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L’agence d’investigation Baylor avait démarré comme une affaire familiale. Et nous en étions toujours une. Techniquement, nous étions désormais la propriété d’une autre boîte, mais ils nous laissaient globalement diriger nos affaires comme nous le souhaitions. Nous n’avions que trois règles de base.

Règle N° 1 : payé, c’est payé. Une fois embauchés par un client, nous lui restons loyaux jusqu’au bout.

Règle N° 2 : on n’enfreint pas la loi. Une bonne règle pour nous éviter d’aller en prison et d’être attaqués en justice.

Règle N° 3, la plus importante de toutes : être capable de se regarder dans le miroir à la fin de chaque journée.

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— Je comprends que ce soit bizarre pour vous, repris-je, parce que quatre-vingt-dix-neuf pour cent du temps, votre nom, votre apparence et votre argent font tout le travail et les femmes s’abandonnent, cuisses ouvertes, si vous les regardez pendant plus de dix secondes. Mais je ne fais pas partie de ces femmes.

Je sortis de la voiture et m’avançai sur le parking. Il me rattrapa. J’osai jeter un regard vers son visage. Mad Rogan souriait. J’avais dû dire quelque chose de vraiment drôle.

— Est-ce que certaines de mes qualités rattrapent mes défauts ? s’enquit-il.

Un dragon charmant et donnant dans l’autodérision. Non, je n’y croyais pas. Cette façade de charme pouvait se fissurer en un instant, remplacée par les flammes et les crocs acérés.

— Le fait de ne pas écraser l’écureuil a joué en votre faveur.

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— Là-haut ! m’écriai-je.

L’aérokinésiste leva les bras. Nous étions à sa merci.

Un car Greyhound faucha le mage du vent. J’eus un bref aperçu de lui, tel un insecte écrasé contre le pare-brise de l’autocar, les yeux écarquillés de stupeur. Le car vint s’écraser sur la chaussée devant le centre commercial. Il s’enfonça d’un mètre dans le sol mais demeura presque à la verticale.

Mad Rogan affichait le sourire d’un chat qui vient de voler un morceau de choix sur la table de la cuisine.

— Les mages du vent… Ils se croient les plus malins avec leurs petites danses jusqu’à ce qu’on leur balance un truc lourd en pleine tronche.

Je continuai à contempler fixement le car, la craie toujours à la main. Un « truc lourd », c’était un pneu. Lui avait balancé un car de tourisme !

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Ma mère se tourna vers ma grand-mère.

— Maman ?

— Quoi ?

— Elle va déjeuner avec son ravisseur.

— Prends une photo pour moi, dit ma grand-mère.

— Cette famille aura ma peau, grommela ma mère. Je viens avec toi. Maman, ferme toutes les portes et mets l’alarme. On va prendre la camionnette et le Barrett.

— Le Barrett suffira ? s’inquiéta grand-mère Frida. Les balles ne sont pas censées rebondir sur sa poitrine ?

Ma mère croisa les bras.

— Le Barrett tire du calibre.50 à deux fois la vitesse du son. La balle le frappera avant même qu’il entende le tir. J’aimerais bien le voir faire rebondir ça sur sa poitrine.

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Récapitulons : j’avais fait chanter un mécano ; qualifié mon employeur – sans doute un Majeur – d’ignoble personnage ; rencontré un Majeur pyrokinésiste et été kidnappée par un Majeur télékinésiste ; déclenché une dispute avec ma mère et pris la décision de me faire implanter dans les bras une arme susceptible de me tuer. Sacrée journée.

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He nodded. “Okay. We got it out in the open. Here it is. This is your moment to be angry at your own laziness and wallow in self-pity. A moment is all you get, because any minute Adam Pierce might set Houston on fire. Take a few minutes for your pity party. Would five be enough?”

“You’re an asshole.”

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“Mhm. Good to know.” He smiled wider.

Uh-oh.

“Don’t do it.”

“Don’t do what?”

“Every time you smile like that, someone dies. If you attack me, I will defend myself.”

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“We should have sex.”

I must’ve misheard. “I’m sorry, what?”

He glanced at me. His blue eyes were warm, as if heated from within. Wow.

“I said, we should have sex. You and me.”

“No.” Alarm made me sit up straighter.

“What do you mean, no?”

“I mean no. Has it been so long since you heard the word that you might have forgotten what it meant?”

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“One school of thought says that the best way to handle an issue like this is exposure therapy,”

Mad Rogan said. “For example, if you’re terrified of snakes, repeated handling of them will cure it.”

Aha. “I’m not handling your snake.”

He grinned. “Baby, you couldn’t handle my snake.”

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“I was encouraged by you breathlessly moaning my name.”

I spun on my foot. “I wasn’t moaning your name. I was shrieking in alarm.”

“That was the sexiest throaty shrieking I’ve ever heard.”

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