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- Alors, on se voit toujours ce soir ? Notre dîner ? demandai-je.

- Absolument. On se voit ce soir. On se voit demain. Et tous les jours à venir, au moins à court terme. Tu n'iras nulle part sans moi.

Et dire que j'avais un instant cru à une déclaration romantique.

- Tu comptes aussi m'emballer dans du papier bulles ?

- Si je peux en trouver qui arrête les balles.

- Rogan...

- Je suis sérieux, dit-il.

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— Rogan, lança Sturm depuis l’écran, je vous réveille ?

— Oui, répondit Rogan d’une voix nonchalante. J’étais en plein milieu d’un merveilleux rêve. J’avais les doigts serrés autour de votre cou et vous me suppliiez. C’en était même embarrassant pour vous, à vrai dire.

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— En combien de temps pourrez-vous être sur place ? demanda Lenora entre ses dents serrées.

— Vingt minutes, répondit Rogan. Voire plus tôt si vous arrêtez de me demander des trucs toutes les trente secondes.

Elle le fusilla du regard.

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— Les filles feront ce que je leur dirai de faire, gronda ma mère. Je suis leur mère.

Grand-mère Frida la dévisagea, les yeux étrécis.

— Ah. Et tu trouves que ça a marché dans mon cas ?

Ma mère ouvrit la bouche… et la referma sans mot dire.

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— Il patientera. J’ai un truc à te montrer, ajouta-t-il en tendant le bras pour saisir son ordinateur portable.

J’avais envie de lui dire que j’avais déjà vu le truc en question la nuit dernière mais Bug, Rivera et Heart étaient juste à côté de nous.

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Certains hommes sont trop obtus pour se rendre compte que lorsqu’ils vont trop loin d’autres pourraient les tuer sans se soucier des conséquences. De tels hommes feraient bien de se rappeler que lesdites conséquences ne leur apporteront aucune satisfaction puisqu’ils seront morts.

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Un mage invocateur était allé puiser dans les profondeurs du monde ésotérique pour en sortir cette chose et Dieu savait combien d'autres. les invocateurs de rang Moyen et Notable pouvaient invoquer une créature mais celle-ci disparaissait dès qu'ils perdaient leur concentration. Les Supérieurs étaient capables de plusieurs invocations simultanées et quad les Majeurs ramenaient un être du monde ésotérique, celui-ci demeurait dans le nôtre jusqu'à ce que le mage le renvoie. Rogan et mois avions déjà affronté des créatures invoquées auparavant. Elles étaient difficiles à tuer. J'aurais dû m'assurer plus tôt de la sécurité de Rynda.

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Il se déplaçait comme un ancien sportif universitaire qui ne se serait pas ramolli, essentiellement parce qu'il n'aurait pas su comment s'y prendre. Son costume gris taillé sur mesure soulignait sa carrure d'athlète. Il vous donnait l'impression que si vous vous trouviez entre lui et un objectif important, il n'hésiterait pas à vous renverser et à vous piétiner, et cela sans perdre son sang-froid car ça n'aurait rien de personnel. Il correspondait par ailleurs parfaitement aux photos que j'étais allée consulter le matin même. Edward Sherwood, le frère de Brian.

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Chapitre 1

Quand la vie vous balance un direct à l’estomac, c’est toujours un coup en traître. On ne le voit jamais arriver. L’instant d’avant vous vaquiez tranquillement à vos occupations, occupée à ressasser vos petits soucis et à cogiter sur l’avenir, et puis d’un coup vous voilà roulée en boule, les bras plaqués contre le ventre pour tenter de résister à la douleur, vacillante et affolée, l’esprit assailli par un magma de pensées terrifiées.

Une couronne de Noël était accrochée à notre porte. Je me figeai, la main à quelques centimètres de la serrure. Mais oui. C’était le jour de Noël.

Le matin même, j’étais dans un chalet de montagne en compagnie de l’homme le plus dangereux de Houston. Puis l’expert ès-surveillance de Rogan lui avait envoyé un texto. Et je me retrouvais à présent, six heures plus tard, les cheveux en bataille et les vêtements froissés par le port d’un épais manteau, devant l’entrepôt qui faisait aussi office de domicile pour ma famille.

J’allais devoir entrer pour leur annoncer la mauvaise nouvelle et personne n’aimerait ce qui se passerait ensuite. Avec tout ce qui venait de nous arriver, nous étions tombés d’accord pour faire l’impasse sur les échanges de présents cette année. Non seulement j’avais raté le réveillon de Noël, mais j’étais sur le point de leur refiler un cadeau franchement empoisonné.

Le principal était de ne pas paniquer. Si je paniquais, mes sœurs et mes cousins feraient de même. Et ma mère me sortirait ses meilleurs arguments pour me convaincre d’oublier la seule solution logique à cette nouvelle crise. J’étais parvenue à garder la maîtrise de mes émotions pendant tout le trajet entre le chalet et l’aéroport, durant le voyage en jet privé puis le vol en hélicoptère jusqu’à la zone d’atterrissage située à quatre rues de là. Mais mon stress et mes peurs menaçaient de faire exploser la cocotte-minute.

Je pris une profonde inspiration. Autour de moi du personnel allait et venait dans les rues, pas aussi nombreux que durant la période où j’avais aidé Cornelius Harrison – un mage animalier désormais employé par l’agence d’investigation Baylor – à découvrir qui avait assassiné sa femme Nari, mais il y avait néanmoins du monde. Rogan ne plaisantait pas en matière de sécurité. Il m’aimait et, parce qu’il estimait que ma maison n’était pas parfaitement protégée contre une éventuelle attaque, il avait acheté les trois kilomètres carrés de terrain industriel autour de notre entrepôt pour en faire sa base militaire personnelle.

Tous les passants étaient habillés en civil mais ils ne trompaient personne. Les employés de Rogan avaient tous fait partie des forces armées à un moment de leur vie et ils n’étaient pas du genre à flâner au hasard. Ils allaient d’un point A à un point B avec un objectif précis en tête. Ils portaient des vêtements propres, des cheveux courts et appelaient Rogan « major ». Quand nous faisions l’amour, je l’appelais Connor.

Un bruit sec se fit entendre dans la rue. Le souvenir du moment où j’avais brisé la nuque de David Howling me revint à l’esprit. J’entendis de nouveau le crissement de ses os lorsque je lui avais tordu le cou sur le côté. Je le revis s’effondrer quand je l’avais lâché et une vague de panique me submergea. Je la laissai passer et attendis qu’elle s’apaise. La poursuite de l’assassin de Nari nous avait exposés à beaucoup de brutalité et de laideur, au terme de quoi j’avais vu Olivia Charles – la femme qui l’avait tuée – dévorée vivante par une horde de rats tandis que Cornelius chantait en pleurant son épouse décédée. Une séquence que je revoyais presque chaque nuit en rêve.

Je n’avais pas envie de replonger si vite dans ce monde de violence. J’aurais voulu… J’aurais voulu avoir encore un peu de temps devant moi.

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- Quelles précautions allez-vous prendre ? demanda Heart.

- J'emmène Cornélius avec moi, et il sera accompagné de Lapinou.

- Qui est Lapinou ? voulut savoir Heart.

- Un doberman, dit Bug.

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