne veux pas que ça change...

Un premier tome intéressant, à voir comment l'intrigue se poursuit.

Un manga français ! Pas fabuleux pour le moment, cela dit, même si on me l'a chaudement recommandé. Les personnages sont assez immatures (le héros est censé avoir 18 ans mais il a un comportement et des pensées d'ado prépubère, c'est plutôt déconcertant), les dessins sont loin d'être travaillés et on ne saisit pas encore bien exactement où l'auteur veut nous emmener. Affaire à suivre...

Vraiment bien

Y’a des moments où j’ai conscience de passer à côté de quelque chose et j’accepte juste que la chose est pas pour moi.

Comment cette daube a un tel succès, ça je comprends pas.

Outre le dessin atroce qu’on peut au pire mettre sur le compte d’une ambition stylistique inspirée par Eiichiro Oda (dont je suis pas fan et dont il n’arrive même pas à s’approcher) les codes même du manga ne sont pas respectés : les phylactères c’est pour ce que disent les personnages, le texte libre c’est pour leurs pensées... sauf quand c’est pas le cas. C’est un manga donc faut lire de droite à gauche... sauf quand il faut lire de gauche à droite parce que j’encrotte mes lecteurs (je vois pas d’autre explication à ces incohérences répétées qui n’ont pas été corrigées dans la nouvelle édition soi-disant revue par l’auteur).

C’est peut-être mal dessiné, mais c’est encore plus mal écrit. Et allez pour de l’exposition forcée par-ci, des répliques qui se veulent badass mais qui sont juste lourdes en-veux-tu-en-voilà, une pincée anecdotique de croissance du protagoniste (qui passe, on en profite, par de gros clichés sur les handicapés moteurs : comment ça eux aussi ils savent sourire ? et on s’imagine bien que leur rêve le plus fou c’est à tous de pouvoir courir ! et vu que cette personne handicapée est l’un des seuls personnages féminins on peut avoir un petit développement en dehors de ça ? Non ? D’accord.)

Sérieusement, c’est trop demander d’avoir un seul personnage qui ne soit pas complètement insupportable ? Et un peu plus de persos féminins qui ne soient pas un fantasme, un gros cliché, une demoiselle en détresse ou un mix des trois ? Ou tout simplement des personnages, tout court, avec un arc narratif défini pour chacun, des buts, des défis, des conflits qui vont un peu plus loin que les stéréotypes du shônen ?

Pour l’instant j’en sais plus sur les persos grâce aux fiches inter-chapitres que ce que j’en ai lu, donc on va dire que pour Reno Lemaire la règle c’est “tell, don’t show”. C’est vrai que c’est tellement agaçant pour les lecteurs d’avoir à découvrir l’histoire des personnages par eux-mêmes, autant tout dire tout de suite et les regarder se bastonner, c’est ça qu’on cherche dans un livre après tout !

En même temps il a l’air de se passer tellement de choses sans qu’aucune ait vraiment d’importance parce que tout est confus et mélangé donc on ne sait pas vraiment à quoi donner de l’importance. Le pire pour moi a été l’arc avec ce que je ne peux appeler que le cahier de stalker. Parce que concrètement c’est ce que Terrance fait (ah wi au passage, ça se passe en France mais les personnages ont pas droit à des prénoms français parce que faut pas trop pousser non plus) et en plus quand la fille pour qui il en pince tombe sur ledit cahier elle valide son comportement ?

Encore une fois, je ne comprends pas le genre de messages que ce manga véhicule. Déjà Dragon Ball c’est parfois limite mais Reno Lemaire n’a même pas l’excuse d’être au XXe siècle quand il écrit un manga sexiste, misogyne et capacitiste.

Enfin on va parler du monde des rêves. Enfin pour l’instant j’en ai pas vu grand chose mais je le trouve plutôt vide et sans intérêt, à part quelques concepts chouettes et complètement sous-exploités comme celui des pierres qui montrent les pensées il n’y a rien de vraiment extraordinaire à ce truc, ni graphiquement, ni conceptuellement, ni rien. Et ça m’a particulièrement énervé de voir une référence à Morpheus de Sandman lorsqu’on voit les seigneurs des cauchemars, déjà parce qu’il vaut mieux que ça, et ensuite parce que Dreamland est tellement éloigné du Rêve de Gaiman qu’il ne mérite même pas de reconnaître l’existence de cette autre représentation des songes. Et en fait il ferait mieux pour éviter une comparaison qui ne peut être qu’à son désavantage, Sandman est l’un des comics les plus inventifs qui aient jamais vu le jour alors que pour l’instant Dreamland n’est pas fichu de faire un rêve un tant soit peu original.

Partir du concept aussi vieux que Batman de surmonter ses peurs et donner des pouvoirs magiques à des adolescents immatures dans un monde parallèle avec un humour pipi-caca à deux balles et un sens du rythme catatonique (sérieusement, ceux qui ont trouvé ça drôle je veux bien que vous me disiez où parce que je suis bon public et j’ai peut-être souri une fois) c’était déjà pas la meilleure idée niveau originalité toussa. Alors si en plus c’est écrit avec les pieds pour faire des personnages aussi denses que des coquilles de noix et donne l’impression d’avoir été dessiné par un collégien qui a lu deux tomes de One Piece, encore mieux !

Daubeland.

Vraiment je ne comprends pas le succès de ce manga. Mais je suis curieux et déterminé (et j’aime me faire souffrir) et j’ai lu un commentaire qui disait que ça allait en s’améliorant donc je donnerai peut-être une chance à la suite. Quand j’aurai repris des forces avec des livres qui sont vraiment bien.

Depuis le temps que je veux commencer ce manga, c'est chose faite :!

J'ai pu lire le manga réédité et son premier, mais les deux m'ont comblé pour leur humour et le côté très français qu'on ne retrouve dans aucun autre manga.

J'adore :!

Je le conseillerai sans hésiter :)